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7 juillet 2012 (Route) La Marmotte - Bourg d'oisans (Isère) - France


Pierre Kiroul

Messages recommandés

:s loin de moi de vouloir "juger" Pierre....comme tu le dit si bien, faut le vivre pour comprendre....juste dit que SI c'étais possible ce serais certainement mieux "convivial" de se serrer les coudes et surtout de s'encourager mutuellement....en roulant en groupe....

je suis sur que te connaissant, tu aurais quand même préféré aussi dans la mesure du possible de le faire en groupe et non pas individuellement...

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Pat' est en triple... et à mon avis, c'est bien utile ! Perso, je ne m'imagine pas grimper ce genre de difficultés en double, même compact. :52_52: Un compact passe partout en Belgique (mon ancien route est même monté en 39/53 :fou:), mais les côtes ne durent jamais longtemps => on peut se permettre un surrégime temporaire dans les gros pourcentages, mais quand ça grimpe pendant plusieurs heures de suite, c'est impossible. Bref, si je suis assez fou pour tenter cette aventure un jour, il faudra que j'investisse dans un triple... :( Bigben.

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très beau reportage photo, 3615 ! le temps était de la partie, c'est aussi un allié ! pour le fait de rouler en groupe, j'aurais fait comme vous : mon MP3 chargé de chansons de barbares métalleux assoifés de riffs interminables et de rythmes endiablés afin de cadencer ces ascensions mythiques ! :devilsmiley:

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je confirme...j'etais en triple et derriere j'avais un 29..... mais bien plus que je triple c'est un gros entrainement qu'il faut prévoir....si j'y retourne quand j'y retournerai....(je n'aime rester sur un echec... :thumbsdownsmileyanim: ) c'est avec 5000 km minimum 3 ou 4kg de moins et beaucoup de d+ dans les jambes j'arriverai la... :banana:
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wouaw, extraordinaire les amis, bravo à vous tous. J'en ai énormément parlé avec le proprio de la chambre d'hôtes dans laquelle j'étais en Auvergne ; il l'a fait plusieurs fois et ne l'a jamais terminée lui non plus. Il estime qu'il faut avoir au moins 5000 km dans les jambes pour espérer la terminer ; maintenant, il a plus de 60 ans aussi. Finir juste avant l'alpe d'huez = le marmotton. C'est vraiment ce genre de défi avec ces paysages grandioses quit vont me pousser à m'acheter un route.

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Aux marmotteux: je reçois par mail des liens pour visualiser mes vidéos de la marmotte, service pourtant payant. Je n'ai pas souscris à cela ou du moins je ne l'ai pas demandé volontairement. Pourtant, je sais télécharger mes vidéos du glandon, de l'arrivée, .... Je crains d'être facturé pour cela. Qu'en est-il pour vous ? PS: Avant le départ, j'avais reçu un mail bizarre m'informant que j'avais souscris à un truc du genre sans possibilité de se rétracter !!!

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dik tu es occupé a craquer pour le cote obscur :ninja: :ninja:

On y passera tous les gars, c'est l'évolution. C'est un vieux qui le dit ..... Non, sans blague, je reste convaincu que l'idéal est un juste équilibre, la route alimentant le VTT et inversement.

Je prends énormément de plaisir à passer de l'un à l'autre.

Il est vrai qu'un col n'a pas d'égal mais qu'on peut en dire de même d'un singletrack dans la sapinette.

Alors ne méprisons aucune pratique tant que les jambes tournent, c'est le même métier.

A bientôt sur les chemins asphaltés ou non.

kiroul

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Effectivement pour faire ce genre d'épreuve en groupe ça doit être assez difficile, ce genre de difficulté amplifie la différence entre les coureurs. Mais bon c'est évidement toujours possible de faire ça en petit groupe jusque 5 peut être un rien plus, a condition d'avoir le même niveau. Quand nous étions parti en Espagne faire des cols (MartinD, Carlito et moi + un groupe de routard) nous étions parvenu à crée à la pédale des groupes de 7-8 personnes pratiquement toujours les mêmes qui sortaient dé les premiers km de cols et qui restaient ensemble jusqu'à la fin. Pour le rapport (triple, double, compact) encore une fois ça dépend de qui est sur le vélo, de la façon de rouler et surtout de l'entrainement... En Espagne j'étais en double (39-53/11-23) je suis arrivé au dessus de chaque col (col plus facile je pense que ceux de cette épreuve mais des fois avec de très gros pourcentage) mais j'ai tout de même bien souffert ! Si je devais me présenter au départ d'une tel épreuve je partirai sur un double avec une cassette un peu plus grosse (34-50/12-27) qui je pense avec un entrainement suffisant doivent permettre de passer les cols sans de trop gros soucis... Qui est chaud pour y aller en 2013 ?

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À voir mais pourquoi pas! Par contre, je compte changer mon groupe d'ici peu et je pensais de + en + à un triple, après test de mon compact sur des grosses côtes chez nous et pour avoir un route ultra polyvalent (Ok ça fait papy de la route mais je m'en branle; j'aime mouliner puis c'est surtout mon genoux qui décide...). Vos CR me motive à continuer dans ce sens...

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ce qui est bien avec le triple,c'est que tu peux mettre une petite cassette 11-23/11-25/12-25 et donc tu n'as pas de trop trou, tandis qu'en double (compact) si tu prends l'option d'une grosse cassette tu es moins bien étagé...

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Je pense que pour des jeunes comme vous bien entraînés et qui n'ont pas le "poids des années" autour de la ceinture ( :lol2: ) , un compact ne posera aucun soucis. Il y en a quand même un paquet. Et puis entre un 34 X 28 et un 30 X 25, il n'y a pas grande différence. Un double (39) peut par contre cramer même quelqu'un de bien entraîné qui n'aurait pas d'expérience sur ce genre d'épreuve.Mon filleul qui a 15 ans a monté le télégraphe et le Galibier avec un 39 X 23 mais il s'est cramé et n'a pas fait l'Alpe.

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Ce que j'ai constaté sur mes deux premières (petites) sorties avec le Ridley, qui est monté en compact avec une cassette de 25 (de mémoire), c'est que ça me facilite un peu la vie en côte p.r. à mon 39/53+cassette de 26 sur le Carrera (en plus de la réduction de poids du vélo et de tout le reste, bien-sûr), mais que ça manque par contre de développement dans les parties roulantes. Une fois arrivé à +-50km/h, je mouline comme un dératé sur le plus long développement. :( Bilan, pas possible de relancer en descente, ou de tenir un bon rythme sur les faux-plats descendants, par exemple. Je me retrouve souvent en roue libre dans les descentes, alors que je pourrais pousser encore un peu... Bref, je pense qu'avec un triple, la plage globale serait bien plus étendue, et le vélo serait donc plus polyvalent. En plus, n'ayant pas du tout la morphologie d'un grimpeur, je me vois mal tirer du 34/25 pendant +3h d'affilée dans un col. J'ai besoin de mouliner sur du plus court... Bigben.

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Tout à fait de l'avis de 3615....un double en 52/37 ou un compact...ça marche si on est jeune,leger bien entrainer... derriere une cassette se terminant par 27 doit passer....... :banana: PS; Detail important il faut savoir mouliner....le rythme idéale doit avoisiner les 100 t/ min... et les specialistes de la montagne préconise de grimper à 80 t/min......

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Pour les pédalier, malheureusement, le triple est voué à disparaitre. En tout cas, les fabricants de groupe vont clairement dans ce sens. Par contre je trouve que shimano tape un grand coup avec le 11v. En effet il y a 2 config en compact : 34-50 et 36-52. Et pour les cassettes, 11-23, 11-25, 11-28, 12-25, 12-28. Perso, je me verrais bien avec un 36-52 devant et une cassette 12-28. Ce serai top pour chez nous et si on va à la montage, et hop on change le petit plateau par un 34. Pour moi avec un 52 devant, le 11 derrière n'est pas nécessaire. Sinon un triple 10v avec une cassette 12-25. Aussi il parait que la chaine 11v à la même largeur que la 10v ;)

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Pour les pédalier, malheureusement, le triple est voué à disparaitre. En tout cas, les fabricants de groupe vont clairement dans ce sens.

Par contre je trouve que shimano tape un grand coup avec le 11v. En effet il y a 2 config en compact : 34-50 et 36-52. Et pour les cassettes, 11-23, 11-25, 11-28, 12-25, 12-28.

Perso, je me verrais bien avec un 36-52 devant et une cassette 12-28. Ce serai top pour chez nous et si on va à la montage, et hop on change le petit plateau par un 34.

Pour moi avec un 52 devant, le 11 derrière n'est pas nécessaire.

Sinon un triple 10v avec une cassette 12-25.

Aussi il parait que la chaine 11v à la même largeur que la 10v ;)

Je ne voudrais pas te contrarier ...mais pour 2012 Campa ressort 1 triple pour le groupe Centaure et Veloce en 10v et 1 triple pour le groupe Athena en 11 v ..... :banana: :banana: :banana:

http://www.campagnolo.com/jsp/fr/newsdetail/newsid_282_newscatid_3.jsp

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si de la partie l'année prochaine avec une préparation autre que cette année et surtout une perte de poids de 15 kg min, ce sera avec ça

http://www.campagnol...newscatid_3.jsp car avec le 34-50 pour moi c'est plus que limite

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Je serais assez tenter par une nouvelle tentative....si il y a un jeune quadra un peu fou qui se lance dans la partie ça aiderait ma décision.... :siffle:

Euh, tu vises qui en particulier ? :siffle:

Bigben.

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3615 : A 15ans faire ce genre de col en 39-23 ça doit pas être top pour les articulations si ? Quand on voit tout ce que l'on dit sur les problèmes d'articulations du au sport et surtout à ce genre de pratique, tout passer en force car 39-23 ca ne permet pas grand chose d'autre que de passer en force...

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3615 : A 15ans faire ce genre de col en 39-23 ça doit pas être top pour les articulations si ?

Quand on voit tout ce que l'on dit sur les problèmes d'articulations du au sport et surtout à ce genre de pratique, tout passer en force car 39-23 ca ne permet pas grand chose d'autre que de passer en force...

Sans doute, je pense d'ailleurs qu'il s"en est aperçu; maintenant en force, tout est relatif ! Mais bon, ce sont les développements qu'il a sur son vélo en débutant et il n'avait pas le choix du vélo car je squattais déjà celui de son père !
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Pas de souci Pat, Pour le tout haut de gamme, rien en triple. Chez shimano, rien en dura-ace et rien en électrique même pas l'ultégra. Chez sram, même combat, rien en force ni en red et pareil avec campa pour le chorus et le record. Pour les autre séries chez campa, je ne savais pas ;) En tous les cas c'est une bonne chose.

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Je serais assez tenter par une nouvelle tentative....si il y a un jeune quadra un peu fou qui se lance dans la partie ça aiderait ma décision.... :siffle:

Euh, tu vises qui en particulier ? :siffle:

Bigben.

Ca va partire en couille ca !!!!!!!

Mais si ca part comme ca j'en suis, comme rien fais cette année !!

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  • 3 years later...

Salut à tous,

C’est à la lecture de vos récits que l’envie m’est venue de participer à cette fameuse Marmotte. Après deux années essentiellement tournées vers la route, je m’y suis collé cette année !

Avec 5100m de dénivelé positif pour 176km, c’est effectivement du costaud ! A noter que le parcours de cette année était différent de celui des années précédentes avec les Lacets de Montvernier, le Mollard et la Croix de Fer en lieu et place du Télégraphe et du Galibier (tunnel de Chambon fermé). Voici le compte-rendu de ma journée :

Arrivé la veille, c’est à 6h du matin que je quitte le gîte à vélo pour rejoindre le Bourg-d’Oisans. Une fois en possession de ma plaque de cadre, on m’annonce que je partirai en 3è vague, çàd à … 7h45 ! Bref, trèèès longue attente dans le box de départ au milieu d’Espagnols, Italiens, Hollandais et autres nationalités…

A 7h45 précise, le départ est donné ! Cela part plutôt tranquillement, façon marathon vtt, direction le Col du Mandelon et ses 24km à 6%. Après quelques kilomètres de plat, on entre dans la pente et je tente au plus vite de trouver mon rythme, un œil sur le cardio, l’autre sur le cadence-mètre. Je veux mouliner le plus possible pour économiser mes genoux mais je comprends assez vite que me maintenir au-dessus des 80rpm ne sera pas possible. C’est qu’un col alpestre, ça ne se grimpe pas comme une côte ardennaise ! La chaleur est déjà importante (plus de 25°C) et je suis heureux d’avoir pris le Camelback pour ne pas risquer de me retrouver à sec. J’arrive en haut du Mandelon sans trop de difficultés et en ayant profité du paysage. C’est l’enfonce au ravito et je ne m’éternise pas. La descente du Mandelon, par son versant Nord, n’est pas chronométrée afin de limiter le nombre d’accidents. Malgré cela, certains me dépassent à toute vitesse, coupant chaque virage ! Arrivé en bas après environ 40’ de bonheur, le chrono reprend ses droits et on attaque les sublimes Lacets de Montvernier et leurs 18 virages en épingles sur seulement 3km à 8%. Il s’agit d’une des nouveautés du dernier Tour de France. Arrivé en haut, la chaleur est écrasante lorsque qu’on franchit le col de Latour et sa descente rapide. A Villargondran commencent les choses très sérieuses avec l’enchaînement du Col du Mollard (17km à 6%) et du Col de la Croix de Fer (15km à 7%). Dans le Mollard, je dépasse beaucoup de coureurs déjà en perdition. Je suis régulièrement sur le pignon de 27, voire sur le grand pignon de 30 dents. Je gère bien mais je suis déjà entamé. Il fait chaud, très chaud ! Je décide alors de découper mon objectif final en plusieurs sous-objectifs afin d’entretenir la motivation. Et le prochain est d’arriver en haut de cette Croix de Fer qui porte si bien son nom ! Le parcours est très beau mais très exigeant. Je gèèèère… Arrivé en haut, je me demande comment j’aurai encore la force de grimpe l’Alpe d’Huez dans 40km mais rien ne sert de paniquer, il faut penser à s’alimenter et surtout à s’hydrater dans cette magnifique descente interrompue par quelques coups de cul qui me font mal aux jambes. Il fait chaud, trop chaud (désormais plus de 35°C)… Dans les quelques kilomètres de plat menant au pied de l’Alpe, je retrouve mes jambes et dépasse pas mal de monde. Je pense donc être dans le bon ! Il est 16h10 quand j’entame la montée de ce mythe du Tour de France. Très vite, je pers mes illusions des kilomètres précédents. Certes, j’ai géré ! Mais je suis mort… Les jambes ne tournent plus et j’ai du mal de respirer. Les premiers kilomètres sont à 10% et je peine à emmener le pignon de 30 à 50rpm, complètement scotché dans la pente. Il ne fait plus trop chaud, il fait malade de chaud (44 °C au compteur) !!! Autour de moi, des coureurs arrêtés sur le bas côté, la tête entre les jambes, hagards… Les services de secours ont du boulot, c’est l’hécatombe ! Arrivé au tiers de la montée, je crains le malaise et préfère mettre pied à terre. Je ne parviens plus à boire, ni à m’alimenter. Mon estomac est complètement bloqué et je n’arrive plus à avaler. Je cherche alors une stratégie, un moyen pour rejoindre l’arrivée... L’Alpe d’Huez, ce sont 21 virages sur 13km à plus de 8% de moyenne avec des passages à plus de 10. Et il me reste 15 virages ! Je décide alors de m’arrêter 1 minute après chacun d’entre eux. C’est ma tactique ! Ceux qui ont franchi le Pas de Lona complètement épuisés lors du Grand Raid VTT Verbier-Grimentz (Cristalp) peuvent assez bien s’imaginer la situation… La traversée du village d’Huez fait du bien au moral surtout qu’on aperçoit la station, sur les hauteurs. Parfois, je marche à côté du vélo ce qui me paraissait inconcevable sur la route ! Finalement, c’est à 18h que je franchis la ligne d’arrivée, exténué… J’ai mis une heure de plus que prévu mais j’ai terminé, après 10h15 d’effort ramenées à 9h35 (sans la descente du Glandon).

Pour l’anecdote, je termine 1949 sur 7500 inscrits et seulement 4600 classés. En effet, il a y eu près de 3000 coureurs ayant abandonné ou ayant été mis hors délais au pied de l’Alpe d’Huez ! Toutefois, on m’a dit le lendemain que c’est après 22h que les derniers participants ont atteint le sommet, déclassés mais avec la fierté d’être arrivé au bout, respect !

En résumé, comme tout événement majeur, la Marmotte se mérite et on la fait avant tout pour soi-même. L’organisation est au top (sécurité, etc) et le parcours magnifique.

A faire ou à refaire…

Yannik (jean sur BMB)

http://www.sportcommunication.info/web2010/epreuve2.php?langue=1&trophee=128

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