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tomcat

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Tout ce qui a été posté par tomcat

  1. >>c'est bon hein la Philomène<< Il y en avait également à la rando nocturne de Rhisnes, ce vendredi. Mais là, elle était gratuite. Eric
  2. Jetlag oblige, je suis parti un peu plus tard que d’habitude et j’ai pris le parcours directement de chez moi, à savoir au pied du Tienne des Biches que j’ai escaladé à froid. Comme vous le savez, ce n’est jamais une bonne chose de grimper une biche à froid, et c’est à bout de souffle que je suis arrivé sur le plateau de la Citadelle. De là, nous avons joué au yoyo avec les différents volumes géométriques qui composent notre fantastique citadelle. Cela dit, ce ne serait pas plus mal si elle était un peu mieux restaurée et entretenue. Je pense à Médiane qui aurait besoin de quelques litres de Botox. Bref, c’est avec un sacré coup à l’altimètre que nous nous sommes présentés au 1er ravito où des vttistes convergeaient d’un peu partout. Cela a beau être mon terrain de jeux favori (avec le Vtt je veux dire), les organisateurs m’ont fait découvrir quelques traces que je ne connaissais pas. Forcément, à un moment, nous sommes arrivés au départ officiel où nous avons juste pris le temps de payer notre écot avant de repartir. Un peu plus loin, en traversant un champ, quelle n’a pas été ma surprise d’entendre un bruit bizarre et répétitif derrière moi. Qu’ois-je, qu’entends-je, qu’acoustique-je ? Je jette un œil furtif et prudent derrière moi pour découvrir une petite blonde en short et runnings me rattraper en courant. Oui oui, vous m’avez bien lu : en courant. Non mais ! J’ai même failli descendre de mon vélo, pensant que j’étais à l’arrêt. Pour qui elle se prend, cette gonzesse ? Frimeuse va ! En plus, elle m’avait déjà dépassé sur son vélo quelques kilomètres avant l’arrivée au départ (vous suivez ?). Je lui avais même surpris un regard condescendant, limite méprisant sans même compatir à mon grand âge. Mais, bon, là, je me suis fait larguer par une joggeuse. La honte, quoi. Déprimé et dépité, j’ai quand même continué la queue basse et la pédale plate. Quoiqu’il en soit, casque bas, mademoiselle. Sur le retour (d’âge dans mon cas), je suis retombé sur le ravito qui n’était plus le premier mais le dernier avec un peu moins de vttistes dans tous les sens et, via le Tienne Maquet, sans m’attabler au restaurant, j’ai rejoins la Meuse, ses bernaches, et ses mouettes qui se foutaient encore de ma gueule. J’ai noyé ma déprime dans plusieurs Chouffe accompagnées d’une frite à la Schtouff, sur le pont de Jambes et suis rentré chez moi, sans même laver les vélos qui n’en n’avaient de toutes façons pas trop besoin. Il est temps que je me remette au jogging. Eric
  3. Il y a des fléchages au pied du tienne des Biches ... dans le sens de la montée . Eric
  4. tomcat

    BERTEM

    17° 3-VALLEIENTOCHT Province: Brabant flamand Catégorie: Randonnée Distance: 26-45-63 km Dénivelée+: 300-600-900 m Nombre de ravitaillements: 1-2 Nombre de participants en 2016: 1100 Heure de départ: 7.30-10.30 Lieu: Voetbalkantine, Tervuursesteenweg 161 Code postal: 3060 Prix: 4-5 € Facilités: Douches, Bike-Wash, Parking à vélos gardé
  5. 17° 3-VALLEIENTOCHT Province: Brabant flamand Distance: 26-45-63 km Dénivelée+: 300-600-900 m Nombre de participants en 2016: 1100 Les classiques flamandes sont de retour sur le circuit vttiste belge. Aujourd’hui, c’est à Bertem que j’ai posé mes pneus. Une classique flamande, cela se prépare. Le vtt hardtail est vraiment celui que l’on y rencontre le plus, contrairement au vélo de cross qui, en début de saison, a quasiment disparu. Le moulebite lycra noir est très tendance cette année (ben oui … comme l’année dernière). Les shorts baggy pleins de poches n’ont pas vraiment la cote. Vous pouvez également laisser votre sac à dos avec son matériel de camping à la maison. En Flandres, on pédale léger. Avec nos vélos typés enduro, nous ne sommes pas passés inaperçus. Je comprends mieux, maintenant, la tête que les américains ont fait en voyant E.T. pédaler sur un vélo hollandais, en pleine nuit, devant la lune. Evitez l’huile de tracteur pour votre chaîne. Il y a tellement de sable dans le coin que vous risqueriez d’en ramener une bétonnière pleine sans vous en rendre compte. Optez donc pour une huile très légère poly-saturée avec Omega 3. Nous étions stationnés à quasi 5 km. de l’inscription. C’est même la première fois que je vois que le tracé entre le parking et l’inscription est fléché. A l’inscription, on se marche un peu sur les pneus mais c’est une affaire rondement menée et nous voilà partis. Rouler dans cette région me rappelle une bande dessinée d’Astérix. Celle où Panoramix est kidnappé par un centurion pour qu’il lui mitonne une bonne marmite de potion magique. Après avoir fait tourner les romains en barriques avec les fraises de Wépion, Panoramix lui concocte quand même une rasade du breuvage fortifiant que le centurion s’empresse de tester avec un menhir … qu’il n’arrive pas à soulever. Qu’importe se dit-il, il ne faut pas voir trop grand pour la première fois. Il essaye ensuite avec un rocher qu’il n’arrive toujours pas à faire bouger d’un iota. Et ainsi de suite jusqu’à ce qu’il arrive quand même à soulever un caillou de la taille d’une balle de tennis. La moralité de cette histoire est que, tout comme le centurion avec sa potion magique, il faut appréhender les randos vtt flamandes avec beaucoup d’humilité et ne pas vouloir essayer d’en faire trop. Surtout quand la DLU (date limite d’utilisation) de votre EPO est largement dépassée. Dites vous bien que même si c’est plat, vous n’arriverez pas à les suivre. Et si vous essayez, vous n’arriverez pas au bout (je le sais car j’ai essayé … dans une autre vie). Là où vous avez une chance, c’est quand, par hasard, un bourbier s’installe subrepticement sur le tracé. Là, vous n’hésitez pas, vous foncez et vous faites étalage de votre talent. Ce n’est pas pour rien que les wallons ont choisi le seul animal qui continue à chanter quand il a les pieds dans la merde. Non mais ! Faites juste attention de ne pas en étaler de trop et vous avec. Cela se terminerait par une boonennerie dont les locaux parleraient encore dans deux générations. Bon, comme nous étions « invités » et que nous ne souhaitions pas leur taper la honte, on les a tous laissés passer. Ouais, je sais … on n’avait pas vraiment le choix non plus. L’organisation de cette rando est paramilitaire : un fléchage à faire envie, des signaleurs à chaque traversée de chaussée, des panneaux pour signaler les dangers (même parfois avec un excès de zèle non dissimulé) et un indicateur de distance et de pente au pied de chaque côtelette. Franchement, rien à jeter. Il ne manquait que les pom-pom girls. A l’arrivée un bikewash à huit postes permettait un dessablage correct des vélos. A bientôt pour la prochaine classique flamande à Izegem où on nous annonce déjà un dénivelé d’enfer. Eric
  6. Oufti … Dinant, ce n’est pas de la couque ni un morceau de gâteau et encore moins de la tarte. Ou alors avec de la pâte levée, très levée, du genre qu’on lève avec les cuisses. A moins de cinq kilomètres du départ, on atteignait déjà 250 mètres de D+. Heureusement que je m’étais levé (comme la pâte) tôt. Je savais que la météo allait être délicate alors, hier, j’ai consciencieusement réglé mon réveil pour me sortir des bras de mort-fée avec la douce voix de la miss météo qui se planque derrière l’espèce de grille pain qui me sert de radio. Cette charmante (en fait, je n’en sais rien mais j’imagine) dame nous annonce une matinée grise mais sèche avec une flopée de nuages en provenance de l’ouest ( de France, quoi !) qui vont nous tomber sur le râble en fin de matinée. J’ignore si vous êtes comme moi mais à chaque fois qu’on m’annonce des nuages qui vont s’écraser sur le coin de ma gueule, ce sont toujours des nuages qui viennent de France alors que les éclaircies, elles, proviennent toujours du nord ou de l’est mais jamais de l’autre côté du champ de patates. Comme si les français n’avaient rien d’autre à faire que de me pourrir mon dimanche en m’envoyant leurs crasses. Parce que bien entendu, c’est toujours le dimanche que cela m’arrive, à l’exception notoire du samedi des wallos. D’ici à ce qu’ils nous envoient leur vieux Fillon, il n’y a qu’un pas que je n’ai pas envie de danser avec eux. Déjà qu’il n’est pas gâté, le pauvre, avec une épouse prénommée « Pénélope ». A chaque fois, cela me rappelle le délicieux dessin animé « les fous du volant » avec la belle Pénélope Jolicoeur, le méchant Satanas et son chien Diabolo, Max le Rouge et son avion, Al Carbone accompagné de sa bande de truands, Rufus la Rondelle et son acolyte Saucisson, les frères Têtedure... Cela dit, quand on y pense, ce dessin animé était assez prémonitoire avec ce qui se passe actuellement chez les faiseurs de nuages. Amis français : envoyez donc les vieux trucs dont vous ne voulez plus autre part que dans mon jardin. Cela me permettrait d’engraisser ma matinale avant d’aller dépenser les quelques calories emmagasinées hier soir. Evitez donc d’essayer de communiquer avec nous par l’intermédiaire de nuages, utilisez donc le téléphone (le truc où on dit « allo » dedans) qui existe en Belgique depuis pas mal de temps. Back to the rando : très honnêtement, j’ai trouvé les traces vachement bien foutues et qui m’ont fait connaître des coins n’appartenant pas encore à ma bibliothèque gps qui est pourtant, fort modestement, assez bien étendue. Le fléchage était des plus corrects et, même si les français ont essayés de perturber ma matinée avec un vent à décrocher les cornes, les affichettes O2 ont tenu fièrement tête à l’envahisseur venu d’ouest. Le ravito n’était pas gargantuesque mais il a rempli son rôle à défaut de mon estomac. Juste après la passerelle de Walzin (heureusement pour nous, inaugurée en grandes pompes l’année dernière), s’est ouvert, devant nos yeux ébahis, un des plus beaux panoramas de la Lesse, à savoir le château de Walzin. Nous sommes revenus à notre point de départ juste avant la chute de l’empire français sur nos têtes. Ils auront bien essayé mais les petites têtes belges sont restées bien sèches (la mienne en tous les cas). Les 5 lignes du bikewash ont bien été utilisées de même que les douches bien chaudes mais faméliques. A l’année prochaine, Eric
  7. >>Le 810 a t-il cette fonction ? << Jamais essayé . Cela dit, je n'ai jamais non plus utilisé souvent la possibilité de désigner l'endroit où je veux aller et que le gps m'indique le chemin à suivre. La seule fois où j'ai essayé cela, il m'a fait passer par le chemin le plus court ... à savoir, la route. >> c'est pas aussi réactif qu'un smartphone... << Oui et c'est même curieux parce que la dernière fois que j'ai essayé d'envoyer un SMS avec mon Garmin, mon correspondant ne l'a jamais reçu. Bizarre hein ? Eric
  8. >>J'ai un edge 820 aussi et je trouve aussi que le tactile est vraiment bof << Pour ce que cela vaut, j'ai un 810 depuis plusieurs d'années et je n'ai jamais eu à me plaindre de l'écran tactile, même avec des gants. Eric
  9. Ce matin, je me promenais dans les bois. Bien qu'il fasse un peu frisquet, je suis tombé sur un quintet de jeunes personnes. Surement une réunion Under-ware ... quoique les "Under" sont également en train de tomber. N'écoutant que mon bon cœur, je suis resté ... afin de m'assurer que rien de fâcheux ne leur arrivait .
  10. En ce qui me concerne, j’ai commencé à avoir des problèmes avec la ceinture cardio bien après la fin de la garantie. J’ai contacté Garmin par email et ils m’ont demandé de la renvoyer. J’ai reçu une ceinture neuve une semaine plus tard. Donc, pour moi, chapeau au SAV de Garmin. Eric
  11. Présent ... en principe . D'autant que la météo s'annonce belle (mais froide). Ma dernière participation date de 2013 mais, d'après mes notes de l'époque, elle n'était pas mal pour la saison (c'était en novembre). Eric
  12. De retour de cette rando (40 Km) sans grande surprise, un tracé idéal pour cette saison, avec de la boue juste ce qu’il faut et cette foutue dernière ligne droite de 500 M à travers champs qui vous pompe la lie de votre énergie au fond de la bouteille. Bon fléchage, bien visible, même au niveau du sol. La météo était correcte car nous n’avons pas eu une seule goutte de pluie digne de ce nom à se ramasser sur la tronche. En parlant d’eau, les 3 petits postes du bike wash gagneraient à leur faire des petits frères. Bref, une bonne petite rando de début de saison comme on les aime. J’ai juste un gros point noir à signaler : si on veut profiter du premier ravito du terrain de foot, il faut monter dans la buvette du club en abandonnant son vélo tout espérant le retrouver lors de la descente. En ce qui me concerne, c’est « no-way ». Je n’abandonne pas mon fidèle destrier Jolly Jumper à la portée du premier outlaw venu (et si j’en attrape un, il finira dans le goudron et les plumes). De retour l’année prochaine en espérant pouvoir enfin goûter à ce premier ravito. Eric
  13. On annonce de la flotte, beaucoup de flotte pour dimanche .
  14. >>Serais tu passé au même endroit que moi ? << Il y a des chances . >>ça m'a valu une belle gamelle ... << C'est vrai que j'ai roulé sur des œufs dans chaque flaque. Bien m'en a pris. Pas trop de mal ?
  15. tomcat

    Morialmé

    jusqu’à
    Province: Namur Catégorie: Randonnée Distance: 15-30-45 km Heure de départ: 8.00-11.00 Lieu: école Ste Marie Facilités: Bike-Wash, Parking à vélos gardé E-mail: jeanyves.monard@hotmail.com
  16. Distance: 15-30-45 km C’est la première fois que j’arrive au départ d’une rando où on tombe à court de bulletins d’inscriptions. Peut-on en déduire que le succès était au rendez-vous et que des milliers de Vttistes ont envahi cette région ardennaise dont seul mon GPS connaissait l’emplacement ou bien que l’organisation tablait sur 20 cm. de neige bien damée et impropre à la pratique de notre sport ? Bref, j’ai quand même versé mon écot de 5 euros. Remarquez que, contrairement à ce qui se passe chez Publifin, ici, on doit payer pour participer. A peine 300 mètres après le départ, me voilà confronté à une petite côte bien piquée des vers (de bière) qui donne tout de suite le ton de l’ensemble de cette rando : de la boue et des ornières. Sans aucun doute, la météo est au dégel et les pneus spécial-boue-qui-colle qui m’ont valu des déboires la semaine dernière à Maredsous, ont été plus que précieux aujourd’hui. Le fléchage n’était pas au top de ce que l’on peut faire. Sur la route, la couleur vert pomme-trop-cuite-au-four n’est pas des plus visibles. Les affichettes O2bikers n’étaient pas mal placées mais, bien souvent, le vent les a racrapotées (racrapoter : j’adore ce mot qui est bien de chez nous) et la direction à suivre n’était visible qu’au dernier moment. Sans parler du croisement où le retour s’est confondu avec l’aller ce qui a valu quelques centaines de mètres de rab à plusieurs d’entre nous. Plusieurs traversées de champs bien ornièrés en ont fait chier plus d’un … Oups, peut-être ne peut pas utiliser ce mot là ici. Je reformule : les ornières nous ont fait couler un bronze. Cela coulait tellement que le fond des dites ornières était plein de … enfin, bref, vous voyez ce que je veux dire. Au retour, le bike wash, planqué derrière la file de zombies informes et unicolores, n’était pas mauvais mais j’avais quand même repéré le tuyau de gauche qui donnait vachement plus de pression que celui de droite. Dans l’ensemble, j’ai bien apprécié ce retour à la boue qui était un bon préambule à mon divan devant la victoire de Wout Van Aert au championnat du monde de cyclocross. Je profite de la parole qui m’est donnée ici pour vous inviter au prochain challenge Vtt PUBLIFIN qui aura lieu de 1/4/2017 dans la région de Liège. C’est la seule rando Vtt où on vous paye pour ne pas y participer. Ce challenge a lieu sous le patronage de la ville de Liège, de la communauté française de Belgique, de la province de Liège, de la région wallonne, d’une floppée de ministères, de Nethys, des sièges Mailleux, de la bière Carapils et de plein d’autres. De nombreux prix seront distribués : un ticket de Win-for-Life avec sa pièce de grattage, un bon de cumul bourgmestre-député-échevin, une ouverture de compte bancaire à Luxembourg et, le fin du fin : un magnet pour mettre au frigo. Que demander de plus ? Donc, le 1/4/2017, ne venez surtout pas très nombreux. Eric
  17. >>c etait déjà moi << Je sais ... mais j'osais pas le dire . Eric
  18. >>Encore vu quelques pinpins sans casque mais avec bonnet, je comprendrai jamais je crois<< D'un autre côté, il m'est déjà arrivé (rien qu'une fois, je le jure) d'oublier mon casque à la maison. Cette fois là, je me suis fait incendier (à juste titre) par les membres de ce forum. Donc, je vais me faire un plaisir de traiter ces connards d'abrutis incultes écervelés ... d'imbéciles. . Ahhh ... ca fait du bien ... Eric
  19. Que ceux qui ont préféré rester sous la couette ce matin soient maudis jusque la 4ème génération ! Bon, je reconnais que je n’en menais pas large en sortant de ma voiture : -11 ° au thermomètre. En sachant que je quittais une bagnole à +20, je ne pensais pas survivre à un tel pont thermique. J’ai quand même choisi de partir tard et c’est seulement vers 10h30 que je me suis élancé sur le tracé du saut à ski de Garmiche-Maredsouschen. Déjà, dans le premier bois, j’ai failli m’étaler sur plaque de glace et je ne vous parle même pas de la descente casse-pipe qui se prend habituellement sur le vélo un peu plus loin. Mais là, ceux qui ont essayé ont vu leur roue avant se dérober devant eux. Bref : çà caillait grave ! Mais que de paysages superbes que nous avons rarement l’occasion de voir chez nous. Rien que pour cela, ma journée était faite. J’avoue quand même avoir raccourci ma rando, le parking était vraiment trop près de la bifurcation. Une petite douche bien chaude et j’étais prêt à repartir. Bizarrement, pas de bikewash cette année. On se demande bien pourquoi. D’un autre côté, les vélos étaient juste un peu poussiéreux et ce n’était pas très utile. Eric
  20. Quand je pense à certains qui, à cette saison, se barrent dans des îles méditerranéennes. Non seulement ils produisent des tonnes de CO2 mais ils se retrouvent sur les plages bondées et pleines de russes, à ingérer des cocktails à base d’alcools frelatés et de fruits traités aux pesticides. Pendant ce temps, d’autres profitent de la superbe météo belge pour se remplir les poumons de bon air bien sain en achevant la journée par la consommation de boissons provenant de produits issus de l’agriculture biologique. Eric
  21. Bonjour Stef, >> j'ai trouvé le 810<< Je l'utilise depuis qu'il est sorti. Jamais eu de problème avec. Il est assez précis et, pour ce que cela vaut, il utilise le système gps russe Glonass. Comme tous les Garmin, tu peux le lier à Mapsource et utiliser les cartes (gratuites) de Openstreetmap. En gros : n'achète pas les cartes Garmin. Eric
  22. >> photochromique ou polarisé << Si tu fais de la route, je te conseille le polarisé. Pour le vtt, prend du photochromique. Les changements de luminosité sont plus fréquents en vtt. Quand tu rentres dans un bois, tu as intérêt à voir très rapidement le trou qui passe juste devant ta roue . Cela dit, pour parler de ce que je connais, chez Julbo, il y a du photochromique polarisé. Et mes verres sont des Zebra 2-4 photochromiques simples. Eric
  23. Je confirme pour l'opticien compétent. Et je te suggère de mettre ton casque sur la tête avant d'essayer tes lunettes. J'ai essayé des lunettes qui cognaient contre le casque. Eric
  24. Je ne suis pas un spécialiste mais je ne vois pas très bien ce que les UV viennent faire dans la photochromie. Vas y quand même molo sur la dose de Gigondas . Eric
  25. Juste pour info, mon épouse a des lunettes Oakley avec des verres photochromiques (non correcteurs) et j’ai des lunettes Julbo également avec des verres photochromiques (mais correcteurs). La différence de vitesse de changement de luminosité lumière-ombre est assez importante. Les verres Julbo changent beaucoup plus vite. Nous roulons souvent ensemble et c’est vraiment flagrant.
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