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philipper

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Tout ce qui a été posté par philipper

  1. j'ai failli ne pas le voir mais tout va bien merci même pas maigri (hélas...)
  2. comme je n'avais pas vu de trace de chute sur le dessus de oignies , j'en étais arrivé à la conclusion que tu n'étais pas là .... tu as pris des leçons de vtt pour arriver à passer sans tomber ou tu es passé à pied ? 😁😉😊
  3. bon bin il n' a plu qu'une fois ... du début à la fin... de la boue mais qui coule pas celle qui colle ... de celle qui glisse aussi ... certaine descentes étaient ... à faire à pied pour moi ... mais dans l'ensemble je ne regrette pas mon dimanche avec une petite trappiste dorée en dégustation à la fin , pas de chasse paysages d'automne magnifiques , oui belle journée nb : aucun bw ni de pili pour gâcher mon parcours ... juste un jeune sauvageon en vtt électrique qui trouve malin de dépasser dans des singles glissants pour montrer qu'il roule plus vite qu'un vieux en vtt à pédales ...
  4. tout dépendra des chasses , en principe ils organisent cette rando le jour de la fête du parc naturel donc on peut espérer pas de chasse à viroinval donc côté Calestienne et ardennes côté olloy ...
  5. la Calestienne par temps sec c le paradis pour moi , 35 km et trois galopins de dorée plus tard je suis prêt à repartir... pour l'an prochain ...
  6. exact d'où l'importance d'une colono de contrôle avant !!! mais bon ON n'a jamais le temps en fait ON n'a pas envie de se faire tirlipoter le XXX mais bon on va pas polluer ce post ...
  7. coool pierre tout va bien ! no méta no ganglion + je retravaille et je tiens toujours sur mon vtt
  8. il y a une sortie rétro mobile pour l'inauguration du secteur autoroute couvin rocroi si c cela pas de perturbation ... pour les méchantes langues qui me pensent à la retraite du vtt , un petit mot d'essssplication , en janvier on m'a découvert un adénocarcinome du colon ,traduction : qué t'chose de m'wau à l' boudenne ... 30 X radio 2X5 jours de chimio 2 opérations et bien malgré ça j'ai refusé de tomber dans la facilité et d"'aller rouler dans le BW ... MDR je recommence le vtt de compétition demain dimanche à Olloy départ 8 h à la pédale ! bon pas plus de 35 km je ne suis pas superman non plus et comme il vaut toujours mieux en rire qu'en pleurer en tant que membre des porteurs de portacath voici une petite vidéo que je peux me permettre de poster
  9. va t il falloir un accident plus grave pour que certain ( sans s) comprenne que couvin viroinval c'est à réserver pour les vrais vttistes !!! pour les autres il y a les Ardennes ...
  10. d'autant que ça a changé http://www.meteociel.fr/previsions/38320/couvin.htm
  11. prévision météo couvin près d'olloy (sec !) http://www.meteociel.fr/previsions-arome-1h/38320/couvin.htm
  12. pour info ( ce n'est pas une blague)ce dimanche un accident mortel c'est passé sur la descente hard des ruines du château de Dourbes , un vttiste du coin mais que je ne connaissais pas s''est lancé dans la descente (sans doute sans casque...) et à perdu le contrôle de son bike énorme choc de face (arbre ou rocher ? ) , l'homme de 39 ans est décédé ... RIP
  13. tu as le temps d'aller sur internet pendant ton travail toi ??? tu fais pas le même métier que catherine alors
  14. c l'effet de la carapils qui te fait conjuger ainsi le verbe viender ???
  15. cette année les organisateurs ont réussi à avoir les autorisations pour passer dans de beaux singles (l'an passé certains nouveaux gardes dnf avaient fait du zèle, genre le single n'est pas sur la carte donc on ne passe pas , un single qui est balisé promenade donc où tout le monde passe depuis 10 ans !) c une très belle rando , victime de son succès car majorité de single donc si vous partez trop tard ça bouchonne , le tout c de partir avant les bw ( qui se reconnaîtront ) donc avant 8h30 max si vous voulez vous en mettre plein la tête et les jambes
  16. j'en appelle au spécialiste des suppositoires et autres pommades magistrales j'ai nommé pili que penser de cet article et tests ??? quel est le nom commercial de cette pommade expérimentée http://www.lalibre.be/actu/sciences-sante/une-simple-pommade-antibiotique-efficace-contre-la-maladie-de-lyme-5859581dcd701e2eb2883fb0
  17. ci dessous le copié collé du CR d'olloy de nos amis français du raid façon san-antonio (trop bon !) nb : j'ai copié collé tout leur site sans le vouloir ( oui je sais je suis cXXX ) Le brame tardif du cerf Écrit par Reynald (ou le géant vert) Publication : 5 septembre 2016 Quand le réveil sonne à 6h en imitant avec médiocrité le bruit d'un ruisseau, je réalise que c'est dimanche, qu'il fait encore nuit noire et qu'il pleut à seaux. Je me lève difficilement et me retrouve assis tout seul dans la cuisine froide, auto-hypnotisé par le café qui tourne dans ma tasse. Je tombe donc dans une profonde introspection interrogative : Mais pourquoi je fais ça ? Combien de personnes dans le village sont actuellement levées pour aller faire du vélo dans la boue ? Est-ce qu'il s'agit d'une forme d'autopunition ? Dans ce cas ne serait-il pas plus efficace de faire du VTT torse nu, avec une couronne de ronces autour de la tête ? Heureusement, un SMS de l'ami Guitou me sort de cette torpeur. Apparemment, il vient d'avoir les mêmes questionnements et m'écrit : « il pleut, qu'est-ce qu'on fait ? ». Mais comme moi j'ai l'option « Friends Translator » sur mon Samsumg, ce qui s'affiche son mon écran c'est : « Je t'en prie Reynald, dis-moi qu'on y va pas. Je ne veux pas assumer tout seul la honte d'un abandon ». Pour bien comprendre son désarroi il faut remonter au repas de l'avant-veille, partagé aux restaurant Les Marionnettes de Douzy comme tous les vendredis ; repas au cours duquel je m'étais déclaré « affuté » pour faire le 65km (devant mon assiette de haricots verts), ce à quoi l'ami Guitou avait répondu «...affuté comme un couteaux à beurre » (devant son américain saucisses sauce andalouse). Au SMS auquel il attendait que je réponde : « T'as raison, on va se recoucher ma pauvre chiquette », je rétorque donc : « On se replie sur le 45 ». Réponse sèche et cruelle qu'il perçoit même comme une sorte d'ombrage à l'autorité pourtant incontestée de notre Président. Je prends la route pour passer chercher Thierry et - bien qu'ayant annoncé 7h30 comme horaire de rendez-vous - je reçois déjà un SMS de sa part à 7h20 : « Tu dors ou bien ? ». J'arrive chez lui avec 5 minutes d'avance mais il est déjà en train de faire les 100 pas dans la rue, prêt, vélo chargé, chaud comme une baraque à frites! Le beau Scott semi-rigide qu'on lui prêtait ayant été vendu, il a ressorti de la cave sa veille bique de 26'', ressuscitée de parmi les morts par la baguette magique à souder du Dédé CORDIER. On arrive à faire une heure de route (en empruntant la plus belle vallée ardennaise du monde) en parlant exclusivement, avec une sincère passion et sans jamais s'ennuyer, de nombre de plateaux et de nombre de dents sur les plateaux. On retrouve Guitou et Cric-Crac Arnaud à Olloy, car on s'était donné rendez-vous à Olloy pour la rando d'Olloy. Il manque le plus gros des troupes du Raid. Le chef est en vacances, Choco est à Mogues, PTR est probablement en train de patrouiller avec son pick-up le long de la frontière entre le Mexique et le Texas, une main sur le volant et un brin de paille entre les dents. Les autres sont retenus par des obligations sportivo-socio-familiales. Même le rider à la gouaille assistée électriquement est absent. Au moment où nous nous mettons en selle, la pluie cesse de tomber (Est-ce vraiment une coïncidence quand on sait que je porte un médaillon en forme de croissant de Lune et que Guitou porte un médaillon en forme de soleil ?). Nous nous lançons sur le 45 à l'assaut des coteaux du Viroin (ça sonne comme un nom de pinard, mais ça se passe au pays des bulles). Alors, le récit topographique de l'itinéraire va être beaucoup moins précis que d'habitude - je m'en excuse - et ceci pour 3 raisons : 1) je n'ai aucun sens de l'orientation 2) je n'ai pas de GPS car je roule toujours avec des mecs qui ont un GPS et 3) mes collègues ne m'ont demandé de "faire le CR" qu'une fois arrivés au ¾ de la rando. Du coup je n'avais pas pris de notes. D'ailleurs, à cause du sifflement du vent dans les oreilles, j'avais initialement entendu : « Reynald, tu feras le cerf ? ». Demande inquiétante car on ne sait pas s'il est question d'une soirée privée entre adultes déguisés en animaux, ou d'un jeux de rôles grandeur nature où mes collègues auraient joué le rôle des chasseurs ? Le punk anarchiste du groupe, avec ton T-shirt « 26'' IS NOT DEAD », gravi la 1ère côte à la vitesse d'un adolescent qui va à la bête pour la 1ère fois. Arrivé en haut, il se retourne pour nous attendre et on peut lire dans sa barbe : «putain c'est quand même pas possible que je vais me trainer ces 3 grosses barriques jusqu'au bout ». L'orgueil piqué, Cric-Crac Arnaud relève l'appel et fait chauffer l'Habit. C'est là qu'on découvre qu'il est scientifiquement possible de faire couiner un vélo neuf, haut de gamme, en carbone, consciencieusement graissé. « Cric » quand il pousse sur la pédale gauche ; « Crac » quand il pousse sur la pédale droite. Où l'inverse, je ne sais plus puisque je vous dit que je n'ai pas pris de notes !!! Le vélo de Cric-Crac Arnaud apporte donc de nouvelles fonctionnalités intéressantes : La localisation améliorée en cas d'avalanche (si la victime continue de pédaler...) et l'indicateur sonore d'approche. Tu peux savoir où se trouve l'adversaire et à quelle vitesse il pédale. Quand tu entends « KRICKRAKKRIKRAKKRIKRAK !!!!! » derrière toi, il est temps de se mettre en danseuse. Le tracé passe d'un coteau du Virion à l'autre dans des paysages agréables et variés. Très peu de chemins roulants et de routes. A la seconde côte, « 29'' NO FUTURE » allume les boosters à poudre et nous met 4 minutes dans la vue. CCA (Cric Crac Arnaud) et moi essayons de le suivre et donc le rythme du groupe s'emballe. Guitou, à moitié sur orbite, a les yeux qui sortent de la tête. Il menace de se rabattre sur le 35 au 1er ravito si on ne baisse pas la moyenne. Très attachés aux valeurs du club et à la cohésion de groupe, nous ralentissons au moins de 0,25 km/h. Le ravito est sympa. Sous une grange une grande table fait l'étalage de boites en plastiques ordonnancées comme les outils au-dessus de l'établi d'un retraité de la SNCF. Il y a beaucoup de choix. Les petits gâteaux ronds au chocolat sont très bons. Au bout de 1h30 de petits gâteaux ronds au chocolat on se décide à repartir et l'enchaînement de chemins et paysages est encore très intéressant. Sur un single herbeux parsemé de pierres lisses un belge ripe et s'exclame : « Oufti ! ». Ça nous fera le reste de la journée... Comme le côté droit du single est délimité par une clôture barbelée, un bienveillant père de famille qui suit son minot lui crie un conseil technique : « Surtout si tu tombes, tombes à gauche hein ! ». On traverse un plateau par des chemins champêtre où Thierry passe à deux doigts du back-flip. Au passage d'un ruisseau CCA glisse sur le petit pont de bois et échappe, agile comme un couguar, à la baignade. Puis on attaque une descente vertigineuse, tout en glissade de la roue arrière sur les feuilles mortes. Les passages de cols se succèdent et le punk nous met à chaque fois la misère. Comme quoi, la taille des roues joue plus sur le moral que sur la capacité cardiovasculaire....Mais à force d'enchaîner les phases de sprint-pause-sprint-pause-sprint-pause.... une demi-livre d'acide lactique s'est accumulée dans chacune de ses guiboles et il commence à en baver. Sur une interminable voie romaine caillasseuse et pentue j'arrive à l'avoir à l'usure, avec mon gros diesel coupleux. Nous nous engageons sur le chemin du retour quand le déluge s'abat sur nous. Un mec avec une longue barbe rassemble des animaux dans un grand bateau. Il pleut tellement qu'on plisse les yeux pour essayer d'y voir, et on met la bouche en cul de poule pour ne pas nous noyer en roulant. On explose la moyenne pour rentrer le plus vite possible. Pensant avoir CCA dans ma roue arrière je donne tout ce qu'il me reste sur les derniers Km. Je loupe un virage et tire tout droit jusqu'au bord du Virion. C'est là que je m'aperçois qu'en fait j'étais entrain de servir de lièvre à un gamin en hard-tail (de l'anglais "hard" : dur et "Tail" : queue, qui désigne un vélo semi-rigide, et non pas du tout la qualité de l'érection du dit jeune homme). La pluie se calme. Son onction a miraculeusement fait taire les grincements du vélo d'Arnaud. La forêt a retrouvé son calme. L'écureuil ressort timidement de sa cachette. La biche secoue les oreilles et se remet à brouter. Une goutte d'eau perle de la toile d'araignée et tombe dans une flaque au moment précis où nous passons la ligne d'arrivée. Trempés comme des soupes, pain saucisse à la main, nous entrons dans la petite salle des fêtes bondée. Il y a de la boue au sol et de la buée aux fenêtres. ça parle fort et ça rigole comme dans une taverne de film de Vikings. On s'assoie pour refaire la course en buvant des galopins de Chimay. Une tournée pour la soif, une tournée pour arroser le vélo de CCA. Sur la table, des dizaines de flyers nous invitent à de futures aventures. Voilà ! Voilà pourquoi je me lève le dimanche matin dans la nuit et la pluie ! Mangez des pommes Écrit par Spaderman Publication : 25 juillet 2016 En ce dimanche de juillet nous franchissons la frontière d'une contrée bien plus lointaine et sauvage que la proche Terre de Belgique que nous avons l'habitude de souiller de nos crampons. Nous allions cette fois rouler en terre marnaise à l'initiative de Catherine et Thierry. Stéphane, Cacal, Guitou et moi sommes ponctuels au rendez-vous donné devant chez nos hôtes du jour afin de partir en convoi jusqu'à la sablière de Chalons-sur-Vesle à une demi-heure de route. Sur place nous avons l'impression de nous trouver à Larchant tant cette mer de sable, chère à ce regretté Jean RICHARD, nous fait penser à la célèbre Aie, aie, aie, Soleil ! Mais le programme du moment n'est pas de descendre la plage... Rapidement prêts nous suivons Thierry sur des sentiers virevoltants. Catherine ferme la marche afin qu'aucun de nous ne se perde, ce qui n'est pas toujours facile tant le rythme imposé par notre guide du jour est élevé. Après quelques kilomètres dans les bois nous empruntons des chemins champêtres pour rejoindre Saint-Thierry puis Merfy. Thierry ne baisse pas la cadence alors que nous commençons à avoir la langue qui fôle dangereusement les rayons. Catherine nous apprend qu'il a pris double ration de céréales Lion au petit-déjeuner.De retour dans le bois le but est de trouver le fort de Saint-Thierry. Après avoir fait un tour du fort par des sentiers monotraces sans jamais l'apercevoir Thierry fini par retouver le chemin qui nous améne à l'entrée du Fort. Il est maintenant temps de nous plonger dans une parenthèse culturelle dans cette sortie bucolique : Le fort de Saint Thierry, aménagé pour environ 500 hommes, a été construit entre 1877 et 1880. Il a une forme assez rare et caractéristique, une sorte de triangle dont la base serait légèrement « bombée » vers l’extérieur. Cette forme est inhabituelle pour un fort Séré de Rivière , puisque seul le fort de Bourlémont a également cette forme triangulaire, mais avec une gorge plus anguleuse que St Thierry. Cette forme triangulaire n’est d’ailleurs pas sans rappeler certaines fortifications belges. Le fort est constitué d’un casernement à deux étages, assez semblable à celui du fort de Brimont, situé à 6,8 km, avec lequel il pouvait croiser ses feux. Le fort de St Thierry se trouve au cœur de combats en septembre 1914, est occupé par les allemands qui démolissent une partie des reliefs de l’ouvrage. Il subit également quelques bombardements. De furieux combats ont lieu dans le secteur vers les 27/28 mai 1918. Après guerre, les façades du casernement ont disparues, tout comme d’ailleurs toute la partie du casernement à gauche de la galerie capitale. Sans doute endommagé par les bombardements, pas un tas de gravats, plus une pierre…Tout a servi à la reconstruction des villages alentours. Aujourd’hui le fort est propriété de la commune, dans un état d’abandon total, et ouvert à tous les vents, la végétation l’a totalement recouvert. Malgré les tags, les maçonneries restent superbes et le fort plaisant à plus d’un titre à parcourir. Après cette pause historique et avoir analysé la carte IGN (Eh oui chez les presque-marnais la technologie est réservée aux nobles...) nous reprenons notre progression par une courte descente digne de la Larchant Spirit. Pascal et Catherine choisissent une option plus soft. Le chemin maintenant tourne de nouveau dans tous les sens mais cette fois nous avons le droit à de petits coups de culs qui nous donnent du fil à retordre tant ils sont parsemés de racines. Arrive la montée tant annoncée par Thierry qui nous rabâche qu'il n'est jamais arrivé à monter. Au bout de quelques mètres le voilà rassuré, nous n'avons pas non plus vaincu le "monstre". Nous retrouvons des chemins plus roulants. Thierry mène toujours un train d'enfer. C'est alors que Catherine nous explique que le petit déjeuner recommandé par Simba n'est pas la seule explication pour tenir une telle forme. En fait elle lui épluche avec amour une demi pomme pour le petit déjeuner tous les matins, nous n'en saurons pas plus sur les effets secondaires de la pomme et comment est utilisée la seconde moitié. Nous parvenons bientôt au point où nous nous séparons de Catherine qui choisi de se contenter d'une sortie d'une trentaine de kilomètres alors que nous partons pour une boucle de neuf kilomètres reconnue de la veille par nos hôtes. Thierry nous promet que le répulsif à moustiques qu'il nous a conseillé au départ va servir très bientôt. Nous nous rendons rapidement compte que la demi pomme fait beaucoup moins d'effet à moins que comme chez les Cavanagh le mâle des presque-marnais se laisse mourir quand il est séparé de sa femelle. Nous traversons les vignes autour de Pévy afin de prendre une nouvelle fois de la hauteur avant de retrouver la forêt et des sentiers monotraces. Ce n'est pas la montée qui nous pose problème mais le nombre impressionnant de moustiques qui nous attendaient la serviette autour du cou et les couverts à la patte. Nous quittons ce bois exsangues. Pour finir nous rejoignons la sablière par la route avant de finir par les petits chemins tournoyants de la sablière sous l'objectif de Catherine. Comme les choses ont été bien prévues par nos hôtes nous avons le droit à une petite collation histoire, encore une fois, de refaire le monde. Une belle sortie que nous reviendrons faire quand l'hiver sera revenue sur notre massif ardennais. Sortie radio "active" des raidars à Givet Écrit par Arnaud Publication : 20 juillet 2016 Pour ce week-end de mi-juillet le RAID a jeté sont dévolu sur la rando ‘les boucles de Givet’ qui en est à sa 4eme édition. Nous nous sommes donné rendez-vous à 8H30 au COSEC pour un départ commun même si tout le monde ne part pas pour la même distance (Hervé ayant décidé d’écourter). Je retrouve donc Pascal et Fabrice sur le parking. Nous sommes rejoints par Philippe venu avec Brice et Benoît. Hervé se joint à nous sur la ligne de départ. Nous commençons par contourner Givet sur un chemin roulant à travers les champs. Après quelques errements liés à une signalisation ‘light’ nous attaquons la première ‘vrai’ montée. Celle-ci nous prouve que l’on est venu faire du vrai VTT. La pente est raide dans un chemin plutôt gras. Nous arrivons au sommet en ordre dispersé avant de se lancer dans un chemin monotrace descendant. La vitesse atteinte est sympa mais nous restons sur la réserve suite à différents fléchages contradictoires. La pente s’inverse franchement et je lâche les freins jusqu’au premier virage qui est en épingle. Je serre les freins (et accessoirement les fesses) et frôle la correctionnelle. Juste le temps dehurler le danger potentiel aux suiveurs et on retombe sur une autre épingle. La descente nous emmène sur Fromelennes ou nous passons dans un petit ruisseau pour nous rafraîchir les jambes. Et oui, étonnement il fait beau et chaud dans les Ardennes au mois de juillet.Nous continuons notre périple jonché de grand chemin et de single. Une petite montée technique avec 4 virages serrés dans 10 cm de boue liquide vient pimenter l’arrivée à LANDRICHAMP ou se trouve le premier ravito. Il y a ce qu’il faut sans luxe ostentatoire (fini les fontaines au chocolat de l’Elssas Bike). Nous repartons après un bref arrêt et le circuit est toujours très plaisant. Après un long single en devers, nous devons franchir un ruisseau. Une marche nous attend de l’autre coté de celui-ci, les plus prudents passeront cet obstacle à pied. Fabrice tente le passage en force. Une grosse douleur au postérieur l’empêchera de remonter tout de suite sur le vélo. Seul un bisou magique d’Hervé lui permettra de se remettre en selle. La montée qui se présente à nous est très longue et sans intérêt technique mais celle-ci nous conduira au 2eme ravito. Hervé ayant un impératif sur Charleville nous quitte et part sur une plus petite distance. Nous continuons notre itinéraire agrémenté de singles descendants et de montées éprouvantes. Après quelques kilomètres sur la voie verte, nous passons entre les 2 centrales Nucléaires (Chooz A et Chooz B). Pascal peut ainsi se rendre compte des moyens engagés par l’état pour charger son VAE. Ca tombe plutôt bien car la montée qui suit va consommer beaucoup d’énergie. Celle-ci commence par un chemin forestier nous emmenant sur les hauteurs des 2 centrales. Je mène la danse mais je suis ‘très’ rapidement doublé par Philippe et Benoît. Un challenge s’est mis en place entre ces 2 lascars depuis plusieurs montés. Ils envoient du pâté et aucun des 2 n’a l’intention de céder. Connaissant cette montée, je sais qu’il y en a pour pas mal de temps et je joue la patience. Petit à petit je grignote mon retard. Je double Philippe qui s’était mis dans le rouge pour doubler Benoît sur 10 mètres. Je rejoins celui-ci mais j’ai du mal à prendre le dessus pour le doubler. Je sors alors mon ultime arme ‘le découragement’. Je lui annonce que l’on va prendre à gauche au prochain embranchement et que cela va encore monter fort. Celui-ci voyant le coup de cul qui s’approche prend un coup au moral et baisse l’intensité de son pédalage. J’en profite pour relancer la machine sur la cinquantaine de mètre qui nous sépare du sommet (en tout cas c’est ce que je croyais). Nous arrivons tous les 2 complètement cramé et profitons des minutes de regroupement pour faire redescendre notre cardio. Nous pensions avoir fait le plus dur et nous prenons un sacré coup au moral quand nous nous rendons compte que les organisateurs ont joué les prolongations. En plus de la montée costaud qui nous attend, nous avons notre lot de pierre et de boue glissante. Bizarrement, quand Philippe en tête de meute pose le pied à terre, tous les autres Raidars abdiquent et finissent la montée en poussant le vélo. Un retour tranquille par la voie verte (tranquille, mon œil - il n’y a rien de tranquille avec les raidars) nous permet de faire des pointes à 40km/h. Chacun tente de faire l’aspi et envoi du steak dans ces derniers hectomètres. Nous arrivons explosé au COSEC et concluons cette très belle matinée par une bonne bière rafraîchissante. Encore félicitations aux organisateurs pour cette superbe randonnée (à refaire l’année prochaine). La noire m'a tué Écrit par Reynald (ou le géant vert) Publication : 6 juin 2016 Étant le régional de l’étape, c’est à moi que revient – à titre dérogatoire, exceptionnel et concomitant (pour les fans de Kaamelot…) – l’honneur de vous narrer nos exploits sur la randonnée dominicale de Oignies-en-Thiérache. Dans un souci de clarté du récit je commencerai par la fin : Choco, Guitou et moi arrivèrent au pain-saucisse final épuisés, bardés de merde de la tête aux pieds, le cuisseau rôti et la peau du cul tannée, vers 15h30…Cette dernière indication vous donnant déjà un aperçu du niveau de difficulté de notre virée en terre promise. Mais en fait, tout avait commencé la veille, ou plutôt dans la nuit, par un SMS de confirmation de Guitou à 0h51 précise. En plus de m’éviter in extremis une deuxième heure consécutive de sommeil, ce message me donnait aussi une idée du niveau de fraîcheur prévisionnel du gaillard pour le lendemain. Après 45’de route en direction de la Mecque, je manque d’écraser une famille d’oies campée au milieu de la RN51 entre R’vin et Fumay, puis je suis rejoint par Guitou, car - sans jamais se concerter- les quettes de la vallée synchronisent automatiquement leurs itinéraires (il parait que c’est un truc qu’ils ont hérité des pigeons voyageurs). Une fois arrivés sur place, les cernes et le teint de canon napoléonien de Guitou précèdent ses explications : il est tombé ce week-end dans une double embuscade ! Admiratif devant un tel courage, je l’accompagne jusqu’aux inscriptions en gardant une distance de sécurité minimale car je sens qu’à tout moment ça peut repasser. Nous y trouvons Choco, déjà prêt et inscrit, accoudé à une barrière de bois, beau comme le cow-boy de la pub Marlboro. Autour de lui, une foule conséquente de bikers discute avant le départ. Aucun ne mesure moins de 1,80m, les voyelles sont appuyées et les « r » sont gutturaux. Pas de doute, nous sommes bien dans le royaume d’outre-Alyse, paradis du VTT et du bon temps. Nous sommes prêts à partir quand Guitou se met à respirer fort et transpirer. Il tousse et c’est son foie qui sort sa bouche pour aller se planquer sous une bagnole, las de ce corps qui le maltraite ! Le temps de le récupérer et de le remettre en place nous prenons le départ vers 9h. Le début de la randonnée consiste à prendre de l’altitude en traversant alternativement des sous-bois et des prairies aux herbes couchées par la pluie et les Maxxis (terme latin pour désigner les pneus de vélo). Nous arrivons très vite sur la ligne de crête et c’est là que s’achève la partie belge et thiérachienne du tracé. Tout le reste étant français et ardennais, pour notre grand plaisir. Dès la frontière passée, les feuilles des arbres sont plus vertes, les pierres mieux disposées sur le sol et Guitou nous fait remarquer que la boue ne colle pas. Il s’agit effectivement de boue propre. Nous continuons gentiment à flanc de colline en direction de Fépin. 400m en contre-bas on devine à travers la brune et les chênes centenaires (Quercus robur ou pedonculata, pas eu le temps de voir) le village de Haybes. Nous traversons un pierrier planté de bouleaux tellement serrés qu’il faut jouer aux funambules pour faire passer le cintre. Après ces amuse-bouche se dessine ce que je redoutais depuis le début : Il faut redescendre tout le dénivelé en une seule fois par un single en épingles dans le pentu du bois Fevry ! C’est un vrai mur. Au minimum 250% de pente !!! Le capteur Ring Sensor © intégré dans ma selle indique « zéro ». Guitou part devant et nous donne une leçon de pilotage. Choco et moi amorçons la descente en mode sénateurs. Je suis encore plus prudent que d’habitude car aujourd’hui je n’ai pas le droit de tomber (aillant une côte cassée depuis la sortie VAE à Metz, je risque le pneumothorax en cas de choc mal placé). Choco réalise des figures stylistiques encore jamais vues. Il parvient à faire un dérapage de la roue arrière à l’inverse de la pente, ce qui ne répond à aucune Loi connue de la physique newtonienne, et il enchaine ensuite avec une descente en moonwalk sur plusieurs mètres. Je fais pour ma part un petit freinage avec les dents dans l’humus. fa fait fa mal mais fait la honte. Arrivés au dernier quart de la descente nous nous trouvons face à une patte d’oie : Hard à gauche, Soft à droite. Nous petitslipons sans hésiter vers la droite et nous découvrons une fois en bas que « Hard » signifiait en fait « Hard to survive » car la trace débouche directement dans une courbe de la RN51 ou la limitation de vitesse est 150 km/h. C’est comme ça. C’est historique. Guitou essaye de faire ralentir une voiture en lui faisant de grands signes. Le conducteur repasse la 6 pour le remercier. Nous voilà donc rive gauche de la Meuse entre Haybes et Fépin. Nous longeons le fleuve sacré par un sentier que je prenais au siècle dernier pour aller frayer au club nautique. Du dit club il ne reste que la guérite des chiottes ; tout le reste a été englouti par la forêt tropicale. Nous croisons une nouvelle famille d’oies. Nous passons le pont pour entrer dans le village de Haybes-la-jolie, capitale du monde et des environs. La trace longe normalement le port de plaisance sur les quais, mais des petits plaisantins n’ont rien trouvé de mieux que d’organiser une brocante le même jour. On évite donc la foule en effectuant un petit détour par la rue de l’hôtel de ville. J’en profite pour vanter la qualité des restaurants locaux. Choco se souvient être venu manger un jour au St Hubert, mais il ne se rappelle plus avec qui, ni quand, ni à quelle occasion. Je renonce donc à lui demander si c’était bon. Après avoir traversé la place du Vivier (où j’ai vu plus de bières que de poissons) nous attaquons un single ascensionnel qui nous fait passer à côté du Robinson (un nom original pour un restaurant qui propose un buffet à volonté, comme le fera à juste titre remarquer Choco) nous conduit au point de vue de la Platale, lieu du 1er Ravito. Guitou et moi nous approchons du parapet pour embrasser des yeux le paysage (méandre complet de la Meuse autour de Fumay). Nous nous signons par dévotion, les yeux pleins de larmes et le menton tremblant, avant d’aller nous restaurer. L’offre est abondante et variée. Le ravito a de la gueule : Beaucoup de bénévoles présents, une tonnelle, les banderoles de sponsors…Franchement ça fait pro. Il n’y a pas de musique, mais de jolies et sympathiques infirmières. Au moment de repartir un choix cornélien se présente à nous : Nous sommes sur la boucle principale de 30km que nous pouvons compléter avec la boucle rouge qui tourne sur R’vin, ou la noire qui tourne au-dessus de Fépin. Nous réfléchissons quelques instants devant le plan, circonspects mais pas du tout circoncis. Je lis dans le silence de Guitou qu’il se contenterait bien du 30 km, mais je laisse lâchement la décision au doyen Choco qui dit noir ! Funeste décision. Il y a tellement d’étoiles en face des rubriques « dénivelé » et « technique » que je n’arrive pas à les compter. On prend une dernière rasade de 3Actions et on se lance. Un magnifique single en slalom avec des appuis relevés nous fait redescendre à fond les bananes jusque dans la vallée de Mohron, juste en dessous du Moulin Labotte. Puis nous regagnons les berges de Meuse après un petit crochet par la Maison des Randonnées qui est un relais VTT. Sur une petite section de voie verte Guitou se met dans l’aspiration d’un routard et nous met 500m dans la vue. Nous quittons l’autoroute par la sortie château de Moraypré » et traversons le ruisseau par-dessus le barrage de la retenue d’eau. Le sentier qui suit est aussi raide qu’interminable. Du même acabit que la côte qui part derrière le COSEC de Monthermé, mais pendant 6 km… Il faut forcer sans cesse, déclipser, pousser, relancer, reclipser, re-pousser… De l’ardoise mouillée, des ornières, de la boue. Une horreur. La moitié des calories ingérées au ravito sont cramées en quelques minutes. Seul un vététiste qui fait « Bzzzzzzziiiiiii » arrive en haut sans mettre pied à terre. La descente est aussi raide et technique que la montée. Guitou abaisse son centre de gravité, déjà naturellement assez bas, et passe comme un as de l’enduro. On voit que les heures passées à siffler de chopines avec les Mawhots lui ont permis d’acquérir des bases techniques qui manquent à Choco et moi. Après de très beaux franchissements de valons, passages de gué et de faussés chauds-boulette nous débouchons sur la petite route d’Hargnies (en face de mon coin à cèpes). Sur le bas-côté, un rider a le genou en sang et nous demande dans un dernier souffle « de l’eau, de l’eau… ». Choco lui suggère de tremper sa guibole dans le ruisseau, mais l’infortuné vététiste n’a pas le temps de répondre. Il s’effondre en convulsant et en crachant de la mousse. Sans hésitez une seule seconde, nous appliquons les réflexes de survie : Guitou pique le GPS et le garde boue sur le bike, je récupère les pâtes de fruit et les objets de valeur dans le sac à dos pendant que Choco essaye de lui déchausser un chicot en or avec le dérive chaîne, en vain…Remis de ces émotions nous attaquons une seconde ascension des 350m du Ridoux, cette fois par un chemin bleu roulant qui débute juste avant le domaine du Ridoux. Nous nous tirons la bourre pendant l’ascension. Guitou n’arrive pas à recoller ma roue arrière, malgré l’usage d’un mode de propulsion non conventionnel bien que naturel. Une 3ème descente vertigineuse nous fait zigzaguer à toute allure dans le bois que je gravis habituellement, panier à la main, pour ramasser des girolles. Le chemin, dont je ne soupçonnais même pas l’existence, nous ramène eu cœur du village et nous devons donc reprendre le fameux single ascensionnel pour regagner le point de ravitaillement central. La boucle noire ayant bien entamé nos forces nous profitons copieusement du buffet en discutant avec les organisateurs. Guitou reste scotché au plat de dragibus un long moment. A ce stade de l’aventure, nous sommes à moitié rôtis et nous pensons qu’il ne nous reste plus qu’à regagner tranquillement Oignies. Un organisateur nous laisse cependant comprendre que ça va peut-être être un tout petit peu difficile quand même…Depuis le point de vue nous redescendons par le chemin de crête entre Fumay et Haybes (ancienne voie romaine). La descente finale se fait par 10m d’escaliers recouverts de débris d’ardoises…Là encore Choco invente un style : Il n’est pas sur le vélo, mais pas complètement à côté non plus. Il est… piétiste en fait. Nous traversons le pont, puis la cité de l’ardoise (Fumay), jusqu’à l’Hôtel des Roches avant de bifurquer à droite sur un verdoux (=l’équivalent d’un terril pour une ardoisière) à la pente bien raide qui chauffe les cuisses. Il s’agit maintenant de regrimper jusqu’à Oignies. La trace empreinte le sentier à flanc de colline au-dessus de notre dame de Divermont, sur le tracé d’une ancienne canalisation d’adduction d’eau. Nous passons un gué pour changer de vallon, et nous remontons ensuite la rive gauche de l’Alyse (le ruisseau qui dessine la frontière entre la France et la Belgique). Le paysage est agréable et il commence à faire chaud (25°c), mais le terrain est de plus en plus gras. Mon quintal reste englué dans la merdasse tous les 50m. Choco dit de plus en plus de gros mots. Arrivés sur le plateau, le cul en compote, nous attaquons une interminable ligne droite recouverte de 25cm de boue directionnelle (c’est de la boue qui décide à ta place où le spad doit aller). Choco en fait les frais ; il met la roue avant à l’équerre et se vautre sans trop de bobo. Il dit ensuite encore plus de gros mots. Après des kilomètres de supplice, nous redescendons enfin par un joli single jusqu’au ruisseau du départ que nous traversons bravement dans la ligne de mire d’un photographe qui immortalise d’instant. En résumé : on en a chié comme des russes, mais c’était magnifique. À refaire sans faute l’année prochaine pour la 25ème édition. Un temps à faire danser les sangliers Écrit par ChocoBob Publication : 30 mai 2016 A mon arrivée sur la place de Pouru aux Bois, PTR et Reynald sont déjà prêts à partir à l'assaut des 40 km. Je remplis le bulletin d'inscription au hasard le corps de police étant trop petit pour ma vision de taupe. Dans la série qui me parle je poursuis mon aventure avec les rilsans de la plaque rando. Après 10 minutes de tentative je recours à un organisateur pour insérer la languette dans l'orifice. Thierry (pas celui de Catherine mais celui de Géant Spé) et Yoann pointent le bout de leurs roues. A peine le temps de procéder aux salutations d'usage que les premières gouttes bénissent la randonnée des sangliers. Rapidement l'enfant de cœur, chargé comme un Guitou à la fête de la bière, trébuche et renverse le bénitier. C'est donc sous une pluie battante à ne pas mettre un belle maman dehors que nous nous élançons. L'averse redouble tant que l'expression pleuvoir comme vache qui pisse devient trop fluette. Nous montons sur les hauteurs du village. J'envoie du braquet pour me réchauffer et éviter de ressembler à Bob l'éponge. 2km plus loin nous entrons dans les bois. Des personnes peu scrupuleuses n'ont pas hésité à retourner les flèches. Heureusement la chaux barrant le chemin nous remet dans la bonne direction. Le sol glissant nous impose de devenir des récupérateurs de trajectoire. Les chemins deviennent moins larges et plus sauvages. Les genets nous fouettent les cuisses comme dans un streaming de Jacquie et Michel. Un panneau alerte d'un passage délicat : une brève descente vers un gué suivie d'une montée grasse. L'effort fait fumer les guibolles. Se succèdent montées et descentes sur des chemins forestiers jusqu'au 1er ravito. Reynald s'aperçoit que son GSM fait de la plongée sous-marine dans la poche de son shorty. Il tente une réanimation en le mettant en quarantaine dans son sac à dos. Nous repartons rapidement l'eau atteignant nos os. La remise en selle nous fait vivre ce que nos anciens en perte d'autonomie ressentent. Le rembourrage de nos cuissards gorgés de flotte se vide du liquide. PTR se la joue à la sauce Qui a du caca kaki collé au cucu jusqu'au zizi . A chaque appui une matière semi-liquide brunâtre lui dégouline le long des cuisses. Quelques courts singles nous évitent de nous projeter en EHPAD. Nous parcourons ensuite de nombreux chemins forestiers dans les bois de la Chapelle. Reynald ouvre la bal des galtouses par une glissade dans une bauge. Pour Thierry c'est la base arrière droite qui valse servant désormais plus de béquille que de fixation au cadre. Nous vivons en direct la mort d'un spad après 15 ans de bons et loyaux services. Notre endeuillé quitte la trace pour rejoindre Pouru au plus vite dans une position digne d'un biker motorisé. Yoann nous redonne le sourire en ratant une passe de rockabilly avec son Spé se terminant museau dans la boue. Peu avant le 2d ravito notre Philippe TR exprime son côté artistique en s'adonnant à la danse des canards. Sa roue avant s'échappe et seule la Time droite se déclipse. Notre danseur né fait 3 mètres à cloche pied le bike toujours solidaire du second. Il finit par tirer sa révérence en s'allongeant avec délicatesse sur le sol. Comme les années précédentes le 2d ravitaillement est garni de boisson énergisante. Nous repartons avec un godet de goutte dans le coco. Après plusieurs Km un pétard nous est annoncé. nous montons les 70 mètres en 400 mètres en serrant le dentier et au moral. Sur la piste descendante qui suit mon œil gauche devient bocal à terre. Intelligemment je me frotte le globe avec mon gant recouvert de boue. Conséquence je suis obligé de m'arrêter pour faire un grand nettoyage oculaire. De retour au point de départ chacun passe son bike au jet avant de mettre des vêtement propres. Je passe avec PTR à la case buvette pour m'enfiler un croque monsieur alors que mon hôte laisse couler dans son gosier un café noir. Nous nous apercevons qu'en l'absence de notre Cacal national (que dis-je ..! international), photographe officiel du Raid, personne n'a pensé à sortir son petit moineau. Lorsque je reprends la route Laurent, qui a choisi de lâcher la brouette, doit déjà avoir plongé dans le délice de la coupe du monde de XC à la Bresse. Des raidars électrisés Écrit par ChocoBob Publication : 23 mai 2016 En ce dimanche 22 mai c'est aux aurores que Guitou, Barnab, Jipé, Pascal, Yann, PTR, Reynald, et moi nous levons. Nous partons en direction de la région messine pédales en main. Nous retrouvons Arnaud, Catherine et Thierry, partis la veille, devant la devanture de Loisibike. Nous entrons dans la caverne d'Alibaba du bike tout terrain qu'est son showroom. Les raidars certes mufles mais pas moins galants laissent Catherine choisir son VTTae en premier. Elle est attirée par un engin à gros pneus. Pendant ce temps Jipé arpente les lieux à la recherche de la machine à café muni d'une viennoiserie offerte par nos guides du jour. Cacal choisit un bike équipé d'moteur Yamaha pour pour le comaprer son Bosh habituel. Le 1er loisibiker monte les pédales et le second joue de la pompe haute pression pour personnaliser amorto et fourche (pour ceux qui en ont). Nous nous retrouvons sur les bancs d'école afin d'intégrer le fonctionnement de ces VTT porteurs de 400 à 500W. Encadrés de nos 2 guides nous décollons. Les 8 1ers Km longent le canal et s'avèrent roulants. Bien que la plupart d'entre nous n'a pas encore ouvert l'assistance nous atteignons une moyenne de 25km/H. Après un rassemblement, une montée en macadam de 2Km nous permet de recourir aux différents modes de puissance. Nous entrons dans les bois pour un parcours de pur régal quasi jusqu'au retour. Assez rapidement nous franchissons des trous d'obus puis roulons quasi en continu sur des singles. Chaque arrêt est l'occasion de commenter, de donner ses impressions et pour les timers d'échanger leur bike. Les gros boudins de mon 27,5+ me donnent des ailes dans les descentes. Malgré les pierres et les racines je ne touche au freins que pour éviter d'embrasser mon partenaire de devant. La trace à la Cadole donne la banane à chacun. Les montées sont moins aisées. S'il faut moins de jambe avec un compagnon dans le boitier de pédalier il faut apprendre à doser l'assistance. Guitou en fait les frais. En mode turbo son spad se cabre comme un Tornado contrarié et envoie son cavalier au sol. Après quelques grimaces notre secrétaire remonte en selle avec un genou moins neuf qu'au départ. Nous voilà sur la trace des Crapauds. Et toujours du single du single et du single technique. Dans un monotrace descendant il semblerait qu'Arnaud et Reynald aient fait leur cirque en s'adonnant à une OTB. A force de jouer à l'acrobate, je suis à 1 racine de tirer tout droit dans une descente. Comme toute bonne chose à une fin nous nous retrouvons au point de départ. Jus de fruits et bière nous sont offerts par Loisibike que nous remercions pour sa sympathie et sa trace. Nous prenons la direction d'une terrasse pour descendre une boisson houblonnée puis nous remplir l'estomac aux 100 Patates. Le retour se fait avec plein de bons souvenirs. Un grand merci à notre président pour cette bonne idée mais qui hélas n'a pu être des nôtres. Soeur courage Écrit par ChocoBob Publication : 10 mai 2016 Laurent a placé haute la barre dans son dernier CR. Il va me falloir transpirer des synapses pour tenter de lui arriver à la cheville. Votre rédacteur part donc plume dans ... la main pour une envolée lyrique. Je suis convaincu que certains lecteurs ont remplacé dans la phrase précédente un mot par un autre du genre masculin définissant une partie de l'anatomie intime commune aux deux sexes. Ils se demandent désormais pourquoi l'absence d'un tel propos. Primo, la saisie de la plume du potager est réservée aux candidats reconnus pour la qualité de leurs vannes (je suis ainsi éliminé d'office à la majorité absolue). Secondo, la plume est utilisée dans le cadre d'une métaphore. En citoyen du XXIème siècle j'ai remplacé la plume par un clavier et le parchemin par un écran. Imaginez un paon faisant la roue avec un clavier pour séduire dame paonne. Effectivement, il rentrera à la basse-cour la souris entre les pattes. D'autres ayant l'esprit placé au niveau de la sémantique vont me reprocher l'absence de rapport entre la plume de poulailler et les raidars. Je me porte en faux. Si on ne fait pas d'omelette sans casser des œufs, pour les raidars (surtout un) on ne fait pas de VTT sans casser de matos. La boucle étant bouclée, je peux en venir enfin à la passion qui nous anime : le VTT."Mon chéri, prend un taille au-dessus, le L ne met pas tes formes abdominales en valeur". Si les sentiers forestiers ne comportent pas de difficulté il est agréable de rouler en manches courtes sur un sol sec en contemplant les paysages. Au 10ème Km arrive le 1er single pour éviter la monotonie. Hélas, la trace n'étant pas faite, au lieu de se lancer le nez dans le guidon il est utile de repérer régulièrement les flèches de chaux pour se diriger. Dans la descente avant le 1er ravito Thierry se prend pour Robocop en taillant la haie sur 300 mètres. Néanmoins, comme le précise un proverbe américain "n'est pas Robocop qui veut" notre vaillant se retrouve avec le bras tailladé de quelques égratignures sponsorisées par Teisseire avec dégustation gratuite de sirop de fraise. Quoi de plus ingénu pour l'arrivée au ravito. Ce dernier est bien garni. Cacal joue de l'index pour immortaliser cette journée. Nous repartons par une montée plus pentue. Après la traversée d'une route nous entrons à nouveau dans les bois par un chemin mono-trace. Suit une belle descente bien à pic. Je reste en selle. Rapidement je sors ma phrase magique : "heureusement que c'est sec" car je prends de justesse le virage à gauche situé à 10 mètres du final. Les passages ludiques et techniques se succèdent. L'assistance électrique de Cacal tombe en carafe. Bien évidement un long pentu se positionne devant lui. Notre raidar emmène au sommet son destrier de 19 Kg semelles au sol. Un long passage en bord de rivière nous fait avancer sur un single rendu technique par les roches. Thierry nous montre son passé de motard tout terrain. Je le suis sans me poser de question. Un pur régal. Ce passage abouti à un passage de gué à franchir à pied en prenant appui sur des pierres. Je fais concurrence au club du 3ème âge local. Nous nous arrêtons de plus en plus fréquemment pour laisser le temps à Catherine de nous rejoindre. Il faut dire que cette partie de vrai VTT tape dans le physique. Dans son style de force tranquille notre raidarde progresse à son rythme mais toujours sur la selle et parvient à nous toujours avec le sourire. Sourire qui revient chez Pascal son assistance reprenant du service par la magie du Saint-Felt. Arrivés au 2ème ravito 27Km sont derrière nous pour seulement 500m de D+. Ce qui signifie que nous allons grimper de 600 mètres en 16 km. Un des "ravittailleurs" confirme cette hypothèse tout en nous promettant des bosses bien raides sur la fin. Les montées se succèdent dès la reprise avant de franchir un petit pont de bois et une centaine de mètres de portage tant le % est élevé. Un single descendant avec des dévers et des virages nous redonne de l'énergie. Les montées sont de plus en plus pentues et longues. Catherine souffre mais reste collée à ses pédales. Il est déjà 11H30. Thierry nous propose une seconde fois de ne plus les attendre. C'est donc en deux groupes que nous continuons. La trace devient plus physique que ludique. Au dernier ravito je me délecte de 2 crêpes maison sur lesquelles je n'ajoute pas de sucre prétextant un régime diététique draconien. Pour éviter de me jeter à nouveau sur cette pitance je me positionne à l'opposé. Un peu plus loin, lors du changement de batterie pour notre homme le plus électrique du Raid 2 VTTistes chevauchant chacun un VAE LP s'arrêtent à nos côtés. Et que font 3 VTTisteAE ensemble ..? Ca se montre la batterie, ça se la tripote. C'est une chose de parler de watt mais il est temps d'en mettre sur les pédales pour terminer le parcours. Un joli single agrémente le final. Nous devons jardiner pour trouver la sortie (une belle descente en virage). Après s'être remplis l'estomac de liquide et de solide, nous reprenons la route de la France ravis de cette belle rando variée. A mon départ, la voiture de notre couple du Sud-Ardennes est toujours seule. En guise de mot final je vous propose une séquence émotion. J'apprendrai en fin d'après-midi que Thierry et Catherine ont assisté en direct à la naissance d'un petit âne aidé par un biker dans une pâture prés de la trace. Elle n'est pas belle la vie ..? Conclusion : ce CR finit quasi comme il a failli commencer ! La philosophie du raidar Écrit par Spaderman Publication : 2 mai 2016 Alors que je me pose devant la page blanche à la recherche de quelques idées afin de créer un fil conducteur au récit de notre sortie dominicale, je retrouve l'angoisse que j'avais découvrant le sujet d'un devoir de philo... Au lieu de faire un développement chronologique des événements de notre balade j'en viens à me poser une question : Le raidar est-il un barge ?Parfois, les fesses sur la selle, le vététiste se pose cette question : " Qu'est-ce que je fais là ? " Cette question n'amène pas forcément de réponse, mais si celle-ci devient récurente on peut en venir à se poser la question : " Suis-je barge pour aimer faire du VTT ? ". Certes à la vue du néophyte la pratique d'un sport le dimanche matin quel que soit le temps alors qu'on pourrait rester au chaud sous la couette peut parraitre difficilement compréhensible. Néanmoins quand on voit les corps de ces athlètes du RAID sculptés par les heures de pédalage au milieu des forêts on peut se dire que c'est tout un chacun devrait intégrer ce club de sportifs de haut-niveau. En effet quelques constats pour laisser penser que le vététiste une grosse part de folie en lui. Je ne parle du vététiste de pacotille adepte de la voie verte qui n'est rien de plus qu'un refoulé du guidon tordu et des jambes rasées mais de celui qui aime sauter dans les bauges, sentir les épines des ronces entrer dans sa chair ou s'habiller comme Freddy Mercury, bref un raidar. Voici quelques éléments qui vous aideront à comprendre cet état d'esprit. Il ne faut pas laisser un raidars inactif car rapidement il se met à faire n'importe quoi. En effet à peine arrivés sur le parking de la SMA, alors que nous attendons les derniers participants à cette sortie du premier mai Christophe m'emprunte mon Camber afin de voir comment celui-ci fonctionne. Après avoir fait quelques roues arrières suivis de Bunny-Up celui-ci se met en tête de voir comment le dernier né de Specialized roule sur la roue avant. Bien-sur Christophe n'est pas un vrai raidars dans le sens cotisationnel du terme mais dans le comportement il a tout à fait sa place parmis nous. Le raidars ne comprend pas toujours ce qui se passe. Alors que nous quittons le bois de Singly, le groupe se partage en deux. Une majorité prenant une option soft alors que Christophe, Arnaud et moi partons pour l'ascension des "Montagnes russes". Au bout de quelques kilomètres Arnaud nous demande tout étonné où sont passé les autres... Le raidars est entété plus que de raison. Arrivé au pied des "Montagnes russes" nous grimpons sans trop de difficultés la première partie avant de nous retrouver devant "le mur". Christophe attaque le premier et je le suis de près. Après avoir glissé à environ moitié de l'ascension, Christophe doit poser le pied à terre. Alors que je tente de survivre encore quelques mètres les cuisses en feu, il fait demai tour afin de redescendre et faire une deuxième tentative... Un raidar a toujours une vanne pourrie en réserve. A la demande de ChocoBob en petite forme depuis quelques semaines, j'avais mis quelques vannes de cotè pour cette sortie dominicale la première étant tirée du spectacle de Jean-Luc Lemoine. C'est un catholique qui se trouve à la messe et va communié. Il se trouve devant le curé qui lui tend l'ostie. A ce moment le croyant dit au curé : " Elle est petite votre ostie ! C'est une Ostie Mini ?" Et encore cette blague est compréhensible par le plus grand nombre c'est pourquoi j'ai choisi de ne pas exposer dans ces lignes de Chocovanne que qeul un initié peut comprendre. Et encore...
  18. la vérité horrible éclate les aliens sont parmi nous ils ressemblent à powerdésigner , ils parlent comme lui ils écrivent comme lui mais si power reste sur son vtt dans une descente difficile se riant des racines traîtresses et du schiste glissant alors ce n'est pas power c'est un alien !!! et dire que je l'ai embrassé ce dimanche ... je vous en supplie si vous me voyez à pied dans une descente , en train de pleurer ma mère ... alors abrégez mes souffrances c que je suis contaminé par les aliens aussi ( bin oui dans les aliens il y a des chochottes en descente aussi !!! )
  19. encore une fois les cats nous ont gratifiés d'un beau parcours , orties coupées , ronces arrachées tronc d'arbre tronçonné autant de détails auxquels on ne prête pas toujours attention mais qui confirment qu'ils se décarcassent .... de plus en plus malheureusement certains singles nous sont interdits pas le DNF en raison des plaintes de certains écolos de mes c... qui trouvent que les vtt font trop de dégâts ... ou ce chasseurs qui estiment que nous faisont trop de bruit ... bref ce que ces gens veulent c un désert économique pas de touristes verts juste des botanistes et des chasseurs dans les bois (enfin un ou l'autre suivant son statut ) la pluie a rendu certains passages difficiles , ils sont peu nombreux à être restés sur leur vélo dans la descente full schiste après le relais verlaine pour ma part g du mettre un pied à terre à deux places trop glissant et trop de monde à pied ... départ 8h30 c déjà trop tard pour éviter les marcheurs ... lol sinon comme d'hab ravito super fléchage nickel ( bon je préfère les rubalises et trop de flèches me font mal aux yeux ... ) vivement l'année prochaine et merci aux organisateurs de ne pas dormir sur leurs lauriers en maintenant haut le niveau
  20. 1 mm de pluie en 3 heures de temps ... t'es pas en sucre quand même ...
  21. http://www.meuse-semoy-tourisme.com/uploads/common/Carte_Espace_VTT-FFC_-_PNR_Ardennes.pdf je te recommande la noire ou rouge départ monthermé , tu peux aussi faire le tour du lac des vieilles forges tu pourrais trouver des téléchargement "pirate" sur internet genre http://www.asl08.fr/randonnee.html
  22. comme d'habitude ceux qui ne sont pas venus ont eu tord ... le terrain malgré la pluie des derniers jours était juste un peu mouillé ( sauf les 3 derniers km après la grande et looooooooongue côte pour remonter sur oignies la remontée pourtant bien sèche ( et nouvelles belles traces!) m'a tué et la boue finale m'a achevé ... pour le circuit vert et rouge on ne change pas un parcours qui gagne donc ce sont plus ou moins les mêmes mais belles traces de l'an passé ... je suis pour !!! c tellement beau arrivé tôt 7h45 je m'élance en 51 ° position , certaines poules mouillée bw (ou ayant peur de se mouiller) manquent à l'appel donc plus de tranquillité sur les circuits , j'ai pu aprécier les descentes en solitaire et je n'ai pas gêné les as en montée ... pour les natifs du coin sachez que pour le prix de mon inscription (5 euros) j'ai pu voir au moins une fois dans ma vie steve et miguel au travail !!! 5 euros pour ça c pas cher , enfin travail il se contentaient de crier sur les humbles fourmis ouvrières qui servaient au ravito mais pour eux c déjà beaucoup ... question ravito bien fourni comme d'hab et servi par quelques biches mes amis ... bon soyons honnêtes les gars de oignies savent recevoir plusieurs passages avaient été nettoyé de leurs ronces et orties et leur service technique et dépannage est top bref merci pour cette belle journée et à l'année prochaine
  23. message de gentils organisateurs Départ à partir de 7H30 normalement, mais à 7H on est sur le site, donc aucun soucis pour t'inscrire !!!
  24. d 'après la météo locale ( et elle ne se trompe que très rarement) pluie samedi mais dimanche matin sec et soleil 16 à 20 ° pluie l'après midi ( après 14 h ) donc il devrait y avoir moyen de s'amuser !!! le sol de la vallée de la meuse n'est pas boueux ... cependant si vous n'êtes pas à l'aise dans les descentes évitez la noire car plus glissante s'il a plus la veille , la rouge de l'an passé et la pluie ne pose pas de problème pour un descendeur moyen (comme moi ...) ( si ce sont les mêmes types de descentes ...) mais bon steve en parlera mieux que moi ...
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