Aller au contenu

H 512

Inconditionnels
  • Compteur de contenus

    1.860
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Jours gagnés

    69

Tout ce qui a été posté par H 512

  1. H 512

    Et O2 Bikers ???

    @Tonton tapis Il veut dire quoi, le Tonton à l'Oli ? Comme on prend tout au premier degré, là-haut, j'ai de quoi m'inquiéter...
  2. H 512

    Et O2 Bikers ???

    A un moment donné, on n'attend plus rien du tout...
  3. Bravo le CC Bellefontaine ! Une fois encore, et pour un prix modique, vous nous avez concocté un parcours, renouvelé et superbe ! Frais au départ à 8h, 3° quand même, on respirait enfin, dans cette Belgique ayant quitté ses aspect provençaux un peu trop appuyés à mon goût ! Comme à leur habitude, les traceurs nous ravivent d'un échauffement, à la fois ludique et reposant, Pépé est content... Paysages superbes, puis ravitos de gens vraiment charmants, un chrono à l'allure de rando, le pied quoi... Les choses sérieuses arrivent progressivement, avec quelques côtelettes nécessitant de mordre, parfois, sur sa chique... Sur le 80, première bouclette de 2 kms nous différenciant du "petit" parcours de 60 qui en faisait 70 ! Rien de bien épuisant, Pépé est toujours content... Par contre, la seconde déviation, pas piquée des hannetons, nous fait goûter à l'escalade ! La différence de dénivelé avec le soixante-dix est ici pesante, et si l'on était resté sur le mode dénivelé "touriste", nul doute que tous les participants du long parcours auraient été devant... ! Je blague, hein !... On ne fera jamais un cheval de course avec un vieux bouc ! Quel incroyable milieu de parcours, où, pendant 20 kms, je ne vis absolument pas âme qui vive, et de surcroit sur un vélo ! La nature, et rien qu'elle... Jamais rattrapé quiconque, vous me direz quoi de plus normal, mais sans jamais me faire doubler ! Incredible, comme on dit en Terre glaise... Tout cela pour dire qu'après une telle épreuve, comme d'habitude, on apprécie encore mieux les bières locales ! Où Resteriez Vous A L'année ? Vous m'aurez compris, Bellefontaine n'est sis qu'à 15 kms de la Jouvence ! Merci au CC Bellefontaine, et, si çà passe, des clichés, pris par ma charmante, de quelques méritantes vedettes...
  4. Super, ce 55 kms, il m'a bien convenu aujourd'hui ! Et cela nous a mené jusqu'à Rebecq, donc, pour moi, une nouveauté bien appréciée... Par contre, les deux passages d'anciennes voies garnies de ces godferdom de gros graviers, quelle horreur ! Qui peut me dire à quoi a servi toute cette peine de les y amener ? Jolie visite, aussi, de cette immense carrière servant, si je crois ce que l'on m'a dit, à approvisionner en pavés la ville de New-York, alors qu'en Wallonie, ma chérie, on utilise les pavés chinois ! Au fait, nos vélos, d'où viennent-ils, encore ? Grand merci à l'organisation !
  5. Quel magnifique parcours que celui proposé ce dimanche ! Sur le circuit de 55kms, au moins 50 kms sans la vue d'une maison, ni d'une route, fabuleux ! Un énorme merci aux traceurs pour ce périple d'anthologie !
  6. Si je peux me permettre, le 70 comme le 90, et plus , en combinant, sont tous devenus trop durs pour plaire à un maximum de gens. C'est dommage, car le commun des mortels n'a pas trop l'occasion de profiter du paysage... Bon, c'est mon avis, bien conscient que cela ne soit pas celui de tout le monde...ce qui ne m'empêchera pas d'y aller, évidemment, ne fût-ce que pour boire un verre de limonade avec notre brusseleir préféré et tous les potes...
  7. Merci de nous présenter cette superbe rando, Maxou ! Si vous ne l'avez jamais faite, et si vous en avez le courage, je vous conseille la longue distance, c'est costaud, mais cela ne s'oublie pas...
  8. Au début, j'avais une réaction à la Debruyne.."Je m'en..." Maintenant, je les adore ! Là aussi, "Je mens"...
  9. Merci, cher Vincent, d'afficher ce bel événement ! Site internet piraté et donc indisponible ! Les cons qui ont fait çà feraient mieux d'aller aérer leurs cervelets dans la nature... Et à Surice, on peut dire qu'il y en a, de la nature ! Au plaisir de t'y voir, et les gamins aussi, monsvtt !
  10. Pas possible pour moi d'y aller, c't'année... Sûr que la baraque à frites, le délicieux américain, l'ambiance musicale et de kermesse vont me manquer ! A conseiller, tant du point de vue rando que de chouette ruralité...
  11. Un week-end de détente...part two... Quand j'étais petit gamin, dans les années 50...nous étions tout excités de partir en voyage scolaire à la Baraque de Friture ! En cette époque bénie, nos pères se rasaient tous au rabot, et nous inviter, dans la foulée, à visiter le barrage de la Gilette, on en était tous très curieux... Bref, aujourd'hui, en allant dans ces belles Ardennes, le souvenir reste tenace...le grand Lion en béton, puis ces odeurs imaginées de fritkot... Je ne me souvenais pas d'aussi somptueux parkings, ils n'existaient tout simplement pas ! Et de ski, à l'époque, qu'était-ce ? L'endroit est vaste, avec une belle accessibilité, et le lieu d'inscription a tout d'un chalet alpin ! Du dépaysement total ! Allo Allo! Présentez-vous dans les box, svp ! Un appel digne de Veviba, je commence à trembler... Devoir descendre la piste pour la remonter dès le start, quel intérêt ? Sinon pour voir l'altière façon dont les fringants et jeunes sportifs s'affublent pour se hisser au sommet ? Ces deux-trois cent mètres sont mortels pour mes pauvres guibolles souffreteuses après les 105 bornes d'hier à Flobecq, mon asthme à l'effort n'arrangeant rien, l'athlète de sous-niveau aurait mieux fait de prendre l'escalator pour faire belle figure... Restons calmes, et chauffons le vieil animal... Première descente, et, éventé par une jeune dame, je me retrouve rapidement dernier, sauf quelques retardataires au départ... La jeune fille ne semble pas aller beaucoup plus vite que moi, et elle reste à vue, ce qui ne me trouble pas plus que çà, vous me connaissez... Déjà seul au milieu de nulle part, s'il n'y avait cette crainte de ne trouver personne aux ravitaillements, je serais complètement serein... Mais dès à présent, le plaisir des yeux dépasse la souffrance des jambons... Tout le long, nous aurons des occasions de nous remplir les yeux de belles vues, et ce n'est pas de la gueuze ! On aurait envie de s'y arrêter et déguster son sandwich, aires de pic-nic rêvées, quoi... Revenons au sport... Km 10-11, piste de ski, moment pénible s'il en est...chaud, après 30 bornes, j'en aurais ri ! Km 14, ravito charmant et calme, à c't'heure, les premiers du « 70 » m'ont déjà repris, mais respectueux de leur rapidité, j'ai tôt fait de mettre de côté mon intrépide façon de piloter, et à chaque sensation d'avoir quelqu'un derrière moi, je cède le passage, c'est bien normal... Jusqu'au moment où, bien à ma droite sur un chemin large à deux bandes séparées par un gazon central, je me fais houspiller par un couillon en tête d'un groupe de gars qui avaient déjà au moins 10 min de retard après 15 kms ! Quand je dis houspiller, c'est parce que je ne connais pas la traduction dans la langue de Vondel... Ni une, ni deux, lui montrant la trace de gauche, je le traitai d'imbécile ! Oui Monsieur ! Et je le regrette...c'était trop gentil, non di diaab !!!! Peu après, quelques dépassements facilités par ma propension à aller me foutre dans les tatamis, je peux vous dire que le seul qui m'ait remercié est le gamin Cusse, des Verdon'boys ! Bien élevés, ces jeunes sportifs ! Ouf, peu après, ces quelques Messieurs trop nerveux quittèrent le parcours commun, me v'là enfin tranquille... S'en suivit alors quelques sapinières dont je crus que c'en fût le championnat du monde ! Tracés bien ludiques et bien agençés, c'était un jeu idéal pour jauger l'attention et la maîtrise du guidon. Mais dans ces circonstances, les kms n'avancent pas...on roule trois minutes et on a fait 200 mètres... Petite descente pas piquée des hannetons, et, par prudence, je pose pied à terre... Une petite famille encourage, sourire en coin, les pauvres derniers, et c'est bien sympathique ! Je retrouve la jeune dame, occupée à désherber son dérailleur, et lui demande : çà va ? Pas un mot, pas un souffle en guise de réponse... On se passera et se repassera nombre de fois jusqu'à la fin, la soupçonnant de se tromper de parcours souvent...à moins que ce ne fussent des arrêts pisewit... Et tout cela sans l'ombre d'un signe, sans un souffle de parole... Pas du tout mon esprit marathon... Le plus comique, après l'arrivée, nous en allant, un gars lavant un vélo me dit : Vous avez roulé avec ma copine ! (ah bon...) elle roule bien mais n'a pas votre technique !...(re-ah bon...) elle prend sa douche, l'air de dire : N'y allez pas ! J'irais, mais pour dire quoi, banane ? Je crois qu'il a eu peur de ma technique... Retour aux ravitos, 14 km, c'est tôt, mais 30 kms plus loin, c'est beaucoup trop ! Purée, quelle bonne idée j'ai eue de demander, après 20 kms, juste après l'ex ravito de la carrière de porphyre, à de charmants signaleurs routiers, s'ils n'avaient pas un peu d'eau, ce qu'ils m'offrirent aussi sec ! Sinon, je n'aurais jamais tenu jusqu'au ravito suivant, où mon bidon fût vide, aussi ! Mon épouse, comme d'hab, était présente, tous côtés, aussi pour aider ceux qui le demandaient, et nous prendre en photo, je réclame une statue à son image, est-ce trop ? Le poste suivant était 22 bornes plus loin, çà va d'aller ! Sauf quand vous mettez plus de deux heures à l'effectuer ! Le parcours était superbe, varié, magnifique ! J'étais moche, avarié, misérable...de lièvre... Descentes techniques mêlant pierres, marches, flaques et ruisseaux, du vrai trial à l'ancienne... Par contre, ces côtes à répétition, je n'en pouvais plus...à pied, souvent, comme quelques gars du 115 qui me dépassaient lentement, et on s'encourageait mutuellement, jolis moments... Plus on avançait, plus on peinait, enfin Bibi ...et on se sent bien seul sans son Susske... On remonte enfin vers la chère Baraque... Un parcours ludique d'un magnifique circuit de bi-cross pour terminer, pourquoi pas ? Sauf qu'à près de 65 balais, on ne saute plus comme à 18, gaillard ! Mais non, faut encore descendre, joli et technique, quâ même, comme le dit si bien Paul Van Himst... Et puis, remonter le village...ouf !... Puis, un long faux plat...presque du plat, je vous l'assure ! J'ai dû m'arrêter à deux reprises...le moteur tournait sur trois cylindres, et encore... La vanne EGR était bouchée, le turbo encrassé, au di-agnostique...tout était mort, même le pape ne pouvait plus Mayday ! Mon couillon, c'est à plat, maintenant ! Et tu crois que je ne le sais pas que je suis à plat ? Non , le terrain, biesse ! C'est vrai, quelques centaines de mètres de semi-repos...puis, un mur ! ...des lamentations ? Niet!(en russe) Je fais pêter les cuisses, puis je me jure que je ne donnerai plus un coup de pédale ! Promis, mon poids me le permet... A cent mètres du but, ils ont l'outrecuidance de me faire redescendre !!! Obligé... ç'aurait été con de ne pas terminer... Quel bel accueil de nos amis, prêts pour un enterrement de première classe ! Toute la communauté portugaise, Joao en tête, est là , c'est un joli bonheur, un beau souvenir de sport, aussi ! Merci à tous ceux qui ont donné du temps pour nous ! Bon, et Ibxl et Lulu, et Yves, sont-ils arrivés au bout de leur périple de 115 kms ? Une semaine après, je commence à m'inquiéter...
  12. Un week-end de détente...Part one... Arrivé vers les huit heures en pleine région des collines, Flobecq et ses voies mises à sens unique nous accueillent, quelques centaines de vttistes et moi... A peine garé dans un pré d'herbes autorisées, faisons gaffe à ne pas poser nos roues dans ce qui semble être le reliquat d'un championnat de Wallonie de la belle flatte, c'est vache mais c'est comme çà ! Mon pote Roland de Roncevaux, euh non, François de Couillet, me rejoint à l'instant, toujours alerte... Mon arrivée tardive, due à un emphorage phénoménal du côté d'Ittre, ne me permet pas de faire de mon nez rouge, gardons le bouchon bas... Les gens sont charmants et disponibles, c'est un bonheur comme on ne le ressent qu'à la campure, car à la campagne, c'est beaucoup moins pur ! On donne ses sous, on reçoit le colis cadeau du bel étendard cautionné, emballé, soupesé, je vous en mets un peu plus ? Non merci Madame, on se pousse vers la sortie du chapiteau, et on n'a pas fini d'accrocher son carton de guidon, qu'entraîné par le mouvement, les deux chevaliers teutons passent le portique de départ sans même presque s'en rendre compte ! On est partis ? On l'est ! T'es sûr ? Comme un citron ! Y avait personne ! T'inquiètes, on est déjà nous deux ... Pris par le mouvement, les cinq premiers kms sont un bonheur total...tout en légère descente...arrêtez, c'est trop ! Effectivement, c'en était assez...sans pourtant recourir à la souffrance tout de suite, rassurez-vous ! Le reste ? Plus que 100 bornes, au bas mot...entre rêve, bonheur, dureté physique, douleurs, mises en berne... Je ne sais pourquoi, mais François, l'ami...donné ne semble pas dans sa gamelle, aujourd'hui...Sait-on pourquoi, mais lui, si alerte le matin, semble ronchon, rouspettant sur le temps qu'il fait, l'heure qu'il est, la sécheresse ici, le gras là-bas, le vent absent, le souffle présent...tout pour m'encourager et me monter le moral... On forme un vrai couple, quoi ! On voit plein de choses, çà motive, même si on les a déjà vécues tant de fois, mais cette région est fascinante, par ses côtés bucoliques, ses changements de décors, ses mystères encore... Les gens préposés aux ravitos sont trop sympas, plantés au coeur d'un potager (ils m'avaient donc reconnu...), sur la petite prairie surélevée et habituelle aussi, jusqu'au dernier de ces lieux d'accueil, où il semblait que nos hôtes, sans voix, étaient prêts à tomber endormis ! Ils le méritaient bien ! Certains, là, qui nous avaient dépassés, rebroussaient chemin, aux dires de nos « ravitailleurs-rêveurs » ! 20 m plus loin, le dernier tapis de passage, l'avaient-ils franchi, avant de rejoindre la ligne d'arrivée ? Qui sommes-nous pour émettre des doutes ? Ben, des couillons naïfs, des belges, quoi ... Je ne sais plus où nous en étions, mais je peux vous dire que la fin,on a trouvé salon ! Sauf qu'on n'était pas dans un divan, télécommande à la main... Bon sang que c'était dur...et dur...et long...et mon jeune compagnon de route viendrait s'en plaindre ? Ce serait un comble, à son âge ! Plus sérieusement, vers la fin, quand l'ami François commence à fondre en rires , que dis-je, en fous-rires à mes couillonnades, comme il dit, c'est que nous sommes passés dans un autre monde, celui des plus de 100 kms et du relâchement total ! Ce moment où le corps et l'esprit se quittent, ou plutôt s'envoient promener ! C'est çà, promener ! Quel bonheur que ce moment d'intemporel, de relâchement de soi en tenant fermement le guidon, où l'on ne sait plus si on est venu là pour s'y plaire ou si l'on a envie de pleurer à tout foutre en l'air ... Le Nirvana du marathonien de très bas niveau, ce moment détestable dont on se souvient, après, avec délectation... Une sorte de post-orgasme, purée, çà c'est costaud, non ? La petite mort ou la grande fatigue, appelez çà comme vous voulez... Quoi qu'il en soit, on est obligé d'avancer si l'on veut goûter la salvatrice boisson et le saucisson... Aidés de cette salvatrice motivation de fin de parcours, François a goûté le coca et l'acqua pétillante, puis moi, j'ai apprécié la Flo 58 et la belle Quintine... Voulez-vous que je vous dise ? Dans tous les cas de figure, c'était 10/10 !
  13. Pas possible, ma chère Loulou, je ne suis définitivement pas sur fb !... Je réfléchis, et accoucherai peut-être de quelque chose, laissez-moi me remettre du w-e...
  14. H 512

    Et O2 Bikers ???

    Quand je vois le cliché de la couverture, çà me rappelle quelque chose... Ah non, c'est l'gars su'l'pot !
  15. Wé...le problème reste là, comme toujours, enfin, c'est chiant mais on croit peut-être, là-haut, qu'on s'y habitue... Trois envois de réclamation à chronobrol, et hier, comme les artistes étaient en Autriche, promis, le problème serait réglé aujourd'hui... Finalement, je me demande si je ne suis pas plus fatigué d'attendre que de rouler... Tout comme les sympas organisateurs qui ont la belle habitude de m'attendre tardivement, que je sois accompagné ou non ... J'ai toujours trouvé, pourtant, que ce challenge était une belle école de vie, de sport sain, de volonté, de dépassement de soi, tout ce que j'aime, en compétiteur, mais sans esprit de véritable compétition... Merci, les amis, de ne pas nous envoyer dans le mur... Mais qui est encore à l'écoute de ces acharnés du bel effort et de la découverte ? Ohé ! Y a quelqu'un ?
  16. Christine était à Theux, pourtant, et elle t'a vu au 1er ravito ! La suite, évidemment, si elle nous suit, François et moi, est plus lente... Par contre, on n'y a pas vu l'amie Jacqueline ! Venez-vous à Langdorp, Flobecq, Lierneux...? Bref, suis-tu encore ce challenge dont je ne me souviens plus le nom ?
  17. Salut Freddy ! Gentil que tu t'inquiètes des vieux croûtons... La santé, çà va, les marathons aussi, sauf qu'une fois encore, malgré preuves et réclamations, çà traîne de reclasser les "inclassables", ou les "indésirables", ou les vieux cons qui n'en finissent pas d'arriver après tout le monde, en forçant les ravitos, quand ils sont encore là... Bref, faux classements à Tangissart, même après rectification (quand on est con, on est con), patience à durée indéterminée des résultats à L'AT, et tu sais que c'est aussi dur de terminer que d'attendre...puis, plein d'autres trucs qui prouvent qu'on se fiche pas mal des lents...sauf quand c'est une vedette dans l'embarras... Harveng annulé, j'ai crû entendre qu'on essayait d'emm...nos amis, bref, c'est le bonheur total au sein de notre challenge favori ! Ce qui devait être un délassement sportif et créer un lien entre ceux qui en bavent devient un groupement d'événements sans queue ni tête... Je commence à craquer, mais pas les guibolles, une fois à température ! Pour les reportages, mon bon, depuis que Picasa a été bouffé par Gogolle, malgré des explications appuyées, je ne pige plus rien... Pourquoi faire simple quand on peut nous faire chier ? Bref, promis, avant 2025, j'aurai compris le processus, et t'auras ton joli minois dans l'poste ! Amitiés à tous ceux qui tiennent le coup !
  18. Les deux pics de remplacement des batteries sont les grands froids ou les fortes chaleurs... Amitiés, Karlus !
  19. Anhée 2018, année de la zwiete... Dimanche 13 mai, 04h du mat, Quoi, c'est l'heure ? Ben non, rendors-toi, vieil imbécile ! Impossible, comme tous les jours, c'est pareil... Alors, penser...oui, mais à quoi ? 105 kms à Anhée...t'es redevenu fou ? Pas facile de se débarrasser de c'te maladie... 06h, le rivel sonne...Marraine l'éteint, elle n'est pas dans son assiette depuis hier, ce sera forfait pour elle aujourd'hui ...repose-toi ma poule, tu le vaux bien... Au bout d'un moment, un grand coup dans mon schabernak, c'est peut-être temps de me lever avant de tomber de mon lit ! Elle a peur que j'aie froid, comme d'habitude... Elle remonte le drap, comme d'habitude... Elle tire sur mes cheveux, comme d'habitude... Je sors de la chambre, comme d'habitude... Je marche vers le couloir qui mène vers les double wifi... Mon stomac remonte dans mon tube digéré, comme d'habitude... Un joli popot, une douche glacée, un habit de cycliss, comme d'habitude... Un poil plus loin et un poil en moins, le zievereir est dans son auto ! 06h47, le bateau joue la fille de l'air, en avant vieux Capitaine ! 07h précise, sur la E 411...je passe sur RTL France, longues ondes, une habitude de longue date sur les déplacements très matinaux... Quel bonheur, ce bon vieux LW 234, où un journaliste exceptionnel, Bernard Poirette, vous invite à vous intéresser à tout, actu en prime, tout bonnement exceptionnel !...et quelle voix ! C'est un moment du dimanche matin où je remercie le challenge de me faire lever si tôt ! On annonçait une pluie drue toute la journée... Résultat ? Un parking libre comme l'air et vierge comme... 07h31, je reçois un message : « Trop mauvais, bonne merde colaud » Je suis effondré, mon acolyte François m'abandonne... Je fous un coup de pied dans un chardon, je suis désolé, la spa, y avait un moustique dessus... Re sms...J'arrive ptite b**e... Qu'en sait-il, on n'a jamais couché ensemble ! Mais je suis content quand même, puis surtout de le voir, ce zouave ! 07h40 et des poussières...j'ai rempli mon formulaire, je le présente à une des deux charmantes dames préposées aux inscriptions chrono...elle me dit...Monsieur, pour la rando, c'est à côté ! Définitivement mort de rire, mdr comme vous dites...mais pas encore mouru, c'est moi qui vous le dis! Suis-je, désormais, trop vieux pour participer à ces jolis chronos et mettre en valeur ceux qui sont plus rapides que moi ? Je m'en fiche bien, à moins que cela ne vous dérange... Cela fait partie des moments de mes plaisirs, les amis, comme celui, très momentané, du passage dans la salle, à vélo, pour se positionner vers le start de départ... Je ressens cela, depuis pas mal d'années, comme un petit temps suspendu, non ? ...pour ceux qui l'ont déjà vécu ... Le fatal start est donné, et dès le début, avec mon Susske, nous prenons un rythme de vieux canasson, le souffle asthmatique obligeant... Déjà derniers, nous nous permettons, non sans leur demander s'ils avaient besoin d'aide, de dépasser deux malheureux, peut-être un peu trop intrépides et victimes de casse, nous nous permettons, disais-je, de gagner deux places ! Les phrases sont longues, me direz-vous, on voit bien que vous n'étiez pas sur la bécane avec nous... Cette petite boucle, François s'est étonné de sa petitesse, bien lui en a fait ! Bibi, pour y trouver mon souffle, c'était coton ! On passe la Meuse, par le dessus, c'était joli, dessous... Et cette p... de côte...qui me tue, chaque année ...et M..., je la fais, la totale ! Merci François ! Je suis sûr que c'est grâce à toi ! Quel flux, ce mec ! La totalité de ce marathon a été un vrai bonheur...le parcours, que peut-être plus reposé que d 'habitude, j'ai vraiment apprécié, cette année... Le temps, annoncé mauvais, moi, qui déteste la chaleur, j'ai eu bon ! Susske a gardé son gilet, tout le long... On n'a pratiquement vu personne sur le parcours, malheureusement pour nos sympathiques organisateurs...un vrai bonheur pour nous... Comique, le passage de la Meuse était, précisément juste au milieu du parcours ! 52Km500. Amusant, aussi, juste avant celui-ci,petit passage sous un mini tunnel, on y croise un vttiste qui n'ose s'y aventurer, son guidon étant trop large ! Eh oui, certains ont le matos plus large que le cou ! Et c'est heureux... A part dans mes clips, j'ai vraiment pris mon pied, cette fois ici, je tiens à le préciser ! Bravo pour tout, si ce n'est l'absence de notre ravito à Maredsous, promis sur papier, mais qui vers 16h n'était plus là... Et pour les lents mais irréductibles, c'est très dur à accepter ! Inacceptable, dirais-je... On n'est pas tous des Julien Kapsalon quand même ! On était à 11 de moyenne, avec 2700 m de D+, l'avez-vous fait ? Puis, quand il y a des mecs dans l'embarras mécanique ...ou physique, qu'en faites-vous ? Je vous aime beaucoup pour tout ce que vous faites, mais abandonner ainsi vos cyclistes, répertoriés à Warnant, le ravito d'avant, c'est inadmissible ! Quand je gueule, je gueule fort, mais pas sans raison... Merci pour le pot d'arrivée, mais cela n'a rien à voir... Il était près de 18 h, on a fait notre possible, ils ont fait plus que mieux, on ne peut qu'être ravis (tôt) Merci à tous !
  20. H 512

    Et O2 Bikers ???

    Qué couillon, mon couilletois, dans ses dires... Mais quel bonheur de rouler avec lui...ses paroles et ses gestes atténuent tout...sauf quand il n'est pas là, évidemment...
  21. Belle souffrance en vue... Pourvu qu'il pleuve ! On s'en souviendra bien... Merci les gars ! Signé Maso & co
  22. C'était le championnat du monde ! Le championnat du monde des ravitos, que je vous dis ! Avouez, ils ont fait podium, non ? Un choix de mets hors-normes, et faits avec amour...mieux, à part la pompe à bière et le rosé frais, c'est pas possible ! Et de plus, un super parcours, avec certaines sections routières, j'en conviens, mais la plus belle des jeunes filles ne peut offrir que ce qu'elle a, non ? Je trouvais les sous-bois délicieux, et pas que pour la température raisonnable... Si vous n'avez pas eu chaud, c'est que vous étiez en électrique... Dix sur dix, je n'ai pas été longtemps à l'école, mais je me permets de leur allouer cette cote bien méritée ! Continuez, les amis, et vous passerez en classe supérieure chaque année ! Merci pour tout !
×
×
  • Créer...

Information importante

En utilisant ce site Internet, vous acceptez ses Conditions d’utilisation.