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  1. Tonton tapis

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Contenu populaire

Affichage du contenu avec la meilleure réputation depuis le 05/07/19 dans toutes les zones

  1. JVJVD il y a 48h (ou presque) je suis devenu papa pour la première fois. Je n'ai à ce jour jamais ressenti une si grande fierté, autant de joie, de bonheur le tout mêlé à un soupçon d'angoisse. Il y a 2 jours j'ai dit bonjour à mon fils.
    24 points
  2. Hello tout le monde, Première des news évoquées sur le sujet des nouveautées 2021! L'équipe Erase s'agrandit, welcome to the team Julien @Giskovcycle!
    23 points
  3. Salut tout le monde, J'ai eu Christophe au téléphone et en vidéo assez longuement hier. L'idée était de faire une interview en radio pour Viva BW, mais la communication était vraiment mauvaise, mon enregistrement aussi, très haché, donc j'ai laissé tomber mais bon, c'était chouette de le voir ! Fatigué mais requinqué. Je résume en 2-3 lignes : il était content qu'on l'ait suivi à distance il est rincé, ça se voit. Si je me souviens bien il a perdu 6kg, j'espère ne pas dire de bêtises. Evidemment c'était super dur, mais pas autant que le truc en France fin juin, car ici il a pu gérer son sommeil autrement. En France c'était la course, ici c'était les circonstances qui faisaient qu'il dormait longtemps ou pas. 6-7 premières nuits sous tente, puis une fois un hôtel, une fois une yourte, une fois au CP. C'est son sommeil qui dictait sa "tactique". Ainsi il s'est une fois réveillé milieu de nuit après s'être endormi en début de soirée, et il est reparti. Ou sinon c'était lever à 7h30, départ à 8h30, avec pour objectif de rouler 200km par jour, tenu pendant les premiers jours, plus compliqué sur la fin. Il est parti avec un équipement light, mais juste suffisant, un sac de couchage léger, une doudoune, un mini réchaud, une casserole. Pas de souci pour trouver de l'eau, c'est la montagne, la vraie. Et c'est ça qu'il aime. Il a croisé pas mal de gens, mais plic ploc, jamais de grande foule, hein. Il a mangé essentiellement de la bouffe lyophilisée, c'est léger et facile. Parfois local et salé, mais rarement, et des barres. Le parcours était très très dur. Mauvais choix de vélo, mais il "n'allait pas en acheter un nouveau pour l'événement". J'adore En fait c'est vraiment du vtt, pas du tout gravel, très cassant, des énormes trous, très très peu d'asphalte. L'altitude (il adore) et la météo étaient évidemment des difficulté : 40° le dernier jour, de la neige le 2ème. C'est le choix de vélo qui l'a fait le plus souffrir. Il encaisse bcp plus par rapport aux autres sur des gros vélos. Chaque descente était compliquée. Et le rapports aussi : il poussait 36(je crois)x42, quand les vtt étaient en 32x50 ou 52. A refaire, il prend un VTT, et carrément un full. (Et d'ailleurs c'est ce que Sofiane disait aussi : il prendrait une fourche suspendue). Du coup je me dis qu'il a vraiment dû chiquer. Tellement qu'il m'a dit qu'un Krampus serait idéal sur ce genre de terrain, c'est dire s'il a dû en avoir marre. Pas de souci mécaniques. Tant que son setup tubeless a tenu, c'était ok. C'est quand ça a lâché le dernier jour que c'est devenu galère. Il a même songé à abandonner à 40km de l'arrivée. Mais il a tenu bon, réparé de fortune et rallié l'arrivée en moins de 10 jours, ce qui était son objectif, car il voulait profiter assez longtemps de ses vacances là-bas avec sa copine Marjorie (qui est très sympa, au passage). Voilà pour les news
    21 points
  4. Il est fini, mais pas par moi je n'ai pas eu la patience de finir le ponçage moi même Du coup le voilà, repeint et monter. Présentation sous peu, une fois que j'aurai des photos convenables 👌
    18 points
  5. JVJVD que ça y est, nous sommes désormais 3 dans la famille ☺️
    18 points
  6. voila donc mon petit cr ! Fevrier je m’inscit pour Zermatt et louons un appart (initialement nous devions partir en combi), mais , madame n’ayant que 6 jours de congé cette année nous décidons d’ y passer nos vacances . la dessus arrive la crise , pas grave on y crois 😊 juillet arrive , on est optimiste . première frayeur les belges interdisent l’accès dans le valais ( petite erreur rectiifée rapidement , les boules pour ceux qui partent a ce moment ) . peu de temps après c’est le coup de massue , le 18 aout , 3 jours avant le départ ce sont les suisses qui imposent la quarantaine a partir du 20 !!!!!! Forcing auprès de nos employeurs ( sympas ) qui nous lachent 3 jours plut tot ( madame sera en télétravail en suisse 2 jours ) , et finalement nous sommes en suisse , en règle , le 19 oufffffffffffffffffffffffff Arrivée a Tasch , car zermatt est ville sans voiture , on gare la bagnole dans l'immense parking pompe a fric de 2300 places .pour le fun ( et un peu pour la thune ) on évite le buisness train /taxi et on amène tout notre bazard a la remorque ( 5km depuis le parking ). Le site est impressionnant , encaissé a mort et face au monument qu’est le Matterhorn ( ou Cervin ) Pas de bike park a Zermatt , mis a part 2 traisl familiaux ( dont le sunnega , deux ans de travail pour 6km ultra shapé , truc de dingue ! ). Le reste il faut cohabiter avec les marcheurs ( pas toujours facile car vraiments pas sympas pour certains ) Les installations sont énormes , le site gigantesque voir incomprehensible ! prets pour des vacances qui seront a couper le souffle Quelques photos des vacances : la salle vélo de l'hotel la cabine de douche velo de l'hotel un velo de baraki sa majesté au loin transfert des bagages vesrs l'appart ( premier voyage ) cimetiere de velos dans la rue direction le ski ( 170m sous la cabine morts de trouille ) arrivée au matterhorn glacier paradise (3880 m ) le breithorn et ses randonneurs a la file ( sur les cretes ) yesssssssss les equipes nationales ! la quatrieme dimension une petite marche dans la vallée vers la plage ( eau a 14° merde on se baigne pas ) depart de la spe 1 (finalement annulée ) un joli trail deuxieme jour de ski le petit rectangle blanc a droite sur l'horizontale la cabane de depart pour l'ascension du cervin (par l'arrete , 9h aller retour ) retour au bike en route pour le gornergrat ( plus haute gare d'europe 3100m ) le glacier du gorner (le plateau est 700m plus bas ) le panorama a tomber , dufourspitze a gauche 4600m retour vers zermatt avec encore un classique le riffelsee encore sa majeste face nord une cabane traditionnelle ( au prix du m² estimation 500 000 FS ) la course !!!!!!!!!!! Les recos : ( ou comment passer du paradis a l’enfer 😊 ) Pluie continue et froid pour le samedi et ses recos . je suis a deux doigts d’abandonner après deux recos tellement j’ai froid . une salle de repos et des cafés en haut me redonneront de l’énergie et je peux ainsi finir. 10 arrets je pense pendant la reco de la rock n roll , avec toujours cette question en tete : comment gerer ça d’une traite ??? je pensais pas qu’un truc aussi physique et technique me tomberai sur la tronche ! La course : 5 mises a jour le dimanche matin pour ne garder (accès secours et helico oblige ) au final que deux spé ( dont la rock raccourcie d’un tiers ). Quel orga quand meme , c’est dingue. Ne manquait plus que la cerise sur le gateau , cad la neige ( un petit air d’ambleve 2019 😊 ) Difficile de trouver un rythme sur la spé 1 , juste rester vivant ! un vilain allemand me colle déjà 1mn dans les dents ! Spé 1 bouclée ,Je suis entier , c’est déjà pas mal sauf que , sur la liaison j’observe un joli saignement au mollet ( j’ignore comment cela s’est produit , pédale peut etre ? je fais nettoyer , et repart aussitôt avec la promesse donnée aux samaritains de retourner voir le toubib le soir , qui me posera quand meme 6 points ) J’ai vraiment tout donné dans la spé 2 , sans doute tellement content d’avoir pu continuer , et je fais le meilleur temps chez les M50 ( nous étions 9 inscrits ) Au final deuxième chez les vieux 😊 quelle joie après ces 6 mois d’incertitude !! Voila , que l’on adhère ou pas a cette vision de la montagne ( autre débat bien sur 😊 ) , croyez moi on repart de la avec des souvenirs inoubliables !
    18 points
  7. Jvjvd ... Ma fille aura un(e) voisin(e) dans la Croozer en 2021
    18 points
  8. Oui la Vennbahn, c'est pour se déplacer, en sécurité. Mais il y a bien mieux au lac de Butgenbach pour les enfants : le lac lui-même Nous sommes donc rentrés comme prévu de notre trip bikepacking, tout s'est parfaitement déroulé... malgré la météo du premier jour qui nous fait un peu peur : il commençait juste à pleuvoir quand on a quitté la maison. La bruine qui ne mouillait pas au début était devenue une pluie fine qui mouillait, un peu avant qu'on arrive à la gare de Liège. A Eupen, rien de tout ça, bien au sec jusqu'à Montjoie, où là, on a encore eu 2-3 petites averses le soir et la nuit. Notre camping n'était pas terrible, plutôt un truc pour les vieux caravanneux à l'année, mais aussi une poignée de campeurs light comme nous. De toute façon, il n'y avait guère le choix pas trop loin de la ville (fort encaissée, comme déjà remarqué lors d'un autre trip). Premier jour, une bonne cinquantaine de km. Et le jour avec le plus de D+ pour les loulous. Notre campement sur quelques mètres carrés : Resto dans le centre Le deuxième jour était le plus light : 36km. Le plus dur finalement : remonter de Montjoie jusqu'à la Vennbahn... Temps sec et chaud. Arrivée à Butgenbach (camping du centre Worriken) pas trop tard, qui qui nous a permis de profiter de notre camping bien plus avenant (c'est peu dire... une tuerie), et surtout d'aller piquer une tête dans le lac. Ca, ils adorent ! Plage aménagée, modules gonflables dans l'eau, ... Et 3eme jour, retour sous le soleil, le ravel jusqu'à Trois-Ponts, donc une bonne partie en descente (mais la petite devait quand-même pédaler ). Train puis retour à la maison. 42km. Mon fils a réussi a casser sa chaine à quelques km de l'arrivée
    17 points
  9. Ca prend forme https://www.bikeservicebw.be https://g.page/bikeservicebw https://www.facebook.com/bikeservicebw
    17 points
  10. JVJVD qu’on a concrétisé notre premier ”voyage” à vélo en famille ce week-end. L’idée est venue quand nos enfants nous ont vu préparer nos vacances de couple à vélo pour cet été. On a donc organisé un week-end du côté de Gesves, départ vendredi midi de chez nous pour rentrer dimanche (aujourd'hui) vers 14h00. 96 km et presque 1000 m de D+. Et bien franchement ça a été top, même si notre lieu de villégiature ne nous laissera pas un souvenir impérissable, le voyage, lui c'est hyper bien passé. La météo a joué un rôle important (beau et pas trop chaud). Mes enfants ont avalé tous ces kilomètres et cette dénivelée sans trop râler. On pensait que le vendredi soir, on n’allait pas les voir longtemps tant la fatigue devait être énorme mais c’est eux qui nous ont mis au lit. Je n’ai pas encore osé la question pour savoir s'ils étaient partant pour remettre ça... Bref, c'était génial et j’ai adoré. 💙 💙 💙
    17 points
  11. Pour ceux que ça intéresse, je démarre demain ma 1e course Ultra de la saison, la Mittelgebirge Classic. 1100km, 24 000m d+ passant par la Forêt Noire et les Vosges avec de très beaux cols tels que Grand ballon, Feldberg, etc. J'ai déjà roulé par là bas en bikepacking c'est juste magnifique. Plus qu'à espérer une belle météo. Départ demain 6H. On va essayer de pas trop dormir cette fois-ci Pour suivre la course c'est ici: https://dotwatcher.cc/race/mittelgebirge-classique-2022 Si je ne repasse pas, on "s'entend" après la course ici même.
    17 points
  12. Non, c'est un casse couilles. C'est bien fait pour sa gueule 😁
    17 points
  13. Hello tout le monde De retour au pays depuis samedi dernier, on reprend doucement les routines et honnêtement après ce genre de voyages/courses ça fait du bien. La reprise se fait en TT, 40aine oblige lors d'un retour zone rouge hors EU. En tout cas chouette à lire bien après l'event toutes vos réactions durant la course. Je ferais surement si je prend le temps un CR de la course (il parait que la région est photogénique) mais d'ici la je vais réagir à vos posts, il y a de quoi dire. Yes rando dans le BW apt de chez titi si je me rappelle bien, j'étais bien cramik à la fin 😁 Du coup pour l'altitude je suis arrivé une semaine avant la course et avec Marjo on a été dormir une nuit en tente à +-2000m mais c'était clairement pas assez. Je n'ai pas de réel problème avec l'altitude mais on sent qd même bien que la respiration est plus difficile, du coup effectivement ca pousse un peu moins vite. Pour le 1er 3800 de la course la c'était plus particulier, j'avais l'impression d'être bourré. Ce n'est malheureusement plus arrivé par la suite 😅. Ce n'est pas vraiment que je dors plus (quoi que p-e un peu) mais c'est surtout que je suis très lent à être prêt... Il me faut quasi 1h30 plus replier la tente et être prêt à rider. Quand je dormais avec des gens je partais souvent (réveil en mm temps) quasi 30/40 min après eux 😄. Pour gagner un peu de temps le bivy peut etre une solution pas mal mais bon je resterai lent pour le reste... Du coup faut plus pousser sur les pédales 😁. L'idée de base (les plans ça sert à rien, on les suit pas...) c'était d'aller dormir quand il commence à faire noir l'histoire de pouvoir installer la tente avec un peu de clarté et de se lever vers 3h (+-6h de sommeil, vu qu'apt de 21/22h plus rien à faire à part dormir, il fait noir. Le matin départ généralement vers 4h30 le temps d'être prêt. Après la stratégie dépend surtout des conditions de course. Par exemple je suis arrivé vers 17h au CP2. Après hésitation j'ai été dormir vers 18h dans une yurt (avec un lit) et je me suis réveillé vers 00h (soit 6h) pour starter vers 1h dans le noir (tant mieux section de merde, ancienne route soviet) après la boustifaille. Donc c'était vraiment en fct d'ou le dodo me semblait le plus opportun sur le moment. Assez étonnament je me suis pas trop senti seul sur cette course. Tous les jours je voyais qq'un contrairement à mes voyages solo où la tu te demandes vraiment ce que tu fous la tout seul. Humainement de chouettes rencontres avec les autres riders Un supplice, hike-a-bike tout du long 😵 Mentalement très dur. La partie qui a été la plus dur mentalement pour moi. Tu sais que la course est fini (40km: descente et route jusqu'à l'arrivée) mais impossible de réparer: plus de chambre et les rustines autocollantes Lezyne ne donnent rien (de la merde, plus jamais btw, retour aux rustines tradi). Du coup un bout de caa coller à la superglue sur le trou, ca perd mais je sais reglonfé et ca tient un peu. Descente (pas dur en soit mais cassante avec des pierres partout) calvaire le cul sur la roue arrière pour alléger complètement l'avant. Ca tape mais ca passe. Arrivé sur la route, après qq km, ca pète net. Je retente 1000 réparations avec ce qu'il me reste soit pas grand chose. Je teste le coup de l'herbe dans le pneu, fail. Bref je fini les 20 derniers sur la grand route, un plaisir. Pour conclure le plus dur mentalement a été cette section qui était finalement la plus simple de la course 🤨. Par rapport aux crevaisons, j'ai su que ca puait du cul àpt du moment ou j'ai perdu mon montage TL à l'avant suite à crevaison (la mèche n'a pas tenu). Je roule avec des liner dans le pneu, franchement je recommande! Sans ca aurait été tendu. Je l'ai malheureusement perdu sur la route (attaché à l'arrière). Si il n'était pas tombé j'aurais facilement pu finir la course avec. Ils finissent main dans la main. Après une course pareil tu ne te disputes pas au sprint J'ai déjà pas mal d'idée au contraire D'ailleurs c'est quand la prochaine? 🙄 Ca pèle de partout pour le moment bientôt j'aurais des mains de bébé 😃 Heu voila voila, t'es content de revenir à ta routine après on va dire... Pour planifier le prochain projet. Toujours! Mais bon dieu que le corps prend cher. Les dernières descentes j'en pleurais, surtout après 9j de course. Sur moins de jours ca passe. A refaire VTT SR ou Full, 2.25 ou 2.35 et transmission de VTT. Niveau organisation c'est pas le même monde. Si la SRMR est pour moi une épreuve plus prestigieuse, les bikingman sont bien mieux rodée en terme d'orga, 2 mondes Elles étaient prévues pour les traversées de rivière, finalement elles étaient parfaites pour le camp et l'arrivée, RPZ Claquettes! Pour la récup ca a été bcp de 🍽️ et un bon trek en autonomie en montagne avec marjo 😁 Le problème toujours avec ce genre de course c'est que après avec la fatigue c'est un peu plus dur de bien profiter. A réfléchir pour les prochains voyages du genre. Tourisme avant la course? Choix débile il faut le dire 😎 T'inquiète qu'ils se reprennent très vite tellement t'es en fringuale après la course Après la course je me faisais un peu peur avec mon corps de croquette. Ca va mieux mtn. Honnêtement j'ai pas eu trop de douleur sur cette course. Après la Bikingman en juin j'avais le cul à vif impossible de m'assoire. La grosse dif c'est qu'ici j'ai plus fait attention à mon hygiène dans le sens que la course ici est moins un sprint que la BM (+-50h ou chaque arrêt compte). Rapha Cargo pour le cuissard. Pour les poches je pourrais plus m'en passer.
    17 points
  14. 17 points
  15. Oui, je l'ai Cela a pris un peu plus de temps que prévu, car nous avons discuté pas mal, puis ils ont dut changer de cassette pour une 11 - 34 et mettre quelques bricoles supplémentaires. En plus avant de rentrer chez moi, j'avais quelques trucs à faire et régler l'histoire du colis DPD d'hier. Donc voici la première photo que j'ai prise de mon Zolder Pro. Il faudra quand même un peu de temps pour m'habituer à sa couleur que je trouve plus voyante en extérieur que dans le magasin
    16 points
  16. Salut les copains, Notre bébé est né dans l'intimité et la douceur de notre foyer, cette nuit à 3h48. 4,42kg le petit rôti 🤩🥰 On va essayer de se reposer maintenant 😊
    16 points
  17. David, je suis quelqu'un qui dit ce qu'il pense clairement. C'est grâce à toi que j'au découvert le Sart Tilman à VTT il y a plus de 10 ans et je m'en souviendrai toujours, mais je dois te dire aujourd'hui que ce que je vois ci-dessus n'est vraiment pas agréable à lire. Je pense que tu ne t'imagines pas le temps que cela prend de préparer les démarches que nous menons, étudier en détails le code forestier pour voir les marges de manoeuvre, rencontrer d'autres associations, mettre en place uns stratégie cohérente, travailler avec des interlocuteurs en coulisses. Tout ne peut pas être rendu public dès le départ sinon cela déforce toute la stratégie, mais j'espère que tu vas te rendre compte dans les prochains jours/semaines de tout ce qui a été fait ces derniers mois. Ce sont des centaines d'heures de travail bénévole investies par des passionnées, pour la défense de notre sport pour le plus grand nombre. Je t'écris ce message à quasi 3h du matin, après avoir bossé toute la soirée sur des dossiers MBF. Il n'y avait rien, on est partis de ZERO, on a tout créé à une petite poignée de gens motivés et conscientisés. Je pense que cela ferait du bien qu'on roule un de ces quatre ensemble afin de discuter de vive voix. J'ai l'impression que tu n'as plus eu beaucoup de contacts avec d'autres vttistes d'horizons différents sur le terrain. En tout cas ce n'est certainement pas en ayant un discours défaitiste comme tu as que les choses vont avancer. Aucun général n'a jamais gagné une bataille en pensant qu'il allait la perdre. Ou en se lamentant sur ses échecs passés plutôt que d'en tirer les leçons pour gagner les suivantes. Pour reprendre les points que tu évoques : tentative de revoir le code -> ce sera sans aucun doute le chantier le plus long, mais l'idée commence à faire son chemin dans certaines coulisses politiques. Et là, le confinement a vraiment aidé. Le VTT c'est plus le petit machin que font quelques casse-cou, c'est devenu un vrai potentiel touristique et un domaine qu'il est tendance de soutenir. Profitons-en. tentative de traces permanentes -> Eh bien oui, ça avance ! Ce n'est vraiment pas facile, mais plusieurs verrous ont déjà sauté ! Les vttistes sont rarement maîtres des agendas, mais à force d'insister ça finit par avancer. Un premier dossier devrait aboutir très, très bientôt. Et on espère ensuite un effet domino quand il y aura un premier exemple réussi (parce qu'on n'imagine pas que ça se passera autrement). Les autres suivront après bien plus facilement. L'histoire des traces de Sart-Tilman à Liège -> Là aussi, il y a eu un gros travail en coulisses et une démarche commune de 2 clubs + Patric Maes + MBF va être menée auprès des autorités pour légaliser et mieux cadrer le sport près du parking du CHU, et voir aussi pour mieux gérer les autres traces XC/Enduro. Aujourd'hui aussi, en quelques heures, le manifeste a déjà recueilli plus de 7000 signatures ! On va très vite passer les 10000. Ca, ca va nous donner du poids, et on a des dossiers qui sont aujourd'hui bien plus construits qu'avant. Pour le signer si ce n'est pas déjà fait, c'est par ici : https://mbf-belgium.typeform.com/to/a3Vmvypq
    16 points
  18. Alors aujourd'hui j'ai allongé un pivot de fourche en alu. Suite à la réception d'une fourche (RockShox Judy SL '96) dont le pivot était annoncé pour 220mm mais en fait n'en faisait que 212 (c'est la faute sur la mesure sur le mètre ), et vu qu'il me fallait minimum 217mm pour le montage auquel je le destinais... J'ai décidé de l'allonger juste un petit peu. J'avais en stock un pivot de 185mm, même modèle. J'ai donc prélevé 15mm de tube alu sur celui-ci pour le souder sur l'autre un rien trop court. Je précise que la potence est très haute, il n'y a donc pas beaucoup de contraintes à cet endroit, ce qui m'a incité à tenter l'opération. En fait, c'est surtout par esthétisme que je l'ai fait : j'aurais pu ne rien faire et laisser le montage avec le petit jour de 5mm, mais c'était moche. La suite en image: Tout d'abord, j'ai recoupé le pivot perpendiculairement. Il était coupé de travers. Ensuite, j'ai prélevé une section de 15mm sur un autre pivot du même type. J'ai bien chanfreiné les deux extrémités qui seront soudées. Deux cornières en acier pour aligner l'ensemble: Les 4 points cardinaux, puis les cordons (enfin, je suis loin du niveau de Doug, mais j'me débrouille) Meulage pour dégrossir, puis quelques coups de lime fine sans mordre le pivot. Et j'ai fini au papier à poncer (60, 120, puis Scotch Brite). Un coup d'alésoir pour l'intérieur, et voilà : ni vu ni connu. J'suis super content! Bleuarh.... J'ai du recouper un chouia quand même, et vu que le coupe tube ne fonctionne pas terrible sur l'extrémité : hop dans la trancheuse! L'expandeur est rentré nickel chrome, le jeu de direction et la potence aussi. Mission accomplie. Oh yeah!
    16 points
  19. JVJVD... la kiné m'a autorisé à remonter sur le vélo Enfin, dehors quoi, plus sur le rouleau... bon, je ne peux pas me mettre debout sur les pédales, ni pousser trop fort, éviter les chocs... bref, je peux faire du Ravel tranquille. C'est pas grandiose à décrire comme ça, mais perso ça me fait déjà bien plaisir
    16 points
  20. et pour illustrer le retour... 2h15, un record 😂
    15 points
  21. 15 points
  22. Bonsoir à tous, Dès aujourd'hui, Bike Service BW devient le premier service-center pour les vélos Origine dans la province du BW Content je suis ! Je complète les infos, voici les informations émanant de leur page officielle :
    15 points
  23. Petite vidéo au sein de l'atelier 😉 emtbe2242v00_fr.mp4
    15 points
  24. Salut à tous, En mars 2023, BMB fêtera ses 20 ans (gloups). A cette occasion, une sortie sera organisée. Je réfléchis à faire un week-end complet. Le zone géographique est à priori déjà décidée, les détails viendront. Niveau date, ce sera fin mars ou en avril, que la météo soit un minimum clémente. Si certains veulent me donner un coup de main, n'hésitez pas, ce sera avec plaisir et bien utile A bientôt !
    15 points
  25. Ca fait un petit temps que je n'ai pas donné de news ici. Dernière chimio faite le 01 août, scan passé vendredi 26 août, rdv le 14 septembre pour les résultats en espérant qu'il n'y ait plus aucune trace. Normalement ça devrait aller je sens bien que j'ai récupéré mon état "d'avant" Allez bisous.
    15 points
  26. Voilà mon petit compte rendu. Je pars de la maison vers 08h20, soit une heure plus tard que prévu mais avec une nuit assez courte, c’est une bonne chose. Les 20 premiers kilomètres sont vite avalés. C’est à peu de choses près mon ancien trajet de vélotaf. Il fait beau mais venteux, au bout de 15km, je mets un lainage. Mon contournement de Bruxelles se passe bien et je suis assez vite à Uccle puis dans la forêt de Soignes. Seul embêtement, je dois m’arrêter toutes les 5 minutes pour pisser. Je traverse le bois et ses nombres couro-cyclo-promeneurs de chiens-chiens. La traversée est vraiment rapide et je sors à Tervuren, je vois déjà le bois de Merdael. Les paysages sont beaux, la météo au top et les chemins même si trop « tout le temps tout droit », sont beaux et variés. Quelques côtes qui piquent mais ça roule. -Pause pipi – Je traverse le bois de Merdael en quelques minutes (enfin, c’est l’impression que j’ai), j’en sors à Beauvechain. Là, je sais que l’itinéraire va changer. J’attaque les plaines de Hesbaye. Du vent presque en permanence dans la tronche, et pas un mètre de plat. La Hesbaye, ce sont des plateaux, des faux plats suivit de faux plats descendants, etc… Heureusement que je le savais sinon le moral on aurait pris un coup. J’ai RDV avec mes sœurs au KM 73, mais je me suis planté, je m’arrête quasi à 90. -Pause pipi – Je me sens bien, la mécanique est au top mais les 17km supplémentaires ont un peu attaqué le moral. A partir de là, par moment le genou gauche donne des signes d’inflammation, j’ai mal à la plante des pieds et le derche frotte un peu quand même. Mais tout va bien. Pause de 30 minutes, salade poisson, pain et coca. Et roule ma poule plus qu’un petit 40. Passé le lunch, je suis gonflé à bloc. Après Lincent, que des chemins de remembrement, mieux que des grand-routes moins bien que des bois. Evidemment, c’est moins difficile et ma moyenne augmente. - Pause pipi – Avant Lincent, je commence à la Sainte-Trilogie des villages avec Zétrud-Lumay, je la prolonge avec Cras-Avernas et Gingelom. Passé Gingelom, j’arrive assez vite à Berloz et Waremme. A l’entrée de Waremme, un convoi de flics bloc la route, suivis de pleins cycliste derrière eux. Chance ! ils prennent la même route que moi, je m’insère dans le groupe et je vois un grand barbu sur un Cannondale Fat Boy ! C’est @jonacannondale on fait quelques mètres ensemble. Ce sera le seul moment où je partage la route. Mais je le quitte assez vite pour les 15/20 derniers kilomètres. Les dernières côtes sont faciles mais dures pour moi. Néanmoins, je continue à augmenter ma moyenne. Je vois les premiers panneaux Fexhe, je deviens un peu euphorique, je pousse un peu plus, j’ai une banane pas possible et, j’avoue être un peu émus aussi. Finalement, j’arrive à destination. Je suis content. J’ai roulé un peu plus de 6h15 et suis resté en route 07h20 pour les pauses pipi et la bouffe. Je me sens assez bien et je suis relativement frais. Un peu mal au séant et au genoux, la plante des pieds se calment dès que j’ai un peu marché. Au final, je le referai, ça fait du bien des petits défis face à soi-même. Le plus dur aura été de gérer son effort dans les portions où j’aurai pu être beaucoup plus rapide mais au risque de me cramer ou de chuter. Aujourd’hui, je suis un peu fatigué, les épaules sont courbaturées mais pas les jambes, juste un peu lourdes, un peu mal au genou. Le vélo a été au top comme d’habitude mais si je me suis bien fait secouer dans les trop nombreuses sections pavées.
    15 points
  27. Hello tout le monde, Ca a été un sacré roman cette ligne d'anodisation La société a qui on avait fait appel a malheureusement stopé ses activités suite à une grave maladie de son dirigeant. C'est très triste pour lui et ça nous a mis dans une situation plutôt difficile. On a été obligé de faire sous-traiter notre production quelques mois de plus et ça a été un carnage. On a plus de 500 corps de moyeux invendables. On a repris le projet en cours de route, donc finalement nous avons réaliser la ligne d'anodisation nous-même. Ca a été plutôt long et difficile, mais ca y est! Les premières pièces sont sorties mardi et elles sont superbes. Un tout grand merci à ceux qui nous ont suivi!! Voici quelques images: La ligne: Des pièces qui sortent de traitement: video-1651240306.mp4 Comparatif entre nos pièces et celles sous-traitées, pas besoin d'expliquer quoi est fait par qui
    15 points
  28. Jvjvd que j'ai une bonne nouvelle, j'ai eu confirmation que je signais mon contrat pour mon nouveau taf le 13 janvier (ca fait un moment que je savais que ça serait là mais fallait encore savoir quand) . Un job dans l'administration c'est pile ce que je voulais, ça va me changer de la grande distribution et des 50h/semaine pendant quasi 20 ans 😅.
    15 points
  29. Je rentre à la maison jeudi !!! C'est peu dire que je suis heureux.
    15 points
  30. ça va ! elle a bien été prise en charge et les abcès se drainent gentillement le service dans lequel est elle est vraiment top et on a eu l"autorisation de passer quand on veut ! Emile a même passé la nuit dernière avec elle. Les infis sont toutes folles avec lui dans le service et aux petits soin ! ça fait plaisir et sa joue bcp sur son moral ! je poursuis mon congé de paternité au moins le temps qu'elle sorte
    15 points
  31. Votre message va être supprimé, afin d'avoir réponse à ce forum il faut au moins parcourir plus de 200 kms en VTT sur l'année. L'équipe de modération
    15 points
  32. histoire de couleur de selle ... ( faites-vous plaisir) j'ai monté des Bontrager RL sur tous mes vélos, la mousse est increvable par contre la peau des selles a souffert , j'ai déjà essayé d'autres selles mais ce modèle est le seul qui convient vraiment à mon postérieur Pour rénover la peau , j'ai tenté la peinture , ça ne tient pas , alors je me suis dit pourquoi pas la recouvrir comme cela se fait dans les bagnoles ou pour les fauteuils, j'ai tenté ceci chez Ali ... https://fr.aliexpress.com/item/1005003661519991.html?spm=a2g0o.order_list.order_list_main.27.21ef5e5biBfm8Q&gatewayAdapt=glo2fra un décapeur thermique pour aider le tissu à prendre la forme de la selle et le tour est dans la poche , je suis vraiment content du résultat, à voir maintenant si cela va tenir sur le vélo. Avant et après ... en "touning baraki" Gravel
    14 points
  33. Avec le pédalier, le frein est l’autre élément de contrôle de notre vitesse qui nous évite de terminer une descente sous la forme d’un steak tartare. Et pourtant, combien de fois n’avons-nous pas pesté sur nos freins parce qu’ils ne freinent pas assez ou trop tard ou qu’ils font un bruit de furet coincé dans une porte ou même qu’il faille attendre que la poignée soit contre le guidon pour qu’ils commencent à entrer en action. Les freins, c’est comme tout, cela s’entretient. Parmi les problèmes de freins, les causes les plus fréquentes sont : - Un piston paresseux dû à un encrassement du piston qui se grippe et reste coincé dans son étrier. - Un mauvais centrage de l’étrier résulte souvent d’une tentative de correction du piston paresseux. - Une poignée de frein mollassonne se résout avec une bonne purge (du circuit hydraulique). - On peut également avoir des plaquettes usées, une durite abîmée, une goupille de plaquettes perdue, un disque voilé … La solution que je vous propose ici n’est certainement pas celle qui règlera tout mais elle vous mettra sur la piste d’un meilleur freinage. Cela dit, je n’ai rien inventé car j’ai puisé la plupart de mes informations sur internet et auprès de techniciens de marques et vous seriez tout aussi capable que moi d’y arriver. Enfin, bref … ceux que cela intéresse me liront en me corrigeant si nécessaire. Quant aux autres … ben … ils feront ce qu’ils veulent. Avant tout, je vous conseille de lire l’instructif article paru sur Vojo qui explique le fonctionnement des freins hydrauliques (https://www.vojomag.com/mtb-anatomy-2-le-fonctionnement-dun-frein/). Avec ce schéma, vous comprendrez aisément que si un piston sort complètement de son logement, toute l’huile se retrouve par terre et c’est, bien entendu, ce que nous ne voulons pas. Le joint flexible est utilisé pour éviter que l’huile ne fuite mais il est également l’élément principal qui ramène le piston dans son logement lorsque le levier de frein est relâché. 0. Préalable Tout ce qui est décrit ci-dessous présuppose que votre disque est bien plat (càd pas voilé) et que la surface de contact entre le hauban sur lequel est fixé l’étrier et l’étrier proprement dit est correctement propre et plane. Les deux plaquettes sont également dans un état correct et d’une usure similaire. N’utilisez pas des plaquettes dont la surface de freinage ne serait pas uniformément usée. 1. Les pistonnés La première chose à faire est de s’assurer de la propreté et de la bonne lubrification des pistons. L’idée est de faire sortir les pistons de leur logement sans dépasser la limite, de les nettoyer et les lubrifier. Tout cela sans vous retrouver avec toute l’huile sur les pieds et le piston à terre. Ne rigolez pas, cela m’est déjà arrivé. Euh … tout compte fait, si, vous pouvez rire. Tout en laissant la roue en place, on commence par enlever les plaquettes. Vous remarquerez l’identification des plaquettes «G»auche ou «D»roite pour pouvoir les remettre dans le même sens. Sur un disque, des creux et évidement des bosses se forment avec le temps et les kilomètres, bosses et fosses qui s'accentuent avec le temps... et évidement les plaquettes s'usent selon les bosses et dite fosses du disque ... donc si après un démontage -remontage on inverse les plaquettes, on aura selon l'importance des bosses et fosses, un freinage moins net.... voire même spongieux, le temps que plaquettes et disques accordent leurs fosses et bosses.... (merci @patlouis pour la précision). Vous pouvez déjà voir que ce disque n’est pas correctement centré et que la crasse s’est déposée un peu partout. Retirez maintenant la roue et, sans toucher à la poignée de frein, nettoyez la cavité intérieure de l’étrier à l’alcool isopropylique. Un petit nettoyage de l’extérieur n’est pas non plus du luxe. Il est maintenant nécessaire de bloquer les pistons pour qu’ils ne dépassent pas la limite d’échouage sur les orteils. C’est autant valable pour les freins à 2 qu’à 4 pistons. Chez SRAM, une clé Allen de 4mm fait l’affaire. Elle se coince parfaitement dans l’étrier. Chez Shimano, j’avoue ne pas avoir fait d’essai mais je pense qu’une clé de 3mm doit suffire. Les étriers HOPE sont un peu plus délicats car, contrairement à d’autres, ils sont usinés d’une seule pièce (ce qui est une bonne chose) et n’offrent pas la flexibilité nécessaire que pour pouvoir y coincer une tige de 4mm. Hope dispose dans ses accessoires d’un gabarit de la bonne dimension que je trouve un peu chérot pour ce seul usage. J’ai utilisé un bloc d’espacement (livré avec les freins) partiellement enfoncé. Une fois la clé (ou le bloc) bien coincée dans l’étrier, actionnez le levier de frein jusqu’à ce que les deux (ou quatre) pistons arrivent en contact avec la clé. Dans mon cas, le piston de gauche est le plus fainéant et j’ai dû insister. Une fois de plus, le but est d’exposer un maximum de surface afin de bien nettoyer et lubrifier le piston. La clé Allen vous permet juste de ne pas dépasser la limite. La première chose à faire est de nettoyer les pistons avec un coton-tige trempé dans l’alcool isopropylique. Evitez d’utiliser du nettoyant pour disques qui peut contenir des composants plus mordants qui risquent d’abîmer le joint flexible. Laissez bien les restes d’alcool s’évaporer avant de passer à l’étape suivante : la lubrification des pistons. Pour cela, il y a deux écoles : - Vous pouvez utiliser de l’huile identique à celle de votre liquide de frein soit de la minérale chez Shimano ou de la synthétique (DOT) chez Sram et Hope. - Ou alors, vous utilisez du silicone pur. L’idée est d’utiliser un produit le plus neutre possible pour le joint du piston. Le silicone est neutre pour le matériel mais également pour les mains et la peinture, ce qui n’est pas à négliger. Il se présente sous la forme d’un gel assez épais bien pratique pour l’étendre sans en mettre partout. J’utilise un pinceau pour badigeonner légèrement le côté des pistons en répartissant le plus possible le lubrifiant le long des pistons. Le pinceau permet « d’étaler » le lubrifiant vers le joint flexible. L’étape suivante est d’apprendre aux pistons à se comporter correctement. La clé Allen toujours en place, à l’aide d’un démonte pneu (une « minute ») en plastique il faut pousser chaque cylindre bien lubrifié par le silicone dans le fond de son trou, le faire ressortir en tirant (la poignée) et le repousser à fond … J’en vois déjà des ceusses qui rigolent dans le fond de la classe mais, cela dit, en dehors de leur esprit mal tourné, l’image est correcte. Il est important de laisser la clé Allen en place car le fait de repousser un piston pourrait faire ressortir, par la pression de l’huile, un autre et on se pourrait se retrouver dans le cas du piston et de l’huile sur les godasses. A ce stade, en principe, les pistons sont correctement lubrifiés et devraient se déplacer plus ou moins correctement. La synchronisation n’est jamais parfaite car les pistons et les joints flexibles s’usent de manière différente. Vous pouvez maintenant repousser les pistons dans le fond de leur logement et enlever la pièce qui empêche qu’ils ne sortent. Vous ne touchez plus au levier de frein. Donnez un coup de « loque » pour enlever le trop plein de gras. 2 Le centrage de l’étrier 2.1 A la paresseuse Dans la plupart des cas, quand on veut aller vite, on remonte les plaquettes et la roue et on pompe quelques fois sur la poignée de frein de manière à rapprocher les patins du disque. Inévitablement, cela frotte d’un côté car, comme expliqué plus haut, avec le temps et l’usure, les pistons ne se déplacent plus en parallèle de manière synchronisée. La solution la plus rapide est la suivante : - desserrer les deux vis qui maintiennent l’étrier sur le hauban de manière à libérer l’étrier - faire tourner la roue et actionner le frein en conservant la poignée tirée vers le cintre - resserrer les deux vis de fixation de l’étrier - relâcher la poignée de frein En général, cela marche … pour un temps. Cette méthode permet juste d’éviter le frottement continu d’un patin sur le disque. Elle peut être utilisée sur la piste mais ce n’est pas une bonne idée de la considérer comme universelle en atelier car elle ne centre rien du tout, au contraire, elle positionne très souvent l’étrier de biais. Vous pourriez vous retrouver avec des patins qui arrivent en oblique sur la surface de contact du disque, un patin qui arrive en premier sur le disque et qui « pousse » celui-ci vers le second patin ou un piston qui sort en oblique de son logement. 2.2 le « vrai » centrage Ici, nous allons centrer le disque dans l’étrier … ou plutôt l’étrier autour du disque. Centrer un étrier se fait à l’œil AVEC la roue mais SANS les plaquettes. Replacez la roue et serrez-la correctement. Généralement, l’étrier est maintenu en place par deux vis qui s’enfoncent dans le hauban. Dévissez légèrement ces deux vis de manière à laisser l’étrier libre. Positionnez l’étrier à l’œil de manière à ce que ses deux flancs internes se retrouvent équidistants du disque. Le disque doit se retrouver bien centré parallèlement aux côtes de l’étrier. HOPE nous facilite le travail car deux marques ont été tracées au laser sur le dessus de l’étrier. Serrez les deux vis et vérifiez le centrage. A ce stade, les pistons sont toujours au fond de leur logement car vous n’avez bien entendu pas touché au levier de frein (hein !). Repositionnez les plaquettes dans leur logement avec leur vis (ou leur goupille). A ce sujet, je vous rappelle que chaque plaquette ainsi que le ressort qui maintient ces deux plaquettes disposent d’un trou dans lequel la vis de fixation doit passer. Il n’y a pas si longtemps que cela, je me suis arrêté dans une rando à côté d’un vététiste qui avait perdu le ressort et qui s’étonnait du bruit de ses freins. J’ai également pris l’habitude d’élargir légèrement l’ouverture du ressort. J’ignore si cela a réellement une influence sur la qualité du freinage mais je pense que cela aide le joint flexible à ramener les pistons à leur place lors de la rétraction. Arrive le moment où il faut bien se décider à freiner. Tout est en place, il ne reste plus qu’à tirer un coup ( !) sur le levier de frein. Pendant cette opération, observez bien le comportement de vos plaquettes. Un des pistons est certainement plus fainéant que l’autre et il met beaucoup moins d’énergie à sortir de son logement. Pour résoudre cela, insérer le bout d’un petit tournevis plat entre la plaquette et le piston paresseux. Utilisez un effet de levier pour repousser la plaquette vers le piston le plus actif. Prenez bien soin de ne pas insérer votre tournevis entre le disque et la garniture de la plaquette. Redonnez un petit coup de frein et vérifiez le mouvement des pistons. Ajustez jusqu’à ce que les pistons sortent correctement de leur logement. A ce stade, tout est bien centré. Cela devrait vous assurer un freinage uniforme et sans frottement. Cette procédure est encore plus importante sur un étrier à quatre pistons.
    14 points
  34. Mode la vita é bella. 😊 Je me remets super bien de ma dernière gamelle. Mes côtes ne me font plus mal (sauf quand j’éternue). Juste mon épaule qu'il va falloir surveiller. Fin de mon arrêt de travail demain soir après ”seulement” 4 semaines (au lieu de 6 😎). Et comme un bonheur ne vient jamais seul, je passe d'un 3/5ème à un 4/5ème à partir de lundi !!!
    14 points
  35. Le bout du tunnel ? Après 13 mois, c'est plus qu'envisageable ! Bilan neuro-psy ultra positif. L'IRM cérébrale montre des lésions côté impact mais qui sont non évolutives. Elles expliquent certaines petites séquelles non handicapantes (comme les douleurs intra-crâniennes et l'engourdissement des membres, céphalées, fatigue, vertiges,... Pas tous les jours hein 😊) mais à part une réévaluation périodique et un peu de 'rééducation', rien à faire. Tout évolue super bien. L'infection au staphylocoque n'a, semble-t-il, pas laissée de traces. Concrètement, j'augmente mon temps de travail à un 4/5ème de temps à partir du 01/12 et, si tout évolue dans le bon sens, je reviens à 100% à partir du 01/02/23 !!! Je suis HEU-REUX. 🙂
    14 points
  36. Hello tout le monde, rebelote avec cette fois-ci une destination plus nordique. Pour conclure le point Transpy car je n'ai pas vraiment fait de CR. Le fameux Adam Bialek qui fini devant moi est en fait une sacrée machine. Il fini il y a une semaine 3e de la TCR en ayant joué en tête de course jusqu'à l'épisode Ferry. Bref revenons à nous moutons... Au menu pour les jours à venir: la GBDuro Pour suivre la course (+présentation compète) le lien se trouve ici: https://dotwatcher.cc/race/gbduro-2022 Concernant ma monture je pars sur mon gravel. Montage à blanc pour la photo, ce ne sera pas le setup définitif au niveau de ce que j'emporte. Chiru Vagus Adventure (Ti Frame) SRAM Force AXS 40/10-44 Amaruq Speed Cross 38 - SON Hub (front) // Hutchison Touareg 45mm (avec Air-Liner) MissGrape bags kit, Sierra Designs bivy bag, Thermarest Uberlite et Cumulus X-lite Klite Bikepacker ULTRA V2 and Lezine Piko Lights Pas de pression, je ne vise que le haut du classement . Plus sérieusement on verra comment se passe l'épreuve qui est un format un peu particulier avec les 4 étapes. J'aurai préféré en une traite, ça rend la course plus dure mais l'orga souhaite qu'il y ait des échanges entre participants durant les breaks. Ce qui en soit n'est pas trop mal. C'est le principal reproche que j'ai pas rapport à la Transpyrénées, que dalle d'un point de vue social (rien mis en place par l'orga avant ni après). Bref suis impatient, ça va être une belle!
    14 points
  37. Demain ça fera pile 6 mois que je suis rentré à l'hosto pour me faire opérer. Pour rappel lors d'examens on avait remarqué une tumeur au côlon et un rétrécissement de celui-ci. Après discussion avec le chirurgien il a été décidé d'enlever tout le côlon. Là faut déjà se préparer mentalement à se faire charcuter les tripes et ensuite vivre avec une poche. Mais bon j'assimile le truc et hop c'est parti. Je passe sur les petites contraintes lors de leur docteur Maboul qui ont fait traîner l'opération et l'infection qui a fait que j'ai dû repasser une 2e fois sur le billard quelques jours après. Ni l'impression d'avoir été pété par un bus de la tec quand ils ne sont pas en grève. Déjà grosse deadline car je rentre le 13 décembre, opération le 14, et je dois signer mon contrat pour le nouveau taf début janvier 👀. Et à chaque fois que je croise le médecin la même question... le vélo c'est pour quand docteur? 😁. Puis 2e round, à peine récupéré de l'opération boum faut faire de la chimio, 12 séances. Là j'en ai déjà fait 9. Une belle saloperie. Je m'estime encore chanceux car mon corps gère encore bien les effets secondaires mais parfois l'impression d'avoir zéro force pour rouler. Heureusement je suis en nucléaire et j'ai le mental. D'une séance à l'autre les sensations ne sont pas les mêmes, je l'ai bien senti hier, 3 jours après la perf par moment j'avais un peu de mal. Donc jusqu'ici cette année j'en suis à 28 sorties et 1300km selon le Dieu Strava. En musculaire ça aurait été impossible pour moi, l'électrique m'apporte vraiment un plus, tant sur la longueur des sorties que sur le D+ mais ça reste physique et tant mieux (avant je faisais en général des sorties de 50km avec max 600 de d+ en muscu et j'étais content). Niveau physique mon poids de forme tourne dans les 80-82 kg, avant l'opération (vu le régime alimentaire sur place 🤮) je m'étais engraissé en mode hibernation. Je suis descendu un peu sous les 70 (mode coureur de fonds) et là je suis remonté à 88 👀 va falloir améliorer le régime alimentaire, je dépense moins dans le bureau que dans l'ancien taf visiblement 😅 et moins de poids c'est plus d'autonomie de batterie donc plus de plaisir. Le bilan est donc assez positif, ça ira encore mieux mi juillet quand je n'aurai plus ces foutues séances. Autre point positif les cicatrices ne sont pas trop visibles le chirurgien a fait du bon boulot donc pour frimer torse nu en bord de piscine c'est jouable. Le bon temps a l'air de revenir je vais me tenir à des sorties plus régulières histoire de chasser un max de tuiles, sans me mettre de chiffres en tête. Peut-être de vrais challenges en 2023 genre km, D+ ou autres. Et pas trop penser au route ou gravel 😵 Bisous les filles et bonne lecture.
    14 points
  38. Ce n'est pas une porte... mais ça reste un garage 😬
    14 points
  39. Le beau père va mieux ! Sorti des soins intensifs 🤘🤘🤘 Je suis allé aujourd'hui rendre visite, sacré hôpital, Marie Curie. Quand je vois la gueule des hostos namurois .... Joli cadre de travail @guizaume
    14 points
  40. hier, à la plaine de jeux avec mes enfants, une dame âgée arrive avec un grand sac et se dirige vers la poubelle publique, elle essaye de pousser des trucs dedans mais ça ne rentre pas donc elle dépose tout par terre. Je m'apprête à lui faire la remarque et là, mon fils arrive avec tout son tact du haut de ses 7 ans :" madame, tu peux pas laisser ça là, tu vas polluer la planète". Elle a remballé ses crasses dans son sac et a mis les voiles. Le gamin était fier de lui et moi mort de rire.
    14 points
  41. Bon... Je ne voudrais vraiment pas vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué mais... reçu hier le résultat du dernier frottis et il est négatif au staphylocoque. Ça fait la seconde fois en 1 mois et demi. La plaie est refermée à 99,99 %. Je suis partagé entre sauter au plafond (en faisant attention de ne pas me cogner 😄) et garder la tête froide pour ne pas être trop déçu si ça revenait. Mais... focus sur le positif hein. 😊 On a attaqué l’autre conséquence de l’accident la semaine dernière. Échographie plus radio de l’épaule gauche. Celle qui a embrassé la première violemment le sol. Pas de lésion constatée et soupçon de capsulite rétractile pas confirmée ce matin par le chirurgien orthopédiste. Arthroscan le 21/02 et verdict le 03/03. Ça, franchement, je sais que je devrais pas dire ça mais, je m’en Kévin Debruyn un peu. 🙃 Donc, ça avance et plutôt positivement !!! 🤩🤩🤩
    14 points
  42. Voilà, suis rentré de Nieuport aujourd'hui. Départ sous la pluie, sec ensuite mais bcp de vent causant une sensation de froid sur la moitié du parcours. Passage par Courtrai, le Vieux Kwaremont, le Paterberg, le Kruisberg, le mur de Grammont, le Bosberg et le BW où j'ai fait une série de côtes sur pavés, une horreur J'avais tracé mon parcours avec plein de passages gravel, notamment sur les 40 derniers kilomètres. Je m'en suis un peu voulu. Les passages au milieu des hautes herbes et des pavés du BW après 200 bornes... heu, bof quoi 😕 Au total, j'ai 240 bornes de Nieuport à Jambes et 1600m de D+. 10h30 de selle. Jambes ok, juste très emmerdé avec mon estomac après 200km. J'ai ça à chaque fois. La langue tte pâteuse et envie de rien boire ni manger. Je dois me forcer pour m'alimenter, même avec des trucs que j'aime bien Si qqun veut la trace, je peux lui filer en MP Et j'ai passé les bergs sur les pavés, hein, pas dans la rigole comme tous ces flamands en jantes ultra hautes et vélo en plastoc Et merci @dj_ pour le prêt de la sacoche
    14 points
  43. Petit craquage en règle (déso pour ceusses qui l'ont déjà vu sur FB) :
    14 points
  44. Faire du ski de fond en démarrant de chez soi 😍 Au milieu des champs de patate du Condroz.
    13 points
  45. Nom de l'événement : VTT San Francisco - Santa Cruz Calendrier : VTT : à l'étranger Date de l'événement : 20/02/20 Contenu : Coronavirus, SRAS, H1N1, grippe aviaire, asiatique, africaine, … ras le bol de ces saletés orientales qui en veulent à notre peau. Nous, on a choisi de se mettre à l’abri de tout cela dans un endroit où nous serons certains de ne pas être touchés. Nous avons donc décidé de partir loin, très loin, dans un pays où tout sent le propre et le désinfecté … à savoir : les Etats-Unis, la côte ouest et San Francisco en particulier. Là, pas de cochon ni de chinoiserie ni de pestiféré annoncé. Bon, ok, vous me direz qu’il y en a bien un qui ne semble pas être au mieux de sa forme mais là, c’est probablement dû à son foie, à son coiffeur (qui devrait être pendu), à son maquilleur ou à son peintre qui s’est trumpé de pot. A moins que cela ne soit tout simplement à son habitude de rire jaune. Quoique … pour cette dernière, il faut arriver à comprendre la plaisanterie et dans son cas, ce n’est pas gagné. Bref, après nous avoir demandé cinquante fois à quand remontait notre dernier voyage en Chine (des fois qu’on aurait envie d’y aller), les douaniers nous ont laissés débarquer aux amériques (via Londres). Super hôtel, en plein centre-ville, en bordure du quartier … chinois, que nous avons traversé, en gros une vingtaine de fois, au milieu des légumes bizarres, des poissons vivants ou morts, des accessoires les plus improbables tout en surnageant une mer de nains masqués, tous aussi bridés les uns que les autres (vu qu’on ne voyait que leurs yeux, il faut dire que cela se remarquait). San Francisco est une ville très plate … à condition de se cantonner à la plage. En dehors de cela, c’est plutôt du style « Martine à la montagne ». Ce n’est pas pour rien que les américains ont installé des « cable cars », sortes de remonte-pentes, qui permettent aux touristes de gravir les collines locales. A ce sujet, s’il vous prenait l’envie de visiter cette ville, je vous suggère, avant votre départ, de visionner le film « Bullitt » (avec Steve McQueen) et, en particulier, la scène de course poursuite à travers les rues de San Francisco. Plutôt que de visiter comme d’habituels touristes, nous avons choisi l’option de la location de … VTT (si si, je vous jure) qui nous a permis de nous déplacer facilement. Coup de bol, malgré une température parfois frisquette, la météo était au rendez-vous et c’est sous le soleil que nous avons traversé le Golden Gate ( = le pont qui barre la baie de S-F) et que nous nous sommes perdus à Sausalito et Tiburon où nous avons pu faire du « vrai » Vtt et même pousser une pointe vers le Marin Museum of Bicycling (10 $ d’entrée) où nous avons visité une très intéressante exposition sur l’histoire du Vtt (dont l’origine remonte au 19ème siècle). Nous sommes revenus à bon port en empruntant le ferry. Nous n’étions pas les seuls … Le lendemain, même mode de locomotion mais dans la ville jusqu’aux maisons peintes (painted ladies) en passant par le Golden Gate park et Ocean Beach sur l’océan Pacifique pour terminer à Presidio. Se déplacer à vélo est très sécurisant aux Etats-Unis car la circulation automobile est bien plus cool qu’en Belgique. Les automobilistes font très attention aux cyclistes (qui possèdent leur propre bande de circulation) et aux piétons. Il faut reconnaître que, au contraire de chez nous, ces derniers respectent également la signalisation. J’avais pris la précaution de réserver des restaurants « à l’avance » et bien nous en a pris. Délibérément, nous avions fait le choix d’une cuisine typiquement américaine (c’est-à-dire chinoise et italienne) avec une exception pour les hamburgers qui sont, comme chacun le sait, internationaux. Après six jours de ville, nous descendons vers le sud à bord d’une voiture de location (une Chevrolet Impala) super équipée. A condition de connaître la direction à emprunter, conduire est assez facile aux Etats-Unis. Les américains sont globalement respectueux des limitations de vitesses (qui sont plus basses que chez nous) et du code de la route. Même si les cinq ou six bandes d’autoroutes peuvent impressionner, les trajets sont assez cool. Le sud … c’est vers Santa-Cruz. Ce n’est pas sans une émotion certaine que nous visitons l’usine Santa-Cruz, là où nos vélos sont nés. Bon, ok, nous en avons quand même profité pour emprunter deux VTT neufs tout juste sortis de chaîne (des Santa Cruz Tallboy de plus de 10.000 $ chacun) pour un tour dans le bike park local qui démarre juste en face des bureaux de s-c. Sous un soleil généreux, il n’y avait qu’un seul singletrack d’une bonne trentaine de kilomètres avec 650 m de dénivelé positif. Comme le terrain était bien sec, le grip était très bon alors vous pensez bien que nous en avons profité. C’est avec tristesse (mais avec la banane) que vous avons dû rendre nos vélos à l’usine. Les différentes boucles de ce parc sont bien fléchées mais il est parfois difficile de savoir où nous nous trouvons par rapport à l’entrée. A un moment, nous avons eu l’impression d’être complètement perdus et c’est une ranger du parc (sur son vtt) qui nous a rassurés. Cela dit, tout est répertorié sur TrailForks ou, mieux encore, sur MtbProject. N’oubliez pas que si vous devez utiliser votre gsm pour suivre une trace, votre forfait risque d’en prendre un coup. Une dernière remarque : si les singletracks y sont nombreux, gardez toujours à l’esprit qu’ils ne sont pas à sens unique et que vous risquez de vous retrouver nez à nez avec d’autres cyclistes ou des joggeurs. N’espérez pas avoir la possibilité de tester les Vtt dans la boue. En cas de pluie, l’accès au parce est interdit aux vélos. Cela afin de protéger les pistes. Comme nous avons été très gentils, nous avons eu droit à une visite privée de l’usine. 280 personnes y travaillent et, chaque jour, entre 200 et 300 vélos sortent des chaînes. J’ai été particulièrement impressionné par le rayonnage des roues Reserve. J’ai discuté avec un des monteurs. Il m’a expliqué la méthode de montage qui est semi-manuelle. Il installe les rayons sur le cercle et présente chaque rayon devant une machine qui visse la nipple à un couple de serrage déterminé. Une fois sa roue rayonnée, il la fait glisser vers une machine qui va terminer, toute seule, le travail de précision. C’est vraiment impressionnant à voir. Le soir, c’est encore un restaurant typiquement américain (un thaï) qui nous attendait. Le lendemain, nous avons pris de la hauteur vers le parc national du Yosemite. Habituellement, en cette saison, il est sous la neige ou il pleut (au choix). Cette année, c’est sous le soleil que nous l’avons visité (ben si !). Dans ce parc, qui est gigantesque, il n’y a pas d’autre choix que de se balader en marchant (pff ….). Sur nos trois jours, nous avons dû marcher (et monter et descendre) une bonne soixantaine de kilomètres. Inutile de vous dire que nous étions rétamés en fin de journée. Franchement, les paysages sont époustouflants et ne ressemblent en rien à ce que nous avons déjà vu. Il est possible de louer des vélos mais cela n’en vaut franchement pas la peine car il n’est possible de les utiliser que dans la vallée, à plat, sur un ravel asphalté. L’accès aux Vtt est interdit à l’intérieur des parcs nationaux américains. Sur nos deux semaines, nous avons marché plus de 120 kilomètres. Et même chose pour le(s) vélo(s). Comme prévu, nous n’avons pas vu la trace du moindre virus … ce qui ne m’a pas empêché de ramener en Belgique, une toux monumentale qui m’a fait craindre, un instant à l’aéroport, une déportation vers Guantanamo. Bon, là-dessus, j’ai vraiment envie d’une bière qui ne ressemble pas à de la pisse de cheval. En tous les cas, pas une Corona, hein ! Eric VTT San Francisco - Santa Cruz dans le calendrier
    13 points
  46. Bon, une bonne et une mauvaise nouvelle par cette journée pluvieuse: - la bonne, les résultats médicaux sont parfaits donc plus de traitement, juste un scan de suivi tous les 3 mois. - la mauvaise, je viens de recevoir le mail qui fait si mal, " Uh oh, ....just stole your Kom" 😭 un de mes derniers en musculaire, je me sens piqué dans mon orgueil c'est la guerre.
    13 points
  47. Hier après boulot, je vais faire une course à moto. En rentrant je tombe sur un mec qui pousse sa moto dans un faux plat.... je m'arrete, le mec en sueur....vieille moto, pas de jauge essence.... et en panne d'essence. J'ai fait ma BA, je suis allé à la pompe, prendre une bouteille vide dans une poubelle et lui ai ramené 1.5L de 98. Le mec m'a remboursé et était le plus heureux. Cet esprit motard ✌️
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  48. Compliqué ce fut. Après une nuit de merde avec le froid (mais ça c’est ma faute), je constate que mon pneu avant est complètement dégonflé. Je regonfle et deux minutes avant mon départ je dois à nouveau regonfler. Je démarre à 6h14. Les débuts sont difficiles, buée sur mes lunettes, les yeux qui pleurent avec le froid. Mais bon je suis habitué. Par contre je sens que mon pneu avant est de plus en plus bas en pression: je tape la jante et les freinages et les virages sont compliqués à négocier. km18: je me laisse aller sur un chemin de campagne en descente et paf dans une compression, je perds tout l’air de mon pneu arrière. J’avais trouvé au montage que les flancs étaient plutôt rigides, donc ça n’a pas manqué: comme il s’est décollé de la jante je n’arrive pas à le faire claquer. Deux cartouches de co2 plus tard, je monte une chambre… qui ne veut pas non plus monter en pression. Je me vois alors retourner à pied à ma voiture. Puis arrive mon premier sauveur du jour: le dernier concurrent, un flamand arrivé en retard qui lui s’arrête et me donne son unique chambre à air de rechange. Après plus d’une heure le revoilà en selle. Par contre, ça va immanquablement changer le reste de ma journée car en cas de crevaison, je devrais patcher une chambre pleine de sealant. Je vais donc devoir rouler sur des oeufs toute la journée. Mon pneu avant continue lui à se dégonfler, toutes les 15 minutes je dois le regonfler. Et là arrive mon second sauveur. Dans un village j’entends un compresseur fonctionner dans un garage à moitié fermé. Je hèle la personne occupée mais il n’a pas de convertisseur scheider vers presta. Je fouille mon brol et bingo ! Je lui demande de mettre 4 bars car je suis sûr que quelques kilomètres plus loin je vais de nouveau être à plat. Et bien non! À partir de là mes deux pneus tiendront jusqu’au bout. Au détriment du confort qui est réduit à zéro, je rebondis comme une balle magique. Je dois même enlever la montre de mon poignet qui me fait super mal. Au CP1 km75, j’arrive 1/4h avant la fin des délais. Mais c’était la partie facile. Entre le CP1 et le CP2 km145 on se prend tout le D+ quasiment. Des montées techniques, des descentes du même tonneau où je suis quasi à l’arrêt. Plus tous les Berg (parfois off road). Mention spéciale au Koppenberg qui m’a semblé le plus impressionnant, devant le Paterberg. Au CP2 on me laisse continuer même si je suis trop tard. Encore un bois très compliqué puis rien que du facile. Au CP3 personne. Ils ont plié bagage. La nuit et le froid tombe, et je vais devoir faire le reste en tee-shirt car j’ai laissé ma veste au CP1. Les deux derniers terrils se feront dans le noir, dont un avec des épingles en descente, si j’y tombe on m’y retrouvera le lendemain. Tranchée d’Arembert. Ma lampe rend l’âme avec les vibrations. Me reste juste ma frontale. Un peu juste niveau luminosité, dans un chemin plein d’ornières je tombe en contrebas dans les ronces. 23h environ j’arrive à ma bagnole. Plus d’organisteurs. Je suis tout seul avec la femme du restaurant qui m’ouvre quand même et me donne une bouteille d’eau (ça faisait 60 bornes que j’étais à sec). Plus que 1h30 de caisse pour rentrer chez moi. j’ai roulé sans doute aux alentours des 14h. Et quasi 3h de pauses (même si je les ai réduites au strict minimum aux 2 CP). 239km, 2500m D+. Aujourd’hui, à part un peu mal au cou et la bouche tout irritée (difficile d’avaler), je suis étonnamment bien physiquement. Pénible ce fut, mais au final j’y suis arrivé. PS: je n’y retournerai pas. En tant qu’organisateur je ne laisserais jamais un mec seul dans la nature.
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