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Showing content with the highest reputation since 12/11/2022 in all areas
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Oui la Vennbahn, c'est pour se déplacer, en sécurité. Mais il y a bien mieux au lac de Butgenbach pour les enfants : le lac lui-même Nous sommes donc rentrés comme prévu de notre trip bikepacking, tout s'est parfaitement déroulé... malgré la météo du premier jour qui nous fait un peu peur : il commençait juste à pleuvoir quand on a quitté la maison. La bruine qui ne mouillait pas au début était devenue une pluie fine qui mouillait, un peu avant qu'on arrive à la gare de Liège. A Eupen, rien de tout ça, bien au sec jusqu'à Montjoie, où là, on a encore eu 2-3 petites averses le soir et la nuit. Notre camping n'était pas terrible, plutôt un truc pour les vieux caravanneux à l'année, mais aussi une poignée de campeurs light comme nous. De toute façon, il n'y avait guère le choix pas trop loin de la ville (fort encaissée, comme déjà remarqué lors d'un autre trip). Premier jour, une bonne cinquantaine de km. Et le jour avec le plus de D+ pour les loulous. Notre campement sur quelques mètres carrés : Resto dans le centre Le deuxième jour était le plus light : 36km. Le plus dur finalement : remonter de Montjoie jusqu'à la Vennbahn... Temps sec et chaud. Arrivée à Butgenbach (camping du centre Worriken) pas trop tard, qui qui nous a permis de profiter de notre camping bien plus avenant (c'est peu dire... une tuerie), et surtout d'aller piquer une tête dans le lac. Ca, ils adorent ! Plage aménagée, modules gonflables dans l'eau, ... Et 3eme jour, retour sous le soleil, le ravel jusqu'à Trois-Ponts, donc une bonne partie en descente (mais la petite devait quand-même pédaler ). Train puis retour à la maison. 42km. Mon fils a réussi a casser sa chaine à quelques km de l'arrivée17 points
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Oui, je l'ai Cela a pris un peu plus de temps que prévu, car nous avons discuté pas mal, puis ils ont dut changer de cassette pour une 11 - 34 et mettre quelques bricoles supplémentaires. En plus avant de rentrer chez moi, j'avais quelques trucs à faire et régler l'histoire du colis DPD d'hier. Donc voici la première photo que j'ai prise de mon Zolder Pro. Il faudra quand même un peu de temps pour m'habituer à sa couleur que je trouve plus voyante en extérieur que dans le magasin16 points
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Bonsoir à tous, Dès aujourd'hui, Bike Service BW devient le premier service-center pour les vélos Origine dans la province du BW Content je suis ! Je complète les infos, voici les informations émanant de leur page officielle :15 points
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histoire de couleur de selle ... ( faites-vous plaisir) j'ai monté des Bontrager RL sur tous mes vélos, la mousse est increvable par contre la peau des selles a souffert , j'ai déjà essayé d'autres selles mais ce modèle est le seul qui convient vraiment à mon postérieur Pour rénover la peau , j'ai tenté la peinture , ça ne tient pas , alors je me suis dit pourquoi pas la recouvrir comme cela se fait dans les bagnoles ou pour les fauteuils, j'ai tenté ceci chez Ali ... https://fr.aliexpress.com/item/1005003661519991.html?spm=a2g0o.order_list.order_list_main.27.21ef5e5biBfm8Q&gatewayAdapt=glo2fra un décapeur thermique pour aider le tissu à prendre la forme de la selle et le tour est dans la poche , je suis vraiment content du résultat, à voir maintenant si cela va tenir sur le vélo. Avant et après ... en "touning baraki" Gravel14 points
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Avec le pédalier, le frein est l’autre élément de contrôle de notre vitesse qui nous évite de terminer une descente sous la forme d’un steak tartare. Et pourtant, combien de fois n’avons-nous pas pesté sur nos freins parce qu’ils ne freinent pas assez ou trop tard ou qu’ils font un bruit de furet coincé dans une porte ou même qu’il faille attendre que la poignée soit contre le guidon pour qu’ils commencent à entrer en action. Les freins, c’est comme tout, cela s’entretient. Parmi les problèmes de freins, les causes les plus fréquentes sont : - Un piston paresseux dû à un encrassement du piston qui se grippe et reste coincé dans son étrier. - Un mauvais centrage de l’étrier résulte souvent d’une tentative de correction du piston paresseux. - Une poignée de frein mollassonne se résout avec une bonne purge (du circuit hydraulique). - On peut également avoir des plaquettes usées, une durite abîmée, une goupille de plaquettes perdue, un disque voilé … La solution que je vous propose ici n’est certainement pas celle qui règlera tout mais elle vous mettra sur la piste d’un meilleur freinage. Cela dit, je n’ai rien inventé car j’ai puisé la plupart de mes informations sur internet et auprès de techniciens de marques et vous seriez tout aussi capable que moi d’y arriver. Enfin, bref … ceux que cela intéresse me liront en me corrigeant si nécessaire. Quant aux autres … ben … ils feront ce qu’ils veulent. Avant tout, je vous conseille de lire l’instructif article paru sur Vojo qui explique le fonctionnement des freins hydrauliques (https://www.vojomag.com/mtb-anatomy-2-le-fonctionnement-dun-frein/). Avec ce schéma, vous comprendrez aisément que si un piston sort complètement de son logement, toute l’huile se retrouve par terre et c’est, bien entendu, ce que nous ne voulons pas. Le joint flexible est utilisé pour éviter que l’huile ne fuite mais il est également l’élément principal qui ramène le piston dans son logement lorsque le levier de frein est relâché. 0. Préalable Tout ce qui est décrit ci-dessous présuppose que votre disque est bien plat (càd pas voilé) et que la surface de contact entre le hauban sur lequel est fixé l’étrier et l’étrier proprement dit est correctement propre et plane. Les deux plaquettes sont également dans un état correct et d’une usure similaire. N’utilisez pas des plaquettes dont la surface de freinage ne serait pas uniformément usée. 1. Les pistonnés La première chose à faire est de s’assurer de la propreté et de la bonne lubrification des pistons. L’idée est de faire sortir les pistons de leur logement sans dépasser la limite, de les nettoyer et les lubrifier. Tout cela sans vous retrouver avec toute l’huile sur les pieds et le piston à terre. Ne rigolez pas, cela m’est déjà arrivé. Euh … tout compte fait, si, vous pouvez rire. Tout en laissant la roue en place, on commence par enlever les plaquettes. Vous remarquerez l’identification des plaquettes «G»auche ou «D»roite pour pouvoir les remettre dans le même sens. Sur un disque, des creux et évidement des bosses se forment avec le temps et les kilomètres, bosses et fosses qui s'accentuent avec le temps... et évidement les plaquettes s'usent selon les bosses et dite fosses du disque ... donc si après un démontage -remontage on inverse les plaquettes, on aura selon l'importance des bosses et fosses, un freinage moins net.... voire même spongieux, le temps que plaquettes et disques accordent leurs fosses et bosses.... (merci @patlouis pour la précision). Vous pouvez déjà voir que ce disque n’est pas correctement centré et que la crasse s’est déposée un peu partout. Retirez maintenant la roue et, sans toucher à la poignée de frein, nettoyez la cavité intérieure de l’étrier à l’alcool isopropylique. Un petit nettoyage de l’extérieur n’est pas non plus du luxe. Il est maintenant nécessaire de bloquer les pistons pour qu’ils ne dépassent pas la limite d’échouage sur les orteils. C’est autant valable pour les freins à 2 qu’à 4 pistons. Chez SRAM, une clé Allen de 4mm fait l’affaire. Elle se coince parfaitement dans l’étrier. Chez Shimano, j’avoue ne pas avoir fait d’essai mais je pense qu’une clé de 3mm doit suffire. Les étriers HOPE sont un peu plus délicats car, contrairement à d’autres, ils sont usinés d’une seule pièce (ce qui est une bonne chose) et n’offrent pas la flexibilité nécessaire que pour pouvoir y coincer une tige de 4mm. Hope dispose dans ses accessoires d’un gabarit de la bonne dimension que je trouve un peu chérot pour ce seul usage. J’ai utilisé un bloc d’espacement (livré avec les freins) partiellement enfoncé. Une fois la clé (ou le bloc) bien coincée dans l’étrier, actionnez le levier de frein jusqu’à ce que les deux (ou quatre) pistons arrivent en contact avec la clé. Dans mon cas, le piston de gauche est le plus fainéant et j’ai dû insister. Une fois de plus, le but est d’exposer un maximum de surface afin de bien nettoyer et lubrifier le piston. La clé Allen vous permet juste de ne pas dépasser la limite. La première chose à faire est de nettoyer les pistons avec un coton-tige trempé dans l’alcool isopropylique. Evitez d’utiliser du nettoyant pour disques qui peut contenir des composants plus mordants qui risquent d’abîmer le joint flexible. Laissez bien les restes d’alcool s’évaporer avant de passer à l’étape suivante : la lubrification des pistons. Pour cela, il y a deux écoles : - Vous pouvez utiliser de l’huile identique à celle de votre liquide de frein soit de la minérale chez Shimano ou de la synthétique (DOT) chez Sram et Hope. - Ou alors, vous utilisez du silicone pur. L’idée est d’utiliser un produit le plus neutre possible pour le joint du piston. Le silicone est neutre pour le matériel mais également pour les mains et la peinture, ce qui n’est pas à négliger. Il se présente sous la forme d’un gel assez épais bien pratique pour l’étendre sans en mettre partout. J’utilise un pinceau pour badigeonner légèrement le côté des pistons en répartissant le plus possible le lubrifiant le long des pistons. Le pinceau permet « d’étaler » le lubrifiant vers le joint flexible. L’étape suivante est d’apprendre aux pistons à se comporter correctement. La clé Allen toujours en place, à l’aide d’un démonte pneu (une « minute ») en plastique il faut pousser chaque cylindre bien lubrifié par le silicone dans le fond de son trou, le faire ressortir en tirant (la poignée) et le repousser à fond … J’en vois déjà des ceusses qui rigolent dans le fond de la classe mais, cela dit, en dehors de leur esprit mal tourné, l’image est correcte. Il est important de laisser la clé Allen en place car le fait de repousser un piston pourrait faire ressortir, par la pression de l’huile, un autre et on se pourrait se retrouver dans le cas du piston et de l’huile sur les godasses. A ce stade, en principe, les pistons sont correctement lubrifiés et devraient se déplacer plus ou moins correctement. La synchronisation n’est jamais parfaite car les pistons et les joints flexibles s’usent de manière différente. Vous pouvez maintenant repousser les pistons dans le fond de leur logement et enlever la pièce qui empêche qu’ils ne sortent. Vous ne touchez plus au levier de frein. Donnez un coup de « loque » pour enlever le trop plein de gras. 2 Le centrage de l’étrier 2.1 A la paresseuse Dans la plupart des cas, quand on veut aller vite, on remonte les plaquettes et la roue et on pompe quelques fois sur la poignée de frein de manière à rapprocher les patins du disque. Inévitablement, cela frotte d’un côté car, comme expliqué plus haut, avec le temps et l’usure, les pistons ne se déplacent plus en parallèle de manière synchronisée. La solution la plus rapide est la suivante : - desserrer les deux vis qui maintiennent l’étrier sur le hauban de manière à libérer l’étrier - faire tourner la roue et actionner le frein en conservant la poignée tirée vers le cintre - resserrer les deux vis de fixation de l’étrier - relâcher la poignée de frein En général, cela marche … pour un temps. Cette méthode permet juste d’éviter le frottement continu d’un patin sur le disque. Elle peut être utilisée sur la piste mais ce n’est pas une bonne idée de la considérer comme universelle en atelier car elle ne centre rien du tout, au contraire, elle positionne très souvent l’étrier de biais. Vous pourriez vous retrouver avec des patins qui arrivent en oblique sur la surface de contact du disque, un patin qui arrive en premier sur le disque et qui « pousse » celui-ci vers le second patin ou un piston qui sort en oblique de son logement. 2.2 le « vrai » centrage Ici, nous allons centrer le disque dans l’étrier … ou plutôt l’étrier autour du disque. Centrer un étrier se fait à l’œil AVEC la roue mais SANS les plaquettes. Replacez la roue et serrez-la correctement. Généralement, l’étrier est maintenu en place par deux vis qui s’enfoncent dans le hauban. Dévissez légèrement ces deux vis de manière à laisser l’étrier libre. Positionnez l’étrier à l’œil de manière à ce que ses deux flancs internes se retrouvent équidistants du disque. Le disque doit se retrouver bien centré parallèlement aux côtes de l’étrier. HOPE nous facilite le travail car deux marques ont été tracées au laser sur le dessus de l’étrier. Serrez les deux vis et vérifiez le centrage. A ce stade, les pistons sont toujours au fond de leur logement car vous n’avez bien entendu pas touché au levier de frein (hein !). Repositionnez les plaquettes dans leur logement avec leur vis (ou leur goupille). A ce sujet, je vous rappelle que chaque plaquette ainsi que le ressort qui maintient ces deux plaquettes disposent d’un trou dans lequel la vis de fixation doit passer. Il n’y a pas si longtemps que cela, je me suis arrêté dans une rando à côté d’un vététiste qui avait perdu le ressort et qui s’étonnait du bruit de ses freins. J’ai également pris l’habitude d’élargir légèrement l’ouverture du ressort. J’ignore si cela a réellement une influence sur la qualité du freinage mais je pense que cela aide le joint flexible à ramener les pistons à leur place lors de la rétraction. Arrive le moment où il faut bien se décider à freiner. Tout est en place, il ne reste plus qu’à tirer un coup ( !) sur le levier de frein. Pendant cette opération, observez bien le comportement de vos plaquettes. Un des pistons est certainement plus fainéant que l’autre et il met beaucoup moins d’énergie à sortir de son logement. Pour résoudre cela, insérer le bout d’un petit tournevis plat entre la plaquette et le piston paresseux. Utilisez un effet de levier pour repousser la plaquette vers le piston le plus actif. Prenez bien soin de ne pas insérer votre tournevis entre le disque et la garniture de la plaquette. Redonnez un petit coup de frein et vérifiez le mouvement des pistons. Ajustez jusqu’à ce que les pistons sortent correctement de leur logement. A ce stade, tout est bien centré. Cela devrait vous assurer un freinage uniforme et sans frottement. Cette procédure est encore plus importante sur un étrier à quatre pistons.14 points
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Mode la vita é bella. 😊 Je me remets super bien de ma dernière gamelle. Mes côtes ne me font plus mal (sauf quand j’éternue). Juste mon épaule qu'il va falloir surveiller. Fin de mon arrêt de travail demain soir après ”seulement” 4 semaines (au lieu de 6 😎). Et comme un bonheur ne vient jamais seul, je passe d'un 3/5ème à un 4/5ème à partir de lundi !!!14 points
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et bien voilà. Prati di Tivo, jen ai parle dans le topic UCI. Aujourdhui, on a fait l’ascension vers Campo Imperator en partant de la mer. plus de 25 km de col. je suis HS. les deux derniers kilomètres ont été un enfer. mais on l’a fait ! 😎 on arrivera sur la pleine avec la pluie et 11 degrés. Alors que nous sommes parti du bas avec 26 degrés. mais quelle satisfaction …. Et plaisir d’avoir d’avoir fait ça avec le padre et ses 71 ans ❤️ et que dieu bénisse l’Italie et ses fontaines dans tous les villages quelques clichés pas toujours dans l’ordre12 points
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Bon, ce projet aura pris BEAUCOUP plus de temps que prévu (à croire que y a eu qq petites choses entre temps ), et aura pris BEAUCOUP de forme différentes... Mais c'est finalement lancé, j'ai la première pièce dans les mains. Petite larme à l'oeil après tout ce temps... Je n'en dis pas plus pour le moment, j'alimenterai le sujet au compte goutte au fur et à mesure. Une petite photo quand même, sinon vous allez pas me croire12 points
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Dernière petite course "bonus" de la saison. Further devait être la dernière mais on m'a motivé et la tête est encore ok pour une dernière. Après le compte sera bon. Puis ils annoncent 25/30°C THE GOATS 750KM / 18 000m d+ / 75% OFFROAD - Annoncé plutôt gravel Départ à de la Serra da Estrela( Covilha) soit les plus haut sommets du Portugal (1993m). https://www.thegoats.cc/ Ca risque de rouler fort avec Sofiane et Clément (Mahé) au départ. Bref ça va pas être de tout repos... Niveau setup, infidélité au Titane j'ai envie de repartir sur un carbone. Cannondale SuperSix EVO SE Roues ERASE GD35 / SRAM Force AXS 40-10.44 / FIZIK ARGO Adaptative 3D / Touareg 45mm + inserts Le tracking de la course: https://www.followmychallenge.com/live/thegoats23/12 points
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Ce week-end j'ai roulé avec Bryan May... Ce week-end avait lieu le BRM600 frontalier Team de Lux au départ de Marche. Je le dis tout de suite, je ne suis pas allé jusqu'au bout, mais ce n'est pas vraiment le plus important, même si ça laisse un petit goût d'inachevé. Le départ était prévu pour 6h dans le zoning à Marche. C'est un peu à la bonne franquette mais il y a assez peu de monde donc tout va assez vite. Les routes sont mouillées mais il ne pleut pas. On commence par du classique avec les grosses nationales jusque Durbuy, heureusement il est très tôt le w-e donc pas de trafic. Ensuite direction la baraque Fraiture avec un brouillard pas possible et là je sens que cette journée va être très compliquée car non seulement je n'avance pas et que du coup le fait d'être un peu trop chargé avec une monte de pneu gravel (pas osé prendre les Challenge par peur de problème me laissant au bord de la route) va encore aggraver mon cas. Enfin bon, les routes sont sèches et étonnamment la météo sera clémente pendant tout le parcours (juste 2h de pluie en tout et pour tout le dimanche matin). S'enchainent Gouvy Limerlé et l'entrée au Luxembourg du côté de Troisvierges. S'en suivent des routes que je connais relativement bien en tant que terrain de jeu en moto dans une autre vie. On suit la frontière de ce côté jusque Esh-sur-Sûre pour remonter vers Clervaux. Environ 180km parcourus et je n'en peux plus. Je dois m'arrêter plusieurs fois et faire quelques micro-siestes. A Vianden arrêt à la sortie de la ville et là je sens que ça revient d'un coup d'un seul. On est fin de l'après-midi et le temps de roulage va se poursuivre jusque 1h30. Quel plaisir de rouler sur les petites routes luxembourgeoises au tarmac parfait: ça monte et descend sans cesse, mais des côtes de 3 à 6km qu'on peut monter "à son aise" sans se mettre dans le rouge. Par contre, les Luxembourgeois ont de belles grosses bagnoles mais certains sont aussi de fameux kékés, jusque qu'ils roulent en Porsche plutôt qu'en vieille BMW série 3. 1h30 arrêt à Mondorf pour dormir jusque 5h à l'abri devant l'entrée d'un centre sportif. 330km "seulement" vu le rythme de cette journée. J'avais prévu 20 de moyenne tout compris et je suis plutôt sur du 18. Là je me rends compte que cette histoire va me mener très tard le dimanche. Après environ 80km retour en Belgique et ses routes infectes (le mot est faible). En plus plein de petits coups de cul qui donnent l'impression de toujours être en prise sans jamais vraiment avancer. A Etalle, je saisis une "opportunité" (certains diront quel fade de la guibole) pour tracer direction Arlon prendre le train pour Marloie après 430km. Faut aussi se dire que comme tout le monde, j'ai aussi une vie à côté du vélo et que là je vais largement déborder sur ce que j'avais prévu et que tant pis 600km ce sera pour une autre fois. Un peu dommage d'autant plus que physiquement je pense que j'aurais pu finir. Le bilan: - même si la première journée a été une de mes pires sur un vélo, je suis content de mon niveau physique. Lundi après une nuit de sommeil dans mon lit, j'étais étonnamment frais. J'aurais pu enchainer une très grosse journée (très bon signe pour le reste de mes objectifs). - j'étais mal équipé pour ce genre de parcours. Mon Look était plus adapté que mon Deroy qui faisait quand même figure de bonne grosse enclume avec tout son équipement comparé aux autres vélos. Certains étaient en vélo style aéro avec juste 2 bidons. En plus le parcours longeaient longuement la frontière Luxembourgeoise où il y a des stations d'essence partout. - certains tronçons étaient trop fréquentés à mon goût. Je ne sais pas combien de fois je me suis fait klaxonner et/ou doubler agressivement. - j'ai eu mal au cul comme rarement, pourtant même vélo même selle même position que pour les 470km de l'HorizonTaal qui étaient passés comme une lettre à la poste. Et ce n'est même pas vraiment au cul que j'ai mal, mais au niveau d'un os dans l'aine. Julien @Giskovcycle m'avait fait remarquer que l'assise de ma selle s'affaissait pas mal sous la pression, je me demande si ce ne sont pas les bords qui remontent sous mon poids et viennent me presser au niveau de l'aine. Brooks avec ses Cambium n'arrivent pas à la qualité du cuir de ses Team Pro (j'ai roulé un peu hier avec une Tealm Pro et ZERO gêne). Par contre la pommade barrière Comfeel est miraculeuse: aucune irritation, rien de ce côté. Mais qui est Brian May me direz-vous ? Et bien c'est une personne que j'ai confondu avec un membre du forum au départ et qui m'a rattrapé après la baraque Fraiture. On a roulé ensemble avant de se séparer à Clervaux pour finalement le rattraper à Vianden alors que je remontais la pente physiquement. C'est lui qui avait repéré l'endroit de bivouac sur Google Maps avant de partir, et c'est malheureusement lui qui suite à un problème de genou m'a dit à Etalle "je rentre" et que j'ai suivi (de mon propre chef). Une bien belle rencontre qui à elle seule justifiait cette sortie. La suite de mes objectifs au prochain épisode...11 points
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Je me permets de mettre qq photos en vrac de Tonton @jos_2001 C'était en effet bien sympa cette sortie, 9 rouleurs, 5000 membres non ? Only the braves Drôle de conditions météo en effet, pas de pluie ou presque , miracle, par contre le terrain était rigolo J'adore le côté jardinage moi par contre, on porte on découvre on glisse dans un torrent de boue, le pied (mais pas trop souvent vive l'été !!) After un peu trop courte pour nous mais juste content de renouer avec de vrais contacts entre membres Bmb , sindjeu comme dirait l'autre c'est quand-même plus gai que de parler covid et bagnoles Merci à tous les protagonistes du jour et ceusses dans l'ombre11 points
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Premiers tours de roues aujourd'hui pour vaincre ma trouille de remonter sur le vélo... 11 petits kilomètres de ravel avec Mme JojobleuE. Le vélo, c'est comme la bicyclette, ça s'oublie pas. 😊 Un froid glacial et pas mal de stress. Il faudra encore un peu de temps pour que ça aille presque tout seul mais, à part une légère sub-luxation de l’épaule gauche et les côtes un tout petit peu douloureuses, tous les voyants sont dans le vert. Je reprends le boulot à plein temps dès lundi !!! (Après 16 longs mois bordel) Je dois faire de la kiné pour l'épaule pendant encore 15 semaines puis 9 séances de kiné respi à cause d'un syndrome d’hyper ventilation causé par les traumas et stress à répétition depuis 2 ans. Je dois réapprendre à respirer... 2023 démarre super bien. Plus qu'à faire en sorte que ça continue. 🤞 Bisesssssssss à tous et courage aux blessés du fofo. 💪💪💪11 points
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Maintenant qu'on est plus lié à l'entreprise clé sur porte, on peut enfin travailler chez nous... Et quel plaisir de faire les choses soit même. Il ne reste que 2 structures à monter et placer puis OSB/placo/peinture avant de m'attaquer à l'électricité, la ventilation, le sanitaire et le chauffage. Encore beaucoup de travail mais c'est génial de se dire qu'on l'a fait nous-mêmes.10 points
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Dans ce post, aujourd’hui, je voudrais parler de ce sport et de la passion qu’il suscite… Cette course est juste incroyable. Hier, comme presque une fois tous les ans, je suis allé voir une étape du Tour de France. Cette année, nous avions jeté notre dévolu(y) sur l’étape 17. Point de vue planning et distance de la maison, c’est ce qui faisait le plus de sens. Ce n’était pourtant pas la porte à côté mais cela en valait vraiment la peine. Le matin, nous avons donc chargé les vélos à l’arrière de la voiture et nous avons pris la route. Vers 11h, nous étions au sud de Grenoble et nous avons entamé notre tour en direction du Col du Noyer. Temps exceptionnel, paysage fantastique, itinéraire très peu fréquenté, la journée de vélo s’annonçait parfaite… et elle le fut ! Arrivé au pied de l’ascension, la tension qui montait déjà en nous, s’est transformée en pur bonheur. Vous vous retrouvez sur un col magnifique encouragé par une population de tout horizon ! Quelle joie de devenir acteur du Tour entre le Fan Club des Ultras de Jan Ulrich, les milliers de Slovènes et Danois, Papy et Mamy en vacances camping, la famille belge fan de Wout, les souvent déçus supporters de Guillaume Martin, j’en passe et des meilleurs. Et l’extraordinaire ne s’arrête pas là, après une super ascension, vous posez les vélos au sommet, dégustez vos frites et crêpes bien méritées, récupérez pendant le passage de la caravane et redescendez quelques centaines de mètres à pied pour trouver le spot parfait. Le paysage est magique et l’endroit où nous nous posons nous permet de voir les coureurs arriver au loin, prendre les virages et passer devant vous. Incroyable de voir en direct l’attaque de Pogacar, de suivre la poursuite de Remco et de voir leur regard, leur visage et la détermination de ces pros. C’est aussi la détresse et la souffrance de certains sur le vélo et surtout le show en wheeling de notre champion national suite à la standing ovation qu’il a reçue ! J’adore les sports (presque tous), j’aime les événements et j’ai la chance d’avoir vu de (très) près de nombreuses compétitions parmi les plus prestigieuses. Néanmoins, de par la proximité qu’il offre, son accessibilité et sa popularité, je trouve que le Tour de France est la plus belle course au monde. Si vous avez l’occasion, allez-y ! C’est ça le Tour ! WhatsApp Video 2024-07-17 at 19.29.57.mp410 points
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Je voulais juste vous souhaiter à tous un très joyeux Noël et une bonne année, surtout une bonne santé ! De nos jours, les gens ne s’embêtent plus a écrire des mots perso à leurs amis et à leur famille, ils se contentent d’un copier-coller de conneries qu’ils transférent... Alors, après tout ce que nous avons vécu cette année, je tiens à vous remercier pour votre amitié et vous souhaite une bonne année 2018 ! Vous êtes le meilleur groupe de gym que l'on puisse avoir. Meilleurs voeux, Chantal10 points
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j'ai demandé à Eddy de se lancer dans le bikepacking. Mission réussie10 points
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Départ de la maison jusqu'à la gare, train pour Eupen. On est allé chercher la Vennbahn à Raeren. Là on dort près de Monjoie, au début du parc de l'Eifel. Demain, re-Vennbahn jusqu'à Butgenbach, en espérant du soleil pour profiter du lac et de la piscine. Dernier jour, ravel jusqu'à Trois-Ponts, et train retour jusqu'à Angleur et vélo jusqu'à la maison. 15, 13 et 7 ans et demi. La petite a super bien roulé 👍10 points
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A la place habituelle. Pour les aveugles, c'est donc un Look Huez RS 785. Le proprio précédent a acheté la version de base, puis a changé la transmission (Ultegra vers Ultegra Di2), les roues, la potence, le guidon et la tige de selle. A peu près tout sauf le kit cadre. J'avais un peu peur du drop, mais le vélo a le même stack et le même reach à 1 ou 2 mm près que les recommandations de mon étude posturale. Reste la potence de 110 pour laquelle j'avais un peu peur, mais non, ça passe très bien. Le vélo est "standard": pressfit classique, tige de selle en 27.2mm avec collier, câbles "semi-intégrés". Seul détail qui fait que le cadre montre son âge, les pneus en 30mm max. J'ai fait 90km avec ce matin et que dire ? J'entre dans un autre monde par rapport à ce que j'ai connu. C'est 20 ou 30w de moins pour maintenir la même vitesse sur le plat, j'ai accéléré dans une côte et j'y ai pulvérisé mon record, il est très facile en danseuse et en plus très bonne surprise, le vélo est très confortable (pourtant pneus de 26mm en chambre). A confirmer pour les jantes en 45 mais dans une descente à presque 60km/h, j'ai bien senti les rafales de vent (mais j'ai des 35 qui trainent). Premières impressions très positives, je pense que c'est un vélo qui va faire de la borne. @Blacksad Le cadre arrive. Enfin c'est ce qu'on me raconte depuis des semaines...10 points
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Hello tout le monde Bon inutile de vous dire que ça s'est bien passé, je pense que vous l'avez remarqué. En dehors de la course elle même, la région est folle. Canon et assez reculée comme on aime! Position un peu particulière en chasseur jusqu'aux 250 derniers km. C'est un rôle qui me va assez bien avec ce côté grisant quand on reprend des gens devant sois Sinon en dehors de ma mésaventure plaquette, qui n'a d'ailleurs rien à voir avec les freins SRAM au final qui fonctionne réellement très bien (Level Ultimate) tout s'est bien passé. Etre hors course un moment a vraiment fait une pause dans la course avant de s'y remettre complètement. Je ferai sans doute un CR plus long plus tard. Le setup au passage La trace si ca en intéresse: https://www.strava.com/activities/115495622799 points
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Vous l'avez peut-être vu au JT le 24/3 quand on était à Bike Brussels, voici qu'il vient d'être embarqué pour On n'est pas de pigeons de vendredi 😎 WhatsApp Video 2024-04-04 at 11.30.58.mp49 points
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Petit déterrage mais comme on commence à voir de la lumière au bout du tunnel de nos travaux dans notre nouveau chez nous, ma petite femme m'a gentiment demander de mettre de l'ordre dans le bordel qu'est mon futur atelier vélo (non non, pas un garage, atelier vélo !) Du coup j'ai enfin pris le temps de fixer les portes vélos muraux et de faire mon joli mur à vélos Me reste mtn à organiser le côté établi et outil, mais ça c'est pas gagné 🫠😅 Plutôt content d'être enfin chez nous aprzs 6 mois de travaux et d'aller retour entre notre ancien appart et notre maison, mais satisfait du résultat et de voir que ça prend forme doucement 💪💪9 points
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Petit podcast sur la plateforme auvio de la RTBF! https://auvio.rtbf.be/emission/made-in-belgium-259499 points
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Le mystère de la réussite des cyclistes flamands vient enfin d’être mis à jour grâce à deux courageux enquêteurs namurois qui ont réussi à intégrer une équipe néerlandophone de gravel afin d’en dénicher les secrets les plus profondément enfoncés. (ndlr : d’habitude, ce sont plutôt les cyclistes francophones qui l’ont bien enfoncée). Leur récit : « Cela fait des années que je participe aux différentes classiques de VTT flamandes dans l’espoir de découvrir ce mystérieux secret. Du mur de Gramont, à la Tour de l’Yser, en passant par les vignobles d’Overijse, les terrils limbourgeois et les cimetières d’Ypres, je suis toujours revenu bredouille de ma quête du Graal flamand. Quel est donc leur méthode pour truster les meilleures places des podiums ? J’ai tout essayé : les stéroïdes anabolisants, le pot belge, le vin Mariani, les diurétiques, l’héroine, les amphétamines. J’ai pris de l’EPO à en sortir par les narines. Je me suis même découvert un asthme chronique. Mais rien … rien n’a marché et je me retrouvais inévitablement à me traîner comme une merde derrière les cyclistes flamands. Tout ce que j’y ai gagné, ce sont des couilles fripées, des jambes de Hulk avec un torse de pigeon, des bouffées de chaleur, des éruptions cutanées et une b**e qui pousse vers le bas. En désespoir de cause, nous avons changé de discipline et nous nous sommes inscrits à un gravel du côté de Bruges. Les distances de 55 et 105 km étaient proposées. Comme on ne voulait pas taper la honte à nos hôtes, nous avons opté pour le 55. La météo était au beau fixe mais nous sentions que cela n’allait pas durer. Effectivement, arrivés au ravitaillement, la grosse drache qui pisse nous est tombée sur le crâne et nous avons juste eu le temps de nous mettre à l’abri sous un de ces petits bâtiments que l’on trouve sur les parkings flamands et qui proposent des toilettes (propres) avec évier (propre) et papier toilette (propre aussi), une table (propre) et des petits sièges (propres) ainsi que des panneaux d’affichages didactiques qui montrent tout ce qu’il est possible de faire dans le coin. Ce n’est pas vraiment le genre d’équipement auquel nous sommes habitués de par chez nous. Comme d’habitude, nous sommes arrivés dans les derniers en ayant quand même réussi à dépasser un enfant de sept ans sur un tricycle, un unijambiste en monocycle et une grand-mère sur un vélo hollandais avec son chien dans un panier. Nous avons appris par la suite que cette dernière avait été disqualifiée car elle n’était pas inscrite, vu qu’elle venait de s’échapper de sa maison de repos. Une fois installés à l’after, nous avons eu la révélation et nous avons enfin réussi à percer le mystère mystérieux quand un des concurrents, probablement distrait et à l’insu de son plein gré, a révélé le pot aux roses belges … que nous avons immédiatement immortalisé par une photographie qui servira de preuve lors de la prochaine réunion de l’UCI. Le secret, c’est une combinaison de deux boissons locales : une espèce de bière rouge et un liquide bizarre nommé « Blonden Os ». A postériori et en y réfléchissant, je m’étais fait la remarque que c’était bien la première fois que l’on me proposait ce type de breuvage à un ravitaillement en plein milieu d’une course. J’en comprends maintenant la raison. Une fois le secret percé, bien entendu, nous avons voulu l’essayer. On s’est envoyé le contenu des deux bouteilles et attendu quelques minutes. Mais, bon … comme on ne sentait rien de spécial, un peu comme le centurion Caius Bonus, on a repris une dose en se disant que cela devait agir lentement. … A la cinquième dose, je vous confirme que l’on se sent pousser des aiiiiles et que tout va beaucoup mieux. Promis juré, la prochaine fois, on essaye cela en compét … » Eric9 points
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Back et petit cr: Après la superbe expérience de l'année passée, rendez-vous était pris depuis des semaines pour cette édition 2023. On s'était aussi dit qu'un petit wè en communauté serait de bon aloi et donc nous avions loué 2 "mobile home" au camping de Saverne soit à 15 grosses minutes du lieu de départ. Question repos et fraîcheur du lendemain, je ne suis pas sur que c'était le choix du siècle mais par contre, question ambiance on ne s'est pas raté Au final, notre plus grosse crainte était certainement la météo....assez incertaine et changeante tout au long de la semaine....du moins concernant le samedi puisque le dimanche était annoncé sec. Elsass J1: 62km pour 1800 de D+ Presque comme d'hab, levé aux aurores (6h un samedi matin quoi), on start passé 8h30 Ben oui, ça papote, ça rencontre des têtes connues de partout, ça doit faire son ultime popo, ça prend des photos...... Bref, on s'élance donc sur cette première boucle sous un ciel bien bien chargé voir menaçant....mais il fait super bon voir même lourd.... Premier single classique pour quitter l'esplanade avec une première bonne surprise, le premier tas de cailloux dégueux rencontré après 300m passe nickel sur le bike contrairement à l'année passée..... Assez rapidement et après un passage au pied du château de Wangenbourg , on attaque la première montée du jour....assez soft zigzagant dans les myrtilliers... Petit changement, on ne poursuit pas la côte jusqu'en haut....on bifurque pour attaquer une portion d'environ 5km ondulante et très forestière, jolie mais sans plus avec une certaine dose de chemins larges. Ayant comparé les traces 2022 et 2023, j'ai quelques craintes sur les quelques changements repérés..il faut dire que le tracé de l'année passée était sublime. Alors que je m'attends à tout moment d'attaquer la saleté de descente des bucherons, grosse surprise on plonge dans un single descendant de fou, à flanc de colline sur une toute toute petite corniche très très déversante par endroit....plus de 3km et 300m de D- d'une traite et surtout de pur bonheur WOW....magistral..... Par contre en SR, j'ai les mains complètement laminées S'en suit assez rapidement une montée magnifique sur un petit single, typique de l'Elsass....sente étroite, racines et cailloux à éviter....soit hyper ludique.... On attaque ensuite une zone que j'appellerai de transition alternant singles et chemins plus larges dans laquelle je retiendrais essentiellement une longue longue descente bien cassante nous amenant dans la bucolique vallée de la Zorn. S'amorce déjà l'ultime montée du jour, un vrai défi, celle du col de la Schleif.....plus de 7km pour 450m de D+ mais majoritairement sur un petit single montant par moment bien technique, ce qui me vaudra une chute dans le "ravin" après un déséquilibre sur un rocher....plus de peur que de mal heureusement. A 800m d'altitude il fait carrément frais, on ne traine pas au ravito et on attaque une dernière portion "classique" et absolument magnifique: descente dans les gros blocs rocheux sur Rosskopf suivi de singles toujours descendants sauvages pour terminer par une nouvelle descente tabassante au possible et surplombant un petit ruisseau..... Soit 5km de portion descendante parfois bien bien engagée...... Retour par un énième single en sapinière dans la vallée de la Mossig A l'arrivée, le sentiment d'une belle sortie, moins physique que la boucle 1 de l'année passée et avec en tête non seulement les quelques magnifiques passages du jour mais aussi les quelques petites portions parfois longuettes de chemins plus larges. Elsass J2: 70km pour 1930m de D+ Qui a décidé de mettre le réveil à 5h45?!! Je veux des noms Bon, vous l'aurez compris, réveil bien matinal pour cette 2ème journée de l'Elsass.... La soirée de la veille fut magnifique avec tout le groupe, festive juste ce qu'il faut et c'est plein d'entrain mais aussi de questionnements sur le tracé du jour qu'on arrive sur le lieu de départ. En effet, le site de l'organisation annonce seulement 1560 de D+ Plusieurs cops pensent donc que cette 2ème boucle est plus facile.... Difficile d'y croire qd on voit la région et qu'on a analysé rapidement le tracé.....certains vont d'ailleurs souffrir en fin de parcours. Allez goooooooooooooo pour cette 2ème journée.... Descente très flow classique d'entée de jeu, juste faire gaffe aux derniers mètres caillouteux puis attaque, après 1 gros kilomètre , de LA côte du jour soit plus de 5km dont le premier est à 9% de moyenne..... ça pique et même si cette montée est absolument superbe car encore une fois tout en single technique, à froid, le 2ème jour, et bien c'est dur....les jambes tournent carré et le cœur s'affole vite...... D'emblée on constate qu'il y a beaucoup, beaucoup de monde sur la trace.....ce qui nous fait stratégiquement pousser fort à certains moments pour dépasser des pelotons de vététistes parfois totalement en perdition et espérer profiter des nombreux singles suivants.... Après cette montée, on s'élance dans une portion d'environ 15km à profil descendant nous amenant vers Dabo, succession de magnifiques singles et de quelques passages déjà plus techniques pour terminer par l'exceptionnelle descente vers Schaeferhof.....;des épingles, du pentu, du dévers, des marches immondes.... bref du VTT très engagé.... Même si je prends mon pied, difficile d'en profiter totalement, bcp de bikers sur le premier 2/3 de la descente....dont encore une fois, la majorité à la ramasse.... On arrive à se faire un peu de place pour vraiment tout lâcher dans les derniers lacets et arriver avec une banane d'enfer au gargantuesque ravito de Neustadtmuhl: fontaine de chocolat dans laquelle on peut tremper gaufres chaudes maison, fruits....et moultes délicieuses choses à manger Après le ravito, on aura droit à un très beau single de 3km, assez physique sur sa première partie car très ondulant .... A la sortie de ce single, fini de rire....on s'élance pour une portion de 23km à profil montant Mais en fait, cette portion est juste géniale.....il s'agit d'une alternance de montées parfois très techniques (racineuses ou caillouteuses à souhait et zigzagant dans la pente ) ou challenge, de singles vraiment hyper flow et de portions descendantes parfois un peu tendues notamment sur La Hoube: start par un single sur un ancien mur? aqueduc? suivi de marches puis d'un plongeon bien caillouteux, faut pas se tromper de trajectoire.... On arrive donc assez vite au clou de la rando, la descente de Muhlberg ....celle là, elle est vraiment exceptionnelle.....elle commence le long d'un site d'alpinisme, cette minuscule trace se glisse d'abord entre les rochers, ondule, zigzage puis se décide à enjamber les cailloux....et là il faut être bien bien vigilant, surtout avec mon pauvre petite semi-rigide..... Après un volée de marches bien raides, premier pied à terre....on arrive sur un mur de soutènement qu'il faut soit jumper?! soit faire en nose-turn (enfin surtout faire à pied ), juste après une épingle rocailleuse exposée (là aussi, te voet pour ma part) mais tout le reste sur le bike..... On a croisé quelques marcheurs qui nous ont regardés passer un peu interloqués Le parcours devient alors vraiment plus sauvage, je sais alors qu'on se dirige vers Freudeneck par une succession de superbes traces. Cette portion d'environ 6km se termine par une double descente très agréable. Après le dernier ravito, on attaque la côte la plus coriace du jour, celle des myrtilliers soit 500m pour 17% de moyenne à escalader sur une minuscule trace technique...... Perso je l'adore cette côte.....elle est terriblement challenge surtout placée à ce moment de la rando....celui qui est très fort pourra d'ailleurs tenter de se retourner au 3/4 de la grimpette pour admirer le paysage splendide (perso j'étais vraiment à la limite du craquage intersidéral et j'ai surtout regardé ma langue frotter mon pneu avant ). La boucle finale a fortement été revue par l'année passée....exit une longue longue portion de faux plat chiante sur chemin large et la côte dégueulasse qui allait avec....le tout remplacé par une dizaine de bornes ultra forestières, très ondulantes et donc très physiques parsemées de très très beaux singles !! Top top top ! On rejoint enfin les parcours commun pour un final typé elsass, ça bombarde encore un peu: enchaînement de descentes et montées jusqu'au bout du bout..... L'arrivée est là, l'adrénaline, les applaudissements et encouragement des bénévoles me poussent à un dernier sprint...... Quel PIED........quelle plaisir....quelle banane..... Comme une envie de prolonger et prolonger ce moment et ce sentiment d'euphorie. Les copains arrivent un à un, comme une envie de partager toute cette émotion avec eux. L'after fut long, la black gouleyante et la flammekueche délicieuse En conclusion, ce fut une magnifique édition ponctuée par une 2ème boucle réellement formidable, rien mais rien à jeter.... Un fléchage instinctif et très bon, Des ravitos gastronomiques, Des bénévoles souriants, Une très belle bande de copains, Un wè parfait,9 points
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Bon ben ça a été plus facile que prévu. Ils ont commencé en disant que la chef me voulait et me voyait bien dans son équipe. Du coup ils m'ont directement demandé ce que je voulais. J'ai sorti le chiffre en expliquant pourquoi j'arrive à ça. Elle n'a pas bronché et m'a dit que ça se tient mais que la chef doit valider et elle peut me chanlenger quand on se parlera vendredi (normalement). :jecroiseencorelesdoigts:9 points
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Mon fils a fait le challenge Bensberg avec un VTT 26 pouces que je lui ai monté pour ses cours de VTT. Sur certain CX c'était un avantage (Malmedy, Wégimont et Hélecine) pour les autres courses c'était clairement un désavantage par rapport aux vélos de CX. Au vu de sa taille 1m25 et 23 kg, j'aurais pu choisir un CX avec des roues de 24 pouces et ou 26 pouces. Mais bon c'était finalement trop proche de son VTT. De plus il est difficie de trouver des pneus tubeless de CX dans des tailles de roues si petites. J'ai donc cherché à la 'caser' sur un CX prévu pour roues de 700C. J'ai vu que la marque Hup bikes faisait ce type de cadre pour les touts petits avec un argumentaire pour l'utilisation de roues de 700C. J'ai pris la plus petite taille disponible dans leur gamme. D'après leur guide de taille, cette taille est encore un poil grande pour mon mini gabarit. Toutefois, le site Hup Bikes précise que l'on peut utiliser le cadre avec des roues en 650B pour les touts petits. Cela tombe bien, j'ai une paire de roue 650B que je n’utilise plus pour mon gravel. Ce sont des roues d'occasions que j'ai rachetée à MissJuju (moyeux DT 240 sur jante AM 101 montée par Topwheels). J'ai commandé le cadre fin novembre lorsqu'il était enfin à nouveau disponible. Avec le cadre, j'ai pris la plus petite potence (35 mm) et un cintre de largeur 34 cm. Le tout pour un montant de 605 € mais c'était avant les frais de douane de 176 €. Avec les délais de la douane, la commande est arrivé une semaine avant Noël. Commande très bien emballée avec les axes traversant et une série de petits accessoires pour les passages de câble. Cependant, il manquait le collier de selle. Heureusement que j'avais en stock un collier qui convenait. Pour le montage outre les roues, j'avais également de stock, mes ex-poignées Sram force CX 1 11V, une cassette Campagnolo 11V en 12 - 32 et une chaîne KMC. A partir de là, j'ai commandé les éléments suivants : - étriers flatmount Sram Rival d'occasion sur troc vélo - selle spécifique kids (idélament j'aurais voulu la même selle minuscule que sur son VTT mais Early Rider es en rupture) - tige de selle droite 27,2 de chez Lyti (léger et pas cher) - une paire de pneu Tubeless ready Schwalbe G one en 27,5 (en fait le seul modèle CX disponible en 27,5) - une guidoline Lizard skins car il le vaut bien - un pédalier Sram GX en longueur 165 mm comme sur son VTT - un plateau absolute black en 30 dents - deux disques Ashima 160 mm Voici ce que cela donne une fois monté Il a pu rouler une semaine avec le vélo (un peu plus de 100 km). Et il est ravi car la très bonne surprise est que ce vélo est maniable. Pour les braquets, c'est nickel car pas de trou entre pignon et il utilise toute la cassette. Pour d'éventuelles course sur route, je pourrais changer le plateau par un 34 ou même 36 dents Pour vérifier les passages dans le cadre, j'ai monté mes roues gravel en 700c avec pneus de 40 mm et la seconde bonne surprise est que cela passe nickel. Il pourra donc utiliser ce vélo longtemps que ce soit en version route avec mes roues carbone en 700C ou en version CX avec des roues de 700C. Pour l'interchangeabilité entre son vélo, mon vélo et celui de sa maman, j'ai choisi de mettre tout le monde en disque de 160 mm.9 points
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