sdon1011

Ecolo bobo islamo gauchistes (c) !

Ma femme et mon fils en ont une.

C'est lui le cuisinier ?

A voir les réalisations anglaises dans le domaine de la moto, on imagine aisément que les démarches administratives pour l'homologation sont plus aisées qu'en Belgique ou en France. Sinon: https://www.dhnet.be/regions/bruxelles/bruxelles-mobilite/la-recharge-sauvage-de-voitures-electriques-en-hausse-a-bruxelles-il-est-interdit-de-tirer-un-fil-sur-le-trottoir-rappelle-van-den-brandt-625ebea6d8ad582648b5daee On restreint l'accès à Bruxelles à certaines catégories de véhicules, avec sans doute une partie de ces personnes qui passent à l'électrique, puis les communes menacent de verbaliser les gens qui rechargent devant chez eux.

Top pour des drifts sur le parking du Cora !

@DamT Tu t'adresses au "siffleur à mollets" à l'échevinat de Charleroi !

Quasi jamais rien eu comme infrastructure au taf. Des années durant, pas de douche et le vélo accroché dehors à du mobilier urbain. Ici déménagement de la boite hier, j'ai juste vu un rack à 2 balles jeté devant l'entrée. Mais c'est un gros complexe de bâtiments tous les mêmes, il y a peut-être une infrastructure commune cachée quelque part. Sinon, pas de parking souterrain, donc c'est dehors de toutes façons. Pas vu de douche à l'intérieur non plus. Pour les infrastructures routières orientée vélotaf, je pense qu'il faut les oublier pour un moment en Wallonie. Nos politiciens en sont encore au Ravel et n'ont plus un balle en caisse. Et ça douille vite je pense ces aménagements.

En vélotaf surtout longue distance, c'est tout à fait indiqué je trouve. Il vaut mieux un vélo qu'une caisse. Reste que les rolls des VAE coûtent plus cher que ma Dacia Dokker, qui peut rendre pas mal d'autres services. Pour le vélo dit "sportif", le plus tard possible pour moi, voire jamais.

On en avait parlé. Et donc au niveau compatibilité avec l'ancien moteur ? J'avais dit zéro chance, il en est quoi finalement ?

Hier j'oublie les phares de la Suzuki sur le parking du boulot, j'ai chipoté car c'était le 1er jour sur le nouveau site de la boite, j'ai dû zapper l'alerte des feux resté allumés. Le dépanneur arrive: "C'est une Suzuki, donc c'est forcément la batterie. C'est pas pour rien que je roule moi-même en Suzuki".

Encore pire aux yeux de l'UCI si c'est une piste cyclable: Lampaert aurait dû avoir une amende ! https://www.rtbf.be/article/les-coureurs-qui-emprunteront-les-trottoirs-ou-pistes-cyclables-au-ronde-seront-sanctionnes-9570210

21h52, début de la tranchée d'Arembert, avant que ma lampe ne me lâche. J'ai hésité une fraction de seconde à passer les barrières que l'on devine sur la droite pour emprunter la partie asphaltée. Même pire, une petite erreur de trace m'a fait arriver le long des barrières que j'ai remontées pendant 100m pour prendre les pavés.

Du XC à l'américaine. Des montées de 1h pour le kom puis des descentes chronométrées comme des spéciales d'enduro:

A la Maletni je suis sur une route à l'entrée d'un village et je rate la bifurcation à gauche, un petit chemin dans une foret. Je fais demi-tour, et là une harde d'une dizaine de sangliers sort du chemin que je devais emprunter.

Je me requote moi-même. C'est certain qu'avec le cushcore je n'aurais pas eu ce problème: le pneu a été pincé et n'est même plus étanche. Le gag, je m'en suis rendu compte quand j'ai réussi à monter ce pneu avec un insert justement. J'aurais dû l'inspecter mieux car à cet endroit précis il y avait beaucoup plus de sealant séché qu'ailleurs. J'ai monté un autre X-One, incroyable la différence de souplesse des flancs, car il s'est monté avec une relative facilité avec le cushcore. La différence c'est la couleur des flancs (beige vs normal), peut-être que ça influe. J'avais bien remarqué que ce X-One à flanc beige tenait ses flancs plus d'un Marathon que d'un pneu tubeless.

@Loulou Ils m'ont assuré qu'ils allaient me l'envoyer. Sinon ce matin j'ai fait une tentative de remontage de mon pneu AR en tubeless. En fait il est déchiré sur 1cm très près du bord de la jante, donc normal qu'il n'ai pas voulu claquer avec mes 2 cartouches de CO2.

Je mentirais si je disais qu'après 18km je ne me voyais pas rentrer à pied à la bagnole par la force des choses. Puis ce monsieur tout calme tout gentil est arrivé avec sa chambre à air providentielle. Je mentirais aussi si je disais que j'ai vraiment pris du plaisir tellement j'avais peur de crever par pincement. Je n'ose pas m'imaginer sonner à ma femme pour lui demander de venir me chercher à Ronse avant d'aller à Tilloy pour reprendre ma voiture.

je me quote moi-même. La Malteni c’était hier. Je pense qu’avec un insert jamais je n’avais ce problème avec mon pneu arrière. J’ai essayé à nouveau cet après-midi. En 10 minutes c’était plié. Je pense que la température joue énormément. J’ai bien senti que l’insert était beaucoup plus malléable.

A Amay c’était affiché déjà l’année dernière que des pourparlers étaient en cours. Les affiches demandaient aussi de ne plus emprunter les traces pirate. À espérer que les traces seront mieux entretenues que les traces XC (plus moyen de faire la bleue par manque de balises sans doute depuis plus de 10 ans alors que la rouge a été revue récemment).

Ouch. Le bras de levier entre l'axe et la douille de direction et ton poids sur la selle ont dû faire que le point faible à lâché. Le tube est cintré à cet endroit précis dirait-on. Il est arrivé le même genre de truc hier à quelqu'un sur la malteni: roue AV bloquée dans une ornière perpendiculaire à son sens de marche, le cadre a pété net sous l'effet de la vitesse et du poids du pilote (un beau gabarit). EDIT: peut-être aussi que le renfort entre les 2 tubes a joué, transmettant l'ensemble des forces plus loin dans le cadre. EDIT 2: sur le site Chiru pour le Divider ce renfort n'est pas (plus ?) présent.

Énormément de traces sympas dans un beau bois (près de Stambruges?). Pas beaucoup de D+ sûrement mais du VTT ludique dirais-je. J’y suis aussi passé hier dans tous les sens.

Compliqué ce fut. Après une nuit de merde avec le froid (mais ça c’est ma faute), je constate que mon pneu avant est complètement dégonflé. Je regonfle et deux minutes avant mon départ je dois à nouveau regonfler. Je démarre à 6h14. Les débuts sont difficiles, buée sur mes lunettes, les yeux qui pleurent avec le froid. Mais bon je suis habitué. Par contre je sens que mon pneu avant est de plus en plus bas en pression: je tape la jante et les freinages et les virages sont compliqués à négocier. km18: je me laisse aller sur un chemin de campagne en descente et paf dans une compression, je perds tout l’air de mon pneu arrière. J’avais trouvé au montage que les flancs étaient plutôt rigides, donc ça n’a pas manqué: comme il s’est décollé de la jante je n’arrive pas à le faire claquer. Deux cartouches de co2 plus tard, je monte une chambre… qui ne veut pas non plus monter en pression. Je me vois alors retourner à pied à ma voiture. Puis arrive mon premier sauveur du jour: le dernier concurrent, un flamand arrivé en retard qui lui s’arrête et me donne son unique chambre à air de rechange. Après plus d’une heure le revoilà en selle. Par contre, ça va immanquablement changer le reste de ma journée car en cas de crevaison, je devrais patcher une chambre pleine de sealant. Je vais donc devoir rouler sur des oeufs toute la journée. Mon pneu avant continue lui à se dégonfler, toutes les 15 minutes je dois le regonfler. Et là arrive mon second sauveur. Dans un village j’entends un compresseur fonctionner dans un garage à moitié fermé. Je hèle la personne occupée mais il n’a pas de convertisseur scheider vers presta. Je fouille mon brol et bingo ! Je lui demande de mettre 4 bars car je suis sûr que quelques kilomètres plus loin je vais de nouveau être à plat. Et bien non! À partir de là mes deux pneus tiendront jusqu’au bout. Au détriment du confort qui est réduit à zéro, je rebondis comme une balle magique. Je dois même enlever la montre de mon poignet qui me fait super mal. Au CP1 km75, j’arrive 1/4h avant la fin des délais. Mais c’était la partie facile. Entre le CP1 et le CP2 km145 on se prend tout le D+ quasiment. Des montées techniques, des descentes du même tonneau où je suis quasi à l’arrêt. Plus tous les Berg (parfois off road). Mention spéciale au Koppenberg qui m’a semblé le plus impressionnant, devant le Paterberg. Au CP2 on me laisse continuer même si je suis trop tard. Encore un bois très compliqué puis rien que du facile. Au CP3 personne. Ils ont plié bagage. La nuit et le froid tombe, et je vais devoir faire le reste en tee-shirt car j’ai laissé ma veste au CP1. Les deux derniers terrils se feront dans le noir, dont un avec des épingles en descente, si j’y tombe on m’y retrouvera le lendemain. Tranchée d’Arembert. Ma lampe rend l’âme avec les vibrations. Me reste juste ma frontale. Un peu juste niveau luminosité, dans un chemin plein d’ornières je tombe en contrebas dans les ronces. 23h environ j’arrive à ma bagnole. Plus d’organisteurs. Je suis tout seul avec la femme du restaurant qui m’ouvre quand même et me donne une bouteille d’eau (ça faisait 60 bornes que j’étais à sec). Plus que 1h30 de caisse pour rentrer chez moi. j’ai roulé sans doute aux alentours des 14h. Et quasi 3h de pauses (même si je les ai réduites au strict minimum aux 2 CP). 239km, 2500m D+. Aujourd’hui, à part un peu mal au cou et la bouche tout irritée (difficile d’avaler), je suis étonnamment bien physiquement. Pénible ce fut, mais au final j’y suis arrivé. PS: je n’y retournerai pas. En tant qu’organisateur je ne laisserais jamais un mec seul dans la nature.

Non pas moyen de me suivre. Il me semble que c’était le cas les autres années. Je fais partie des 2 peï en crocs 😉 Il y en a qui ont l’air drôlement affûtés. D’autres qui fument et enchaînent les bières. Et qui finiront probablement avant moi.

Setup nocturne. Je ne savais pas faire ça avec l'Expert car la bonbonne de gaz était dans le compartiment de charge. Tout passe au cm près en longueur/hauteur/largeur.

Vallée du Geer/Jeker ?